Taubira propose des lois pour accentuer la répression…

« du racisme » ! Alors que la France est attaquée par des islamistes et que le peuple commence à prendre peur, la Taubira veut museler un peu plus les voix discordantes en proposant trois nouvelles lois.

– « Confier à l’autorité administrative la possibilité de bloquer les sites et messages de haine raciste ou antisémite. »
Connaissant la libre interprétation par nos élites de ce qu’est le racisme ou la haine, de nombreux sites d’informations alternatives risquent de se voir fermer sans raison et sans possibilité de recours.

– « Sortir les injures et diffamations du droit de la presse – loi 29 juillet 1881 – pour les introduire dans le code pénal lorsqu’elles sont aggravées par une circonstance liée au racisme, à l’antisémitisme, à l’homophobie. Ainsi, les infractions de ce type pourront être poursuivies selon la procédure de droit commun. La réponse pénale gagnera ainsi en efficacité. »
Cette proposition vise uniquement à pouvoir sanctionner encore plus durement et plus rapidement les prévenus.

– « Généraliser dans le code pénal la circonstance aggravante de racisme : elle aurait en effet un sens évident pour certaines infractions comme les agressions sexuelles, le harcèlement sexuel, le harcèlement moral, la séquestration, la traite des êtres humains, le bizutage, l’atteinte aux biens, le chantage notamment. »
Traduction :  le Blanc est l’accusé et le non blanc la victime, la circonstance aggravante sera retenue. Le non blanc est l’accusé et le Blanc la victime, il n’y aura pas de circonstance aggravante.

Dieudonné sera jugé en correctionnelle pour apologie du terrorisme

L’étau se resserre et la République est bien décidée à ne plus laisser la parole à ses opposants. La nouvelle loi sur l’apologie du terrorisme (deux mots volontairement flous) permet aux procureurs et aux juges de faire ce qu’ils veulent.
Dieudonné, placé en garde à vue aujourd’hui, sera jugé en correctionnelle le 4 février.

Explication d’un avocat de Dieudonné concernant ce terme de Charlie Coulibaly :

Accusé d’apologie du terrorisme sur Facebook, il reste en prison

Image en question visible ici : on y voit une kalashnikov avec un mot à son côté, « bons baisers de Syrie. Bye bye Charlie ».
La personne a été placée en détention provisoire, au moins jusqu’au 27 janvier prochain.
A suivre mais l’apologie de terrorisme n’est pas manifeste dans cette affaire.
Toujours est-il que faire de la prison ferme pour avoir posté cette image sur Facebook est délirant.

Le gouvernement recrée les Renseignements généraux

Au-delà des divers prétextes sécuritaires et motivations politiciennes, il est sûr que le gouvernement socialiste craint les mouvements d’opinion contestataires comme ceux qui se sont multipliés depuis l’accession de F. Hollande à l’Elysée, et que, plus généralement, la République poursuit la mise en place d’un flicage généralisé de la population.

PS : on peut encore se procurer ici les mémoires de l’ancien patron des RG Yves Bertrand mort en 2013.

Vu sur BFM :

« Supprimés en 2008, les célèbres « RG » chargés de renseigner le gouvernement sur l’état de l’opinion et les mouvements sociaux, viennent d’être discrètement recrées sous le nom de Service central de renseignement territorial. Ce dernier doit aussi lutter contre l’économie souterraine.

Les « grandes oreilles » sont de retour. Les grandes oreilles, c’était le nom donné aux Renseignements généraux, les fameux « RG », ce service de police crée en 1908 et chargé de renseigner le gouvernement sur l’état de l’opinion et « surveiller » hommes politiques, journalistes, responsables économiques et sociaux.

En 2008, à l’occasion d’une réforme du ministère de l’Intérieur, les RG ont officiellement été supprimés et leurs effectifs dispersés dans d’autres structures. Priorité a alors été donnée à la lutte contre le terrorisme et les activités liées à l’islamisme radical.

Hausse des effectifs en 2015

Pourtant, au détour du tout récent rapport de la Délégation parlementaire au renseignement, co-présidée par l’ancien premier ministre Jean-Pierre Raffarin, on apprend qu’un Service central de renseignement territorial (SCRT) vient de voir le jour.

