« Immigrés déversés dans les campagnes et euthanasie pour tous ! »

« Transition démographique » est le nouveau nom de code pour « Grand Remplacement ».

A ce propos, voici l’éditorial de Jérôme Bourbon dans Rivarol :

« Vous avez aimé Macron 1er, vous allez adorer Macron II. Le premier quinquennat du successeur de François Hollande avait déjà été marqué par une régression des libertés fondamentales sans précédent, avec notamment les atteintes aux libertés de circulation, de manifestation, de culte et l’interdiction de facto de l’école à la maison applicable, sauf dérogations, dès cette rentrée scolaire. Le second mandat sera bien pire encore.

D’abord parce que tout va toujours plus mal. Et aussi et surtout parce que Macron ne pouvant pas se représenter en 2027, il peut faire absolument tout ce qui lui plaît d’ici là. Ou plus exactement il peut mettre en œuvre les mesures dévastatrices pour lesquelles il a été choisi et mandaté par les cénacles mondialistes. Et manifestement il ne perd pas de temps.
Dans un discours prononcé le 15 septembre au soir et destiné à dévoiler les contours du futur projet de loi sur l’immigration, qui doit être présenté début 2023, le chef de l’Etat a exprimé sa volonté de disséminer les immigrés dans les campagnes car, explique-t-il, la ruralité se dépeuple, se désertifie et se dévitalise, il lui faut donc du sang neuf apporté par les immigrés.

Difficile d’aller plus loin dans le cynisme et dans la haine des Français de souche auxquels on veut imposer, jusque dans les villages et les bourgades les plus reculés, son lot d’étrangers et de (prétendus) réfugiés. On savait déjà que l’obligation pour toutes les communes, y compris les plus modestes, de prévoir sur leur territoire 20 % de logements sociaux, sous peine de fortes amendes, était un moyen efficace et machiavélique de placer en grand nombre des allogènes un peu partout, y compris dans les campagnes les plus profondes. Macron va encore plus loin cette fois-ci en exprimant publiquement sa ferme volonté de répandre l’immigration de masse dans toute la France, et particulièrement dans les zones jusque-là relativement épargnées par le phénomène.

QUELQUES jours plus tôt, et c’est tout sauf un hasard, Emmanuel Macron a fait savoir qu’il entendait relancer  le débat sur « le droit de mourir dans la dignité », c’est-à-dire sur l’euthanasie. Après en avoir fait une discrète promesse de campagne, en évoquant « le modèle belge » où, rappelons-le, des enfants peuvent être légalement suicidés, le président de la République  a l’intention de mettre en place une « convention citoyenne » sur le sujet. On sait ce que cela veut dire : comme l’explique l’ami Rochette dans son article en page 2, la décision en réalité est déjà prise au plus haut niveau mais on fait accroire qu’il y a un vrai débat de fond et que la demande de dépénalisation de l’euthanasie émane des tréfonds de la société. À l’issue du Conseil de ministres du 7 septembre, le sinistre Olivier Véran, porte-parole du gouvernement qui fut tout récemment ministre de la Santé, cela ne s’invente pas, a en effet annoncé la réouverture du “débat” sur l’euthanasie.

Un rapport du Comité consultatif national d’éthique a été rendu qui donne naturellement son feu vert à l’évolution de la législation sur le sujet. Le 2 septembre au soir, en recevant la momie Line Renaud à l’Elysée et en la faisant grand’ croix de la Légion d’honneur (pour quels services rendus ?), Emmanuel Macron n’a pas caché sa volonté de légiférer sur l’euthanasie : « Votre combat pour le droit de mourir dans la dignité vous ressemble et nous oblige, a-t-il déclaré à Line Renaud, militante fanatique et de longue date du droit à l’euthanasie. Dicté par la bonté (sic !), l’exigence et cette intuition unique que c’est le moment de faire, alors nous ferons. » L’Elyséen est même allé plus loin en confiant à des participants, comme le député Olivier Falorni, son souhait de faire voter une loi au printemps prochain au terme de la « convention citoyenne » qui durera d’octobre 2022 à mars 2023.

DIX JOURS PLUS TARD, à l’occasion du décès en Suisse du cinéaste Jean-Luc Godard, le 13 septembre à l’âge de 91 ans, les media ont largement insisté sur le fait que le réalisateur avait choisi, ce qui est légal dans la confédération helvétique, le suicide assisté. Ce qui était une liberté merveilleuse à leurs yeux. Autrement dit on assiste actuellement en France à une grande campagne en faveur de la légalisation de l’euthanasie, ce qui est une revendication ancienne et constante de la franc-maçonnerie en général et du mentor de Macron, Jacques Attali, en particulier. Celui qui s’est vanté d’avoir fait l’actuel chef de l’Etat écrivait en effet dans son livre L’Avenir de la vie, dès 1981, il y a donc plus de quarante ans, ces phrases effrayantes mais hélas plus que jamais d’actualité pour nos “élites” : « Dès qu’il dépasse 60/65 ans, l’homme vit plus longtemps qu’il ne produit et il coûte cher à la société. Je crois que dans la logique même de la société industrielle, l’objectif ne va plus être d’allonger l’espérance de vie, mais de faire en sorte qu’à l’intérieur même d’une vie déterminée, l’homme vive le mieux possible mais de telle sorte que les dépenses de santé soient les plus réduites possible en termes de coût pour la collectivité. Il est bien préférable que la machine humaine s’arrête brutalement plutôt qu’elle se détériore progressivement. L’euthanasie sera un instrument essentiel de nos sociétés futures. »

