« Vous mangez halal et kasher sans le savoir »

Un intéressant article d’Hervé Ryssen paru dans Rivarol du 6 mai 2011.

« Le 19 avril 2011, la commission environnement du parlement européen a adopté, contre toute attente, un amendement imposant l’étiquetage aux viandes abattues rituellement. C’est une grande victoire pour les défenseurs des animaux, et notamment pour la fondation Brigitte Bardot, qui avait lancé début 2011 une campagne contre l’abattage rituel en France. La mention retenue est « viande provenant d’animaux abattus sans étourdissement ». Ainsi, nous ne mangerons plus de viandes halal et kasher sans le savoir.

 Un rituel qui nous est étranger

En France et en Europe, les règles générales de l’abattage imposent que les animaux soient étourdis dans des abattoirs avant d’être saignés, afin de limiter leur souffrance. Mais dans un souci de tolérance, il existe un régime de dérogation pour les juifs et les musulmans qui pratiquent l’abattage rituel. Pour eux, l’animal doit être vivant au moment de la saignée, et l’étourdissement préalable présente un trop grand risque de mort. La bête est tournée vers La Mecque ou vers Jérusalem, et le sacrificateur récite des paroles “sacrées” au moment de lui trancher la gorge. La veine jugulaire, l’artère carotide, l’œsophage et la trachée doivent être tranchés d’un seul geste continu au moyen d’un couteau effilé ne présentant aucune encoche. La défaillance d’un seul de ces critères rend la viande impropre. Les animaux agonisent ainsi en se vidant de leur sang. Les scènes que l’on peut visualiser sur internet sont vraiment dégoûtantes, mais montrent bien la cruauté de ce procédé.

La cruauté orientale

En 2009, un rapport d’enquête de l’association One Voice a révélé la réalité sur la souffrance des animaux tués pour produire de la viande halal. En visitant cinq abattoirs pratiquant l’abattage halal sans étourdissement préalable, les enquêteurs de One Voice ont vu un certain nombre d’employés faire preuve de cruauté envers les animaux, qui étaient effrayés et stressés pendant les opérations. En entrant dans le tonneau d’immobilisation, déjà, les bovins ont une vue directe sur les animaux qui viennent d’être suspendus et dont certains se débattent encore, ce qui est une source de stress et de peur. Les bovins entrent alors dans le tonneau de contention ; le piège se referme, le tonneau se tourne à l’envers et la mentonnière se met en place. Le sang s’écoule tandis que la mentonnière est retirée, suivie par l’ouverture du tonneau, libérant l’animal qui glisse alors hors du piège. Il est ensuite suspendu par une patte à la chaîne d’abattage mais les bovins se débattent encore pendant de longues secondes. Les enquêteurs de One Voice ont aussi vu des moutons qui essayaient de s’enfuir alors qu’ils avaient la gorge tranchée.

Les joies de l’Aïd el Kébir

Les Européens évitent aux animaux toute excitation, souffrance ou douleur inutiles lors de leur transport, hébergement, immobilisation, étourdissement, abattage ou mise à mort. Chez les musulmans, ça ne se passe pas ainsi. Durant la fête de l’Aïd el Kébir, notamment, de nombreux musulmans se passent de l’abattoir et tuent par leurs propres moyens les moutons, en toute illégalité. Parfois, les bêtes sont dissimulées plusieurs jours avant, attachées et enfermées sans eau dans des coffres de voiture, pour être finalement égorgés maladroitement dans des cours d’immeubles ou au bord de rivières.

De la souffrance dans vos assiettes

Les musulmans n’apprécient pas tous les morceaux de bœuf ou d’agneau. Pour des raisons culturelles et économiques, ils préfèrent les abats et les pièces à bouillir. Pour obtenir la quantité des morceaux halals désirée, il faut donc abattre bien plus de bêtes que celles qui seront consommées par des musulmans. Les professionnels reconnaissent que les filets et les entrecôtes, qui sont chers, sont souvent vendus dans le circuit classique.

