Quelque part dans le désert saoudien, les voix douces et mélodieuses des petits chanteurs du croissant de bois résonnent… Vidéo à voir en intégralité pour bénéficier de toutes les sonorités offertes par les choristes. 3’21 minutes de bonheur.
A noter que la représentation du Français sur cette image, n’est pas très flatteuse. Néanmoins, le montage illustre parfaitement le remplacement de population qui s’opère et qui s’accélère un peu plus chaque jour.
Précision : les survivantistes pensent que le pape Paul VI n’est pas mort en 1978 et que ses successeurs sont, par conséquent, des usurpateurs. Une théorie survivantiste avance que le pape aurait été enfermé dans une cave du Vatican.
C’est reparti pour un tour ! Après les attentats de janvier (12 morts) ce fut un marée médiatique en faveur de l’islam, pour plus de 120 victimes, ce sera un déluge… Afin de lutter contre nos capacités à raisonner, le gouvernement met à votre disposition le médicament suivant :
Une histoire vraie, qui souligne la vanité du marché de l’art contemporain…
« Il a les yeux bleus, la peau blanche et les cheveux blonds. «Tao Hongjing», artiste «chinois» multi-exposé à Tokyo, Paris ou New York, vend en fait ses oeuvres depuis dix ans sous un pseudonyme, vient-il de révéler. Alors que s’ouvre à Pékin sa dernière exposition, sous nom d’emprunt, ce Nantais assure que sa démarche était de «jouer avec le marché et les stéréotypes».
«Mon vrai nom est Alexandre Ouairy», dit en souriant le Français de 36 ans, formé aux Beaux-arts à Grenoble et débarqué en 2000 à Shanghai pour «l’aventure», dans une ville alors quasi-dépourvue de galeries d’art.
Quand il commence à exposer, sous son vrai nom, «l’intérêt du public était limité, voire nul», se remémore Alexandre Ouairy, qui ne voit qu’une seule explication: «C’était dû au fait que j’étais étranger. Les collectionneurs étaient surtout étrangers, et ils voulaient acheter chinois, car pour eux c’était un bon investissement.» »
Non, ce ne sont pas des potes de comptoirs… Mais bien un ancien ministre et son « équipe » de campagne qui pensent lutter efficacement contre le FN dans le Pas-de-Calais…
Dans une vidéo intitulée « Message des gens du Pas-de-Calais à la France », l’ancien ministre des Transports et actuel député-maire de Boulogne-sur-mer (Pas-de-Calais), François Cuvillier, a écrit et interprété une chanson en guise d’appel à voter pour lui aux élections régionales plutôt que le Front national, représenté par Marine Le Pen.
« Quand Le Pen monte, j’ai honte, j’ai honte ! Quand elle descend, j’suis content », chante le groupe, accompagné à l’accordéon. Un clip (amateur) a même été monté pour l’occasion. Une initiative qui ridiculise l’ex-ministre. Inspirée, Marine Le Pen a suggéré à François Cuvillier de chanter « Quand l’chômage monte, j’ai honte, j’ai honte ».
L’idéologue juif et père du communisme indirectement responsable de millions de morts au nom de la lutte des classes, voit sa tombe devenir une attraction payante pour bobos anglais et cocos arriérés. Une belle ironie de l’histoire…
Pour accéder à la tombe du philosophe anticapitaliste Karl Marx, surmontée d’un imposant buste, dans le cimetière de Highgate, à Londres (Royaume-Uni), les visiteurs doivent payer quatre livres sterling (5,50 euros), rapporte le Wall Street Journal (en anglais), dimanche 25 octobre. Un droit d’entrée qui fait enrager certains fans du révolutionnaire allemand, auteur du Capital.
« Je trouve cela dégoûtant, les capitalistes ne reculent devant aucune ironie, aucun mauvais goût, quand il s’agit de gagner de l’argent », se plaint le militant marxiste Ben Gliniecki, dans le Wall Street Journal. Il estime que Karl Marx aurait été horrifié d’apprendre que l’accès à sa tombe était payant.
Un simple exemple vaut souvent mieux qu’un long discours lorsque l’on parle « d’art » contemporain… Ces agents d’entretien ont fait leur travail qui consiste à nettoyer les merdes.
L’art contemporain est parfois un peu obscur. Ce ne sont pas les agents d’entretien du musée de (Italie) qui diront le contraire. Ils ont jeté par erreur une installation artistique à la poubelle, rapporte dimanche 25 octobre La Repubblica (en italien).
Leur méprise est compréhensible. Baptisée « Où allons nous danser ce soir », cette installation, des artistes Goldschmied & Chiari, représente en effet les restes d’une fête terminée. Les bouteilles vides, les cotillons éparpillés et les verres pouvaient légitimement laisser penser que la pièce méritaient un bon coup de balai. L’œuvre sera réinstallée dès que possible