Une “médication” d’un genre particulier qu’Attali s’est bien gardé d’appliquer à lui-même puisqu’il fêtera le 1er novembre 2023 ses quatre-vingts printemps. Les écrits de Jacques Attali, qui pouvaient à l’époque apparaître comme le fruit des divagations d’un esprit déséquilibré, prennent aujourd’hui tout leur sens. De même que les résolutions votées au Parlement européen dans les années 1980 à l’initiative d’eurodéputés scandinaves d’extrême gauche en faveur des droits des transsexuels et des homosexuels pouvaient à l’époque apparaître comme des agissements de farfelus isolés et sans importance, et pourtant elles figurent aujourd’hui dans les législations de la plupart des pays européens et occidentaux et gare à celui qui s’oppose publiquement à ces folies, l’“homophobie” et la “transphobie” étant sévèrement réprimées (un an de prison ferme et 45 000 euros d’amende). YouTube vient d’ailleurs de supprimer notre vidéo du mois d’août consacrée aux persécutions contre RIVAROL car nous aurions tenu, paraît-il, des propos haineux, homophobes, xénophobes et antisémites, enfreignant les règles de la plateforme ! Et nous avons reçu un avertissement solennel qui, s’il n’est pas scrupuleusement respecté, conduira à la fermeture définitive de notre chaîne. Ce ne serait que la deuxième fois après la clôture d’un premier compte YouTube le 18 décembre 2020, la suppression de deux comptes Twitter le 1er juin 2018, puis le 18 février 2919, la fermeture de notre compte Paypal le 23 mai 2022, la perte de notre agrément par la commission paritaire des publications et agences de presse, la CPPAP, le 4 mai dernier, le refus de diverses enseignes de nous vendre, à commencer par le groupe Carrefour depuis le 18 août 2022.

INSTALLER des immigrés dans les campagnes et euthanasier massivement les “vieux” Français de souche, voilà la politique de Macron et, à travers lui, des cénacles mondialistes. Il s’agit de tuer l’âme de la France et d’en finir avec les Français encore quelque peu attachés aux traditions et aux vertus de l’ancienne France. Il y a une logique infernale et implacable dans tout ce qu’entreprend l’ex-banquier d’affaires de Rothschild. En exprimant sa volonté de placer des allogènes aux six coins de l’Hexagone, en manifestant sa ferme intention de dépénaliser l’euthanasie qui va devenir, selon le “prophète” Attali, « un instrument essentiel de nos sociétés futures », en procédant à une réforme des retraites qui va augmenter la durée de cotisations et réduire encore le montant des pensions, Macron sait pertinemment ce qu’il fait. Il s’agit de pousser les anciens au suicide assisté, ce qui permet sur le plan économique de réduire le nombre des retraités et donc de résoudre, en partie au moins, le problème lancinant du financement des retraites, et sur le plan idéologique de mettre en œuvre une revendication constante de la maçonnerie et du mondialisme. La culture de mort a toujours besoin de sang. Aucune boucherie ne lui fait peur. En plus des bébés avortés en masse, voici venu le temps des vieillards euthanasiés en masse. Et pas seulement les seniors car même les jeunes adultes, même les enfants pourront être euthanasiés, éliminés, piqués, comme ils le sont déjà dans un certain nombre de pays européens “avant-gardistes”. Ceux qui auront survécu à la piqûre “anti-Covid” ne pourront résister à la piqûre létale.

La grande réforme du quinquennat de Hollande aura été le « mariage pour tous » en 2013, la grande “avancée” du second quinquennat de Macron sera en 2023, à dix ans d’écart, l’euthanasie pour tous, le suicide assisté pour tous, à commencer par les plus anciens. Voilà la société qu’ils mettent en place : des enfants transgenres, des individus « non binaires », des Français transgéniques, des fœtus avortés, des anciens euthanasiés, des millions d’individus ayant une âme immortelle suicidés, éliminés, piqués, retranchés de la terre et allant dans le séjour des morts. Dans cette société monstrueuse et mortifère, dont nous sommes encore loin de connaître toutes les horreurs (ils peuvent aller beaucoup plus loin et frapper beaucoup plus fort !), RIVAROL qui défend un autre monde, la vie, la vérité, la civilisation, la chrétienté, n’a pas, n’a plus sa place, n’a plus droit de cité décrète le CRIF. A nous toutefois de nous battre, de tenir debout et de résister de toutes nos forces, avec la grâce de Dieu, dans ce monde où Satan mène le bal et où l’air manque à nos poumons. »