Chez les juifs, il est de surcroît interdit de consommer les parties de l’animal se situant autour du nerf sciatique. La pratique du “nikkour” consistait auparavant à prélever le nerf et les gros vaisseaux environnants, mais l’opération, pratiquée jusqu’au XIXe siècle, délicate et peu rentable, donnait à la viande un aspect déplaisant, ce qui fait que les autorités rabbiniques ont jugé préférable de déclarer les parties arrières des animaux impropres à la consommation. Ces parties, qui s’étendent jusqu’à la huitième côte pour les bovins, et incluent les rumsteck, filet, faux filet, bavette, onglet, entrecôtes et côtes, soient les morceaux de première catégorie, les plus tendres de l’animal, sont remis dans le circuit de distribution classique des viandes non kasher. La moitié de la viande kasher, considérée comme impropre à la consommation de la communauté israélite, est revendue de façon anonyme dans la filière classique.

Jusqu’à 60% de la viande issue d’animaux abattus selon le rite musulman et plus de 70% de la viande issue du rite juif se retrouvent ainsi dans le circuit classique à l’insu des consommateurs, tenus dans l’ignorance du mode d’abattage.

En Ile-de-France : 100 %

Les dérogations à la réglementation européenne tendent même à devenir la règle dans de nombreux abattoirs, pour des raisons économiques. En France, selon la Direction Générale de la Santé et des Consommateurs, 80% des agneaux et des moutons sont tués sans étourdissement préalable. D’après une enquête menée par l’OABA (Œuvre d’assistance aux bêtes d’abattoirs) dans 225 établissements d’abattage, 28% des gros bovins, 43% des veaux et 62% des ovins-caprins sont abattus sans étourdissement. Ce type d’abattage se généralise au point que, dans les abattoirs d’Ile-de-France, pratiquement 100% des bêtes destinées à la consommation générale sont égorgées à vif.

Un ministre aux ordres d’une communauté

Juifs et musulmans savent bien que si les Français connaissaient l’origine de la viande qu’ils mangent, ils la repousseraient avec dégoût, et le prix de leur viande augmenterait en proportion. Ils s’opposent donc avec force à la mise en place d’un système de traçabilité qui rendra leur viande invendable dans le circuit classique.

Soulignons aussi que chaque kilo de viande abattue selon les rites halal ou kasher profitent à leurs représentants religieux. A ce titre, Kamel Kabtane, recteur de la grande mosquée de Lyon déclarait : « Par kilo de viande, la certification halal coûte entre 10 à 15 centimes d’euros », une manne financière non négligeable. Chez les juifs, une taxe d’abattage ou taxe rabbinique, perçue par l’autorité religieuse qui attribue le certificat de cacherout, a été évalué en 2000 par le Gouvernement français à 8 francs par kilogramme de viande bovine commercialisée et constituerait environ la moitié des ressources du Consistoire central.

Le ministre Brice Hortefeux connaissait ces gros intérêts, lorsqu’il déclara, le 6 septembre 2010, dans la grande synagogue de la rue de la Victoire, à Paris : « Aujourd’hui, alors qu’un vote au Parlement européen pourrait remettre ce travail en question en imposant un étiquetage discriminant pour l’abattage rituel, nous restons particulièrement vigilants. Vous pouvez compter sur ma mobilisation et celle des députés français au Parlement européen pour que le projet n’aboutisse pas. »

La taxe kasher

Il n’y a pas que la viande qui doive être certifiée halal ou kasher. Pour les juifs, surtout, tous les produits alimentaires doivent être certifiés. Un logo kasher imprimé sur l’emballage signifie que le produit a été approuvé par un organisme de certification reconnu par le consistoire israélite ou tout autre institution juive. Pour qu’il reçoive cette certification, les rabbins doivent en vérifier les ingrédients et superviser les processus de fabrication. Toutes les entreprises sous-traitantes qui fournissent les ingrédients nécessaires à la fabrication du produit sont elles aussi visitées et taxées par les rabbins.

