Le député LFI Antoine Léaument s’en prend aux jours fériés liés à la religion catholique – il a la haine

Antoine Léaument, ancien du Modem passé à l’extrême-gauche, en plus de se battre pour le titre de député le plus bête de la Ve République, semble poursuivre sa radicalisation.

Au micro de Sud Radio, jeudi 17 avril, le député de La France insoumise (LFI) est revenu sur la volonté de certains salariés de travailler le jour de la Fête du travail. S’il s’est montré « défavorable » à la poursuite de toute activité professionnelle le 1er mai, le parlementaire a émis l’idée de supprimer certains jours fériés liés à la religion.
« S’il faut supprimer des jours fériés, il y en a un certain nombre d’autres qui sont associés à la religion qu’on pourrait éventuellement modifier », a-t-il déclaré. Vise-t-il ainsi Pâques, Noël ou l’Ascension ? L’élu de gauche radicale est resté vague : « Je laisse libre. »
Antoine Léaument a en revanche proposé d’instaurer un nouveau jour férié. « J’ai déposé une proposition de loi pour rajouter un jour férié le 18 mars, le point de départ de la Commune de Paris[en 1871, NDLR]. C’est une grande date de notre histoire nationale qui n’est pas assez célébrée à mon goût », assure l’élu sur Sud Radio. (source)

Ce type est cohérent avec son gauchisme radical, haineux de l’identité française, chrétienne.

Par ailleurs, il peut aussi dire des vérités, comme tout le monde :

Opposé au travail le 1er mai, Antoine Léaument a justifié sa position en prenant l’exemple du dimanche : « C’était la même chose. Petit à petit, on a déstructuré des formes de temps de pause qui existaient dans la société et où on se retrouvait en famille. »
D’après lui, les Français ne peuvent désormais plus « choisir de travailler le dimanche » : « Il y a une forme d’obligation pour certains ». « Quand on laisse le capitalisme entrer par la petite porte, il met non seulement le pied, mais il entre dans le bâtiment et casse tout à l’intérieur », insiste le député insoumis. (ibidem)

Sur ce point, il se retrouve malgré lui à défendre ce qu’il reste de civilisation ; alors qu’il n’y a pas de grand parti pour défendre le dimanche face à l’appétit insatiable du capitalisme libéral et du consumérisme égoïste. Marine Le Pen, en particulier, s’était tristement illustrée sur ce point de la libéralisation du travail le dimanche, en 2007 :

« Je ne comprends pas que l’on se pose encore la question de savoir s’il faut, par des lois coercitives, empêcher les Français de travailler comme ils ont envie de le faire. En règle générale, ceux qui travaillent le dimanche, sont contents de travailler le dimanche, sinon ils ne travailleraient pas le dimanche. Je veux bien les arguments consistant à dire « la vie de famille, le dimanche… », mais je vais vous dire, la vie de famille, s’il s’agit de se regarder en chien de faïence pour se partager un poulet divisé en douze, je ne suis pas sure que se soit ça que les Français attendent. Oui, je suis pour .» (source)

Pour en revenir à la christianophobie du député Léaument, voici deux messages qu’il a posté à deux dates différentes sur le réseau X (dont un en réponse à Ciotti), et qui illustrent la bêtise du personnage autant que sa haine du catholicisme :