Martinique : un ancien député parle d’un « génocide par substitution » par les Blancs

Si un Français parle du « Grand Remplacement » ethnique à l’œuvre en France métropolitaine, il risque très gros médiatiquement et politiquement.

Gageons que l’ancien député Guy Lordinot n’aura pas trop de soucis, lui qui emploie une expression plus forte – génocide par substitution –, car il vise les Blancs en tant que remplaçants.

On lui rappellera tout de même que la présence des Blancs en Martinique est tout à fait légitime, l’île n’appartenant pas qu’aux Noirs et Mulâtres (dont l’avenir démographique n’est de toute façon pas menacé).

Cela dit, on ferait mieux d’employer parfois, comme le font certains (y compris Renaud Camus), l’expression de génocide par substitution plutôt que celle de Grand Remplacement pour désigner ce qui se passe en France : c’est plus parlant et c’est hélas tout à fait approprié, puisqu’un peuple (le peuple indigène de France, qui n’a presque pas changé pendant près de 2500 ans) est menacé de disparition par métissage généralisé, ce qui, il faut l’admettre, n’émeut pas grand monde semble-t-il, quand le phénomène n’est pas tout simplement honteusement nié par les gros médias.