Metz : la messe est perturbée par l’extrême gauche

Samedi soir, la messe des Rameaux qui se déroulait à la cathédrale de Metz a été perturbée par une quinzaine de personnes. L’incident a commencé au début de la Messe, quand deux drapeaux ont été déployés « par une cohorte trublionne », selon le mot d’un paroissien, témoin de la scène. De quels drapeaux s’agissait-il ? L’un de la CNT, l’autre aux couleurs du Rainbow flag, emblématique du mouvement Lesbiennes, gays, bisexuels et trans (LGBT).

Matthieu Gatipon-Bachette, président de l’association Couleurs Gaies et gêné de cette histoire, a évoqué « une action menée par la CNT et des particuliers ». En un mot, les perturbateurs, et quoiqu’il y ait eu des membres de la LGBT, n’engageaient pas le mouvement. « Les responsables de notre association ne souhaitent pas être associés à cet événement. Nous avions été contactés par la CNT pour participer à cette action, qui ne nous paraissait pas pertinente. Nous avions refusé d’y prendre part », explique-t-il.

Quant à la CNT, elle assume son action : « Nous sommes allés à la cathédrale pour dénoncer les propos de l’Évêque de Metz et son appel à participer à la manifestation à Paris », a déclaré Fouad Harjane, représentant du mouvement.

Dans tous les cas, des activistes des deux mouvements d’extrême gauche étaient présents, avec les drapeaux respectifs de leurs deux mouvement. Et cette perturbation d’un office religieux est scandaleuse car elle touche à ce qu’il y a de plus sacré et de plus intime dans la personne humaine, sa dimension spirituelle. Maintenant, nous pouvons nous interroger à bon droit sur l’absence d’indignation de la classe politico-médiatique, quand la loi a été bafouée, et la liberté fondamentale de croire et de pratiquer le culte ainsi entravée par des groupuscule idéologistes et extrémistes, menaçant ainsi la sacro-sainte laïcité, dogme dont ces gardiens du temple se prétendent pourtant les dépositaires.

Si jamais des catholiques ou des nationalistes étaient entrés dans une mosquée pour perturber un office, soyez bien sûr que le ministre des cultes, Manuel Valls, n’aurait pas attendu plus longtemps pour étaler son indignation dans une presse aux ordre qui s’en serait faite le fidèle écho…

Face à face avec la racaille…

Nous retranscrivons ici un communiqué de la section nantaise du Renouveau Français et du FNJ 85, suite à une confrontation entre jeunes nationalistes et la racaille associée aux anarchistes, brièvement évoquée dans Ouest-France :

« La rue appartenant à ceux qui y descendent, douze militants vendéens issus du Front National de la Jeunesse et du Renouveau Français se sont rassemblés mardi 19 octobre, place Napoléon à La Roche Sur Yon, réalisant que ce n’est après tout pas la gauche qui a le plus à se plaindre d’un gouvernement libéral dit « d’ouverture », qui continue à encourager l’immigration massive, malgré de théâtrales reconductions à la frontière de Roms. Un gouvernement qui n’a rien fait pour protéger l’industrie française en péril et pour remettre au travail des millions de Français au chômage. Un gouvernement qui s’est empressé de s’accorder de honteuses augmentations de salaire, des amnisties pour d’autres et un bouclier fiscal pour les très riches, tandis que le peuple subit depuis des années le marasme économique, l’insécurité, le chômage, l’euro et tutti quanti.
Forts de ce triste constat, nous, militants sus-mentionnés, avons fait le choix de nous faire entendre dans la rue, car aucun changement ne se fera sans le nationalisme, la droite et la gauche libérale n’alternant que les têtes, souvent d’ailleurs issues des mêmes loges. Continuer la lecture de « Face à face avec la racaille… »