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Le gouvernement profite de Noël pour publier sa loi d’espionnage des citoyens sur le net

Le gouvernement a publié mercredi 24 décembre, à la faveur des fêtes de Noël, le décret d’application du très contesté article 20 de la loi de programmation militaire (LPM). Ce texte prévoit un accès très vaste des services de l’État aux télécommunications (téléphone, SMS, Internet, etc.) des Français, et à toutes les informations qui transitent par les réseaux nationaux.

La mesure de surveillance, pudiquement nommée « accès administratif aux données de connexion », avait été votée fin 2013 et entrera en vigueur le 1er janvier 2015. Dénichées par Next INpact, qui évoque « un décret qui sent le sapin », ce sont les modalités de sa mise en oeuvre, tout aussi importantes, qui ont été dévoilées pour Noël.

« Comme dans de nombreuses démocraties, le spectre terroriste permet au gouvernement de faire passer des mesures très floues et de tirer pleinement parti des systèmes d’information de plus en plus performants afin de surveiller la population.

Qui chapeaute le système ?

Le décret du 24 décembre présente « le groupement interministériel de contrôle […], un service du Premier ministre chargé des interceptions de sécurité et de l’accès administratif aux données de connexion ». Ce groupement est chargé de centraliser les demandes des agents et de les transmettre aux opérateurs concernés, en les épurant de toute information sensible.

En effet, si les services de l’État doivent justifier leurs requêtes auprès du Premier ministre (qui nomme une « personnalité qualifiée »), il est hors de question de transmettre ces explications aux opérateurs. Les fournisseurs d’accès ne sauront même pas de quel service ou ministère émane une demande, ni à quelle date elle a été formulée.

Quelles données sont concernées ?

Sans surprise, le décret se réfère à l’article 20 de la LPM, sans vraiment le préciser. Peuvent donc être interceptés les « informations ou documents traités ou conservés par les réseaux ou services de communications électroniques, y compris les données techniques relatives à l’identification des numéros d’abonnement ou de connexion à des services de communications électroniques, au recensement de l’ensemble des numéros d’abonnement ou de connexion d’une personne désignée, à la localisation des équipements terminaux utilisés ainsi qu’aux communications d’un abonné portant sur la liste des numéros appelés et appelants, la durée et la date des communications ».

On notera l’utilisation de la formule « y compris », qui n’est aucunement exhaustive : difficile de faire plus vaste.

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Le député droitard Thierry Mariani se plaint des conséquences de la loi Hadopi, qu’il a lui-même votée…

En déplacement en Corée, le député (UMP) Thierry Mariani s’est émerveillé, sur Twitter, de la facilité d’accès à Internet dans le pays :
« Wi-fi en libre accès dans tous les lieux publics. En France, quand le wi-fi existe, tu dois demander le mot de passe. Et si on faisait simple ? »

Mais comme le rappelle Numerama, la quasi-absence de réseaux wi-fi en libre accès en France est une conséquence de la loi de flicage sur internet Hadopi, en faveur de laquelle Thierry Mariani avait voté !
La loi de lutte contre le téléchargement illégal sanctionne en effet la non-sécurisation d’une connexion à Internet. Confrontés à l’impossibilité de pouvoir établir avec certitude qui est, derrière l’écran, l’auteur d’un téléchargement illégal, les députés avaient décidé de pénaliser le responsable de la connexion internet utilisée pour télécharger.

Conséquence directe : les administrateurs de réseaux wi-fi publics – municipalités, bibliothèques, entreprises – ont largement adopté des connexions nécessitant une inscription et un mot de passe, pour limiter les risques et pouvoir le cas échéant identifier l’auteur d’un téléchargement illégal. En complément, de très nombreux réseaux publics bloquent les protocoles « pair à pair » utilisés pour le téléchargement.

Les gestionnaires de réseaux Wifi sont également tenus par la loi de conserver les historiques de connexion, et ce depuis 2006, soit avant la loi Hadopi. Une disposition issue de la loi de lutte contre le terrorisme, pour laquelle Thierry Mariani avait également voté, note Nextinpact.

Etat policier : à Nantes, jugé pour avoir transporté… un couteau suisse dans sa voiture !

Un jeune homme a été jugé mardi 9 par le tribunal correctionnel de Nantes pour « transport d’armes prohibé ».
Il transportait dans sa voiture un couteau et une hachette, rapporte le journal Ouest-France dans son édition de mercredi.

Le jeune, qui vient de finir des études d’architecte, a en fait été contrôlé alors qu’il se garait devant chez lui, dans un quartier de l’île de Nantes, le 22 novembre dernier. La police était sur les dents car se tenait ce jour-là en ville une manifestation d’extrême-gauche.

L’architecte a donc dû s’expliquer sur ce « transport d’armes » devant le tribunal : le couteau lui a ainsi servi à « déboucher une bouteille la veille » ; le cutter est un de ses outils de travail ; et la hachette lui sert à couper du bois pour faire du feu. Mais le procureur le soupçonne d’avoir voulu participer à la manifestation qui était non déclarée.
Il a requis 1 000 euros d’amende. Le jeune homme, « un peu abasourdi », a assuré ne pas se rendre à la manifestation : il rentrait chez lui, après avoir fait des courses à Orvault, après avoir pris des auto-stoppeurs… Le tribunal rendra sa décision en janvier.

Quoiqu’il en soit, sans même avoir participé à une manifestation ou action répréhensible, les citoyens se trouvent à la merci de la police et de la justice républicaine au motif d’avoir un couteau-suisse dans leur voiture ! Le totalitarisme s’étend toujours davantage, et toujours au motif de la « sécurité » !

Une intelligence artificielle pour surveiller les utilisateurs de Facebook ?

Le géant Facebook a annoncé qu’il était en train de développer une intelligence artificielle capable de comprendre chaque action faite par un utilisateur afin de guider et conseiller son comportement en ligne. En somme de le surveiller.

Yann LeCun, qui dirige le laboratoire d’intelligence artificielle de Facebook, explique et décrit le fonctionnement d’un réseau social qui préviendra les utilisateurs sur le point de poster des photos peu flatteuses…

Cet assistant fera plus qu’identifier seulement votre visage, il notera l’heure à laquelle vous postez, s’il y a sur la photo des indices de consommation d’alcool ou des personnes inhabituelles mais sera également capable de savoir si l’image peut gêner dans votre travail… Et en tirera ainsi une conclusion.

« Heu, cela va être posté publiquement. Êtes-vous sûr de vouloir que votre patron et votre mère voient ça ? » Demandera alors l’assistant digital.

LeCun explique que cette intelligence artificielle aura une grande compréhension de la situation grâce à plusieurs algorithmes qui ne se contenteront pas de suivre un petit nombre de règles mais un processus élaboré et des concepts abstraits qui pourront s’appliquer à différentes situations – comme une vraie intelligence humaine.
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Groupe Facebook antiradars: 15 permis suspendus par le tribunal

Des utilisateurs d’un groupe Facebook « qui te dit où est la police en Aveyron » ont été condamnés mercredi pour « soustraction à la constatation des infractions routières ».  Leurs permis sont suspendus pour un mois.

La Californie oblige les églises à rembourser l’avortement

Ces dernières années, l’administration Obama et ses soutiens de gauche faisaient attention à ne pas s’en prendre publiquement à la liberté religieuse, notamment en ce qui concernait les guerres contre le remboursement de l’avortement par l’« Obamacare », ce qui ne les a pas empêché de la piétiner en de multiples occasions. L’atteinte la plus spectaculaire vient de se produire en Californie où les églises ne seront pas exemptées de l’obligation d’inclure le remboursement de l’avortement dans les contrats d’assurance santé proposés à leurs employés.

Les églises contraintes à rembourser un « service de santé de base » : l’avortement

Le processus totalitaire montre enfin son vrai visage en Californie, dont le département de Santé vient d’ordonner que tous les plans d’assurance santé de l’Etat comportent d’emblée le remboursement de l’avortement, désormais classé parmi les « services de santé de base » obligatoirement remboursés depuis 40 ans par une loi de l’Etat.

Aucune église n’est protégée contre cette décision ; elles devront désormais toutes prendre pour leur personnel ou membres des assurances santé comprenant le remboursement de l’avortement.

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L’armée aura des crédits en forte augmentation pour la surveillance

En pleine loi de programmation militaire qui vise à faire des économie en supprimant 7500 postes, l’armée fait exploser son budget de surveillance.

En effet, selon l’annexe budgétaire (.pdf) relative aux programmes de « gestion et valorisation des ressources tirées de l’utilisation du spectre hertzien, des systèmes et des infrastructures de télécommunication de l’Etat« , le ministère de Jean-Yves Le Drian demande 2 milliards d’euros pour le programme n°762. Il s’agit du programme intitulé « Optimisation de l’usage du spectre hertzien et interception et traitement des émissions électromagnétiques« . L’an dernier, en raisons de ressources exceptionnelles liées à la vente de licences de fréquences hertziennes, la loi de finances n’avait prévu que 11 millions d’euros de crédits pour ce programme en 2014, après une ligne de 698 millions d’euros ouverte pour 2013.

Sur les 2 milliards d’euros demandés par l’armée pour 2015, 603 millions d’euros concernent des dépenses d’investissement (matériel, logiciels, bâtiments,…) pour l’interception et le traitement des émissions électromagnétiques. Un terme trompeur qui couvre également les interceptions de conversations téléphoniques, ou le déchiffrement de communications sur les réseaux électroniques.

Source : Numerama

Pas de garde à vue pour des islamistes s’entraînant au djihad !

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Hier matin, la police de Strasbourg, appelée par des riverains choqués, a effectué un contrôle dans un parc de la ville : au moins six personnes étaient en train de « s’entraîner au jihad » avec des armes factices mais une détermination bien réelle.

Les « barbus en djellaba » ont accueilli les policiers aux cris de « mécréants » avant de leur annoncer qu’ils iraient « brûler en enfer ». Le leader du groupe aurait également affirmé qu’ils s’entraînaient afin de « venger leurs frères musulmans morts sous les balles ».

Le pire de cette histoire ? Aucun d’entre eux n’a été placé en garde à vue, en « l’absence de délit caractérisé ». Une source évoque même une « simple provocation ».

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France : nos services de renseignement nous espionnent très activement

Comme Google, Microsoft publie désormais un rapport de transparence destiné à informer les individus sur les requêtes gouvernementales qu’il reçoit. Démarrée l’an dernier, cette initiative permet notamment de connaitre le nombre de sollicitations adressées pays par pays lorsque celles-ci impliquent la suppression de certains contenus ou la transmission d’informations personnelles pour identifier un internaute.

Dans le cas de la France, Microsoft est particulièrement sollicité. La troisième édition du rapport de transparence révèle en effet que les requêtes françaises ont été si nombreuses qu’elles ont permis au pays de se hisser à la troisième place du podium dans le classement des pays qui envoient le plus de demandes, derrière les USA et l’Allemagne, mais devant la Turquie et le Royaume-Uni.

Concrètement, Microsoft a reçu 4220 réclamations visant un total de 6092 comptes / utilisateurs. Au cours du premier semestre 2014, l’entreprise américaine n’a procédé à aucune communication sur des contenus stockés sur ses services. Dans 13,5 % des cas, aucune donnée n’a été trouvée sur les comptes mentionnés dans les sollicitations françaises. 6,4 % des réclamations ont été rejetées.

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Interdiction de s’exprimer : le directeur de Rivarol condamné

042  chard revisionnisme  criminel de la pense hp policier cerveauLa tristement célèbre 17e chambre du tribunal correctionnel de Paris, spécialisée dans la répression politique et la censure de la presse, a condamné vendredi le directeur de la publication de Rivarol à 8 000 euros d’amende.
La justice a infligé l’amende sous forme de 100 jours amende à 80 euros : s’il n’est pas en mesure de – où s’il ne souhaite pas le faire – s’acquitter de la somme, Jérôme Bourbon risque 100 jours de prison.
Il a été reconnu coupable de « provocation à la haine » et « injure raciale » pour un article portant sur le « Festival de Kahn » en mai 2013 : « Cannes : le festival de l’impureté ». Durant l’enquête comme à l’audience, Jérôme Bourbon a refusé de dévoiler l’identité de l’auteur de l’article qui avait écrit sous pseudonyme.

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