Enrichissement culturel : en Seine-saint-Denis 3 Capverdiens agressent un homme et mangent des morceaux de sa chair

Photo d’illustration (Cannibalisme en Afrique)

L’immigration est, d’après la caste au pouvoir, une « chance pour la France », l’occasion de « s’enrichir culturellement ».
Les Français doivent apprendre à s’ouvrir aux autres cultures :

« Trois Capverdiens, ont été interpellés, dimanche soir à Clichy-sous-Bois (Seine-Saint-Denis) pour violences volontaires, acte de barbarie et anthropophagie ayant entraîné une mutilation permanente.

Vers 18h, allée Hector-Berlioz, quatre hommes se disputent pour une histoire d’argent. Trois hommes se liguent pour en frapper un quatrième. Ils l’ont violemment mordu à la lèvre inférieure et à l’oreille gauche avant d’ingérer les morceaux de chair arrachés. »

Source fdesouche

2 commentaires concernant l'article “Enrichissement culturel : en Seine-saint-Denis 3 Capverdiens agressent un homme et mangent des morceaux de sa chair”

  1. Il faut publier des photos de ce genre car elles éveillent les consciences
    Très médiocre psychologue mais charlatan doué le fondateur de la psychanalyse n’a pas compris que des arguments rationnels étaient sans poids à l’encontre des marchands d’illusions .
    Le plus important c’est l’horreur éprouvée par l’homme de qualité à l’idée de côtoyer certains de ses présumés semblables .
    Il n’est pas vrai que tous les hommes sont frères .
    ..

  2. A Simone Saintu. Compal le 31 juillet 1916.

    « Ce sont d’ailleurs de bas sauvages et une petite fille, lors de l’embarquement d’un contingent à Conakry, fut mangée à peu près vive par quelques uns de ces « braves Sénégalais » – un morceau d’épaule retrouvé par hasard sur le quai mit les autorités au courant – (…) Mais comme l’union est sacrée avant tout, et comme il reste encore beaucoup de petites filles noires plus ou moins alimentaires les choses s’arrangent toujours –
    Ne propagez pas toutefois ces bruits. Nous devons tout voir en rose, même les nègres. La vérité n’est jamais bonne à dire surtout maintenant, même en vers. »
    Louis-Ferdinand Céline – Lettres d’Afrique.

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