Lille : peines légères pour des Arabes accusés d’avoir massacré un jeune Français chez lui « par erreur »

photos d’illustration

Les faits, d’une grande sauvagerie :

« Le jeune homme a été enterré, vendredi. La police enquête sur le meurtre d’un Lillois de 23 ans, lundi, à son domicile, dans le quartier de l’Epine, à Lille-Hellemmes, rapporte La Voix du Nord. Jason, surnommé Doui, a été frappé à mort par plusieurs individus qui se sont introduits chez lui.

Selon les premiers témoignages, les agresseurs sont arrivés armés et masqués dans l’appartement que la victime occupait avec sa mère. Cette dernière a été tenue en joue par certains, tandis que les autres s’acharnaient sur Jason à coups de crosse. Le jeune homme est décédé peu de temps après, des suites de ses blessures. […] » (20minutes.fr, le 3 juin 2018)

Imaginez être à la place de ce jeune et de sa mère, tranquilles chez vous, un soir…

Le jugement vient d’être prononcé :

« (…) Kamel El Jarrari (…) 25 ans était le principal accusé d’un procès d’assises qui, pendant sept jours à Douai, a examiné les circonstances de la mort de Jason, 23 ans, frappé d’un coup de crosse à la tempe, le 27 mai 2018, en pleine nuit chez lui, impasse des Rameaux à Lille-Hellemmes. Une expédition punitive qui s’était trompée de cible.
Kamel El Jarrari a été condamné pour violence ayant entraîné la mort sans intention de la donner, à douze ans de réclusion criminelle. La préméditation n’a pas été retenue. L’avocate générale Marine Decourcelle avait requis quinze ans. (…)
Les avocats des cinq coaccusés Isaac M., 24 ans, Bilail C., 25 ans, Idrissa T., 23 ans, Yassine K., 22 ans, et Yassine H., 22 ans, jugés pour association de malfaiteurs du fait de leur présence à l’expédition punitive ont obtenu des peines mixtes sans mandat de dépôt. Pour Me Manon Dugast en partie civile : « Pour la famille de Jason, une chaise restera vide et ça n’a pas de prix ». […] » (source La Voix du Nord)

Pas de mandat de dépôt, pour ces criminels qui avaient prémédité leur méfait.
On pourra comparer, par exemple, avec l’affaire Méric : deux jeunes de droite agressé par des antifas, l’un de ces derniers (le plus belliqueux et le plus chétif) tombe au cours de la rixe et se tue en se cognant la tête contre un poteau ; jugement : deux des agressés condamnés, l’un à 11 ans de prison, l’autre – pas même accusé d’avoir touché Clément Méric – condamné à 7 ans. Plus des dissolutions de mouvements de droite qui n’avaient rien à voir.