Aux Etats-Unis, le nombre de produits certifiés kashers était de 225 en 1960, en 1966 il passait à 476 et grimpait à 1000 en 1974. Aujourd’hui, ce sont 17500 entreprises qui ont été intimidées de manière à payer cette taxe. Les plus grandes sociétés alimentaires américaines sont littéralement rackettées par les organisations et associations rabbiniques installées sur tout le territoire américain. Des rabbins se présentent dans ces entreprises pour offrir leur protection contre paiement d’une taxe (la certification kasher). Si l’entreprise refuse, elle est tout simplement menacée de boycott. En effet les juifs américains sont informés des produits kashers bons à utiliser et de ceux non kashers impropres à leur consommation. Les juifs dominant le commerce de gros et de détail et les médias, ces rabbins leur font comprendre qu’il suffit d’un mot de leur part pour leur faire une contre publicité massive et leur fermer l’accès aux circuits de distribution (lire sur internet le blog de Dana Goldstein sur “la véritable nature du judaïsme”). Les entreprises apeurées par la puissance du lobby juif et la crainte d’une mauvaise publicité cèdent en se disant que de toute manière, c’est le consommateur final qui paiera la note.

Kosher nostra

Comme ces produits se retrouvent dans les supermarchés, ce coût est effectivement répercuté sur le consommateur goy par une augmentation du prix. Aux Etats-Unis et au Canada, des centaines de millions de dollars sont ainsi générés par cette arnaque sophistiquée qui sert à financer Israël. A chaque fois qu’un Américain achète un produit portant un logo kosher, il paie une taxe, la certification cachère, qui finance la politique israélienne via les organisations rabbiniques. Et en 2010, il faut le savoir, la presque totalité des produits vendus dans les supermarchés américains sont kashers.

La taxe ne représente qu’une fraction infime du prix à l’achat, « tellement minuscule qu’elle est impossible à calculer », disent les rabbins. L’ADL (L’Anti Defamation Ligue) et Wikipédia parlent d’un coût de 0,0000065 cent par article. Mais si l’on multiplie le nombre de références de produits concernés – le plus souvent, des produits de base – par le nombre d’Américains (environ 300 millions) et par la quantité consommée sur une année, les chiffres ne sont plus du tout insignifiants. En comptant tous les pays désormais concernés, ce sont ainsi des milliards de dollars qui sont générées par la “kosher tax”.

Aujourd’hui, la Union of Orthodox Jewish Congregations avec son logo (U) gère plus de 80% du racket de protection kasher rebaptisé “Kosher nostra” par ceux qui dénoncent l’arnaque. Mille deux cent rabbins sont employés pour parcourir les Etats-Unis d’est en ouest et du nord au sud. Les entreprises doivent d’abord envoyer un premier chèque avec leur demande d’adhésion ; ensuite, le montant de leur redevance est calculé selon les divers paramètres. Les inspections-surprise sont facturées séparément et les tarifs sont revus à la hausse chaque année. Il y a même certaines sociétés productrices de viandes dont on exige l’emploi d’un rabbin à plein temps à un salaire extravagant ! Les consommateurs américains qui font leurs courses au supermarché ne se doutent pas une minute qu’ils contribuent au financement de la politique d’Israël.

Au Québec, environ 70 % des produits disponibles dans les supermarchés sont déjà kashers. En France et en Europe, la cachérisation est moins importante. Mais vous constaterez par vous-mêmes que vos Corn Flakes de la marque Kellogs – et tous les produits Kellogs – ainsi que votre sauce tomate Heinz, par exemple, portent un drôle de petit logo sur l’emballage. Bien que ces produits soient vendus au Royaume-Uni et en France, ils portent le sigle MK pour “Montreal Kosher”, ce qui veut dire que désormais, grâce au mondialisme, les produits kashers peuvent être agréés par des institutions juives installées dans d’autres pays que ceux dans lesquels ils sont vendus.

Hervé Ryssen »

16 commentaires concernant l'article “« Vous mangez halal et kasher sans le savoir »”

  1. Je confirme à Brest les boeufs mal égorgés donc refusés par le rabin passaient directent dans le circuit normal car elles ne pouvaient etre consommer par la communauté juive et donc vous mangiez tous « leurs merdes ».
    C’étais dejà comme cela il y a 15 ans et croyez moi ou pas c’est toujours pareil.

    Je me rapelle d’une anecdote sympa en 1996 ou dans ces eaux-là le rabin était concentré dans sa prière et le sabreur avait raté son coup …le boeuf fit un bon en avant (oui ils souffrent au sabrage) la robe du rabin pris un coup de corne sur la robe…
    Pauvre bete la sentance fut terrible BOS PRIMIGENIUS fut déclaré impur…

  2. Putain…Cette mafia est vraiment partout.
    Je viens d’aller voir dans mon frigo le tube de ketchup heinz que m’a copine achète parfois ( malgré mon désaccords ), en effet le logo MK ( noir et blanc entrecroisé ) figure dessus,juste en dessous du bouchon à coté des autres logos….

    Maintenant grâce à vous je BOYCOTT!

  3. « C’est une grande victoire pour les défenseurs des animaux, et notamment pour la fondation Brigitte Bardot, qui avait lancé début 2011 une campagne contre l’abattage rituel en France.  »

    Que cela plaise ou non aux musulmans ou aux personnes de confession juive, l’Europe est avant tout chrétienne. Ce sont les lois chrétiennes qui doivent être appliquées. C’est à eux de s’y adapter et il ne doit en aucun cas être question « d’abatage rituel » et sans étourdissement. Il n’y a donc pas là une victoire. Point barre !!!

    Maintenant, il peut rester une solution pour ces criminels envers les animaux qui ne veulent pas s’adapter à nos uses et coutumes: « bon retour chez eux ». 🙂

    Pour tous les chrétiens français s’étant convertis à l’une ou l’autre de ces religions , je les invite à aller dans les pays musulmans ou juif dont leurs attentes seraient peut-être plus à la hauteur de leurs propres espérances. Bon débarra. 😉

  4. L’interdiction des signes ostentatoires, ce n’est pas pour tout le monde, encore une fois !

  5. là-dessus je pense plutot comme Jacques ,car c’est de la lacheté hypocrite que de permettre des coutumes barbares en Europe d’avance exonérées de respecter nos lois sous le prétexte vaseux de religions sémites kasher/halal chez nous .
    Soit notre civilisation occidentale refuse de martyriser les animaux indument ,soit nous laissons des prédateurs venus de l’étranger imposer leurs diktas en Occident .Il faut choisir et s’y tenir .
    Ceux qui refusent de respecter NOS lois et NOS coutumes doivent répartir dans ces contrées où la maltraitance des animaux est exigée . Et là nous on dit bon débarras car on n’a pas besoin de ces cruautés sadiques dans notre civilisation !

  6. Je bofe di cochon, de l’aallouf pas cher, mais ji sai pas si sé di cachère, ou di ouallal, j’l’aim aussi el boudin , alorre j’ pose pa dé kestion, ji boffe.

  7. Bouffez tous du cochon là y’a pas de risque c’est 100/100 catho!!!!!

  8. Et ti boffe ti boffe pas ti crève quond même, alors ti boffe, ci mieux bor toi 😀

    Jacques

    bien résumé. Si ça leur va pas : dégagez! sauf que ça n’en prend pas le chemin avec cette chienlit au pouvoir.

  9. Au nom du respect des religions , Sarkozy a déclaré qu’il fallait tolérer les rituels musulman et juif !
    NON, faire souffrir l’animal pour des raisons religieuses est intolérable, contraire à la notion d’ordre public.

  10. La viande halal et kasher qu’on nous impose est très TOXIQUE, car les pauvres animaux abattus EGORGES à vif ont un stress énorme et libèrent plein de toxines, quant aux suivants de la chaine d’abattage, ils sentent bien l’odeur de la mort et eux aussi par leur stress extreme envoient des toxines dans leur viande !

    Faut ARRETER ces pratiques BARBARES qui font souffrir de manière insupportable dans de TRES LONGUES minutes des animaux qui se vident de leur sang avec d’atroces souffrances !

  11. bonjour à vous voilà la vrais façon d’abattre les animaux pour les musulmans selon les tradition
    http://www.dailymotion.com/video/xkw8jb_la-misericorde-de-l-abattage-rituel-islamique-episode-3-3_webcam#

    les autres vidéos présenter par les médiats sur le halal sont des tromperies pour les musulmans puisque qu’ils sont pas consommable pour les musulmans financer par les pompes à frics menteur(banque) pour un max de profit et font une pierre 2 coups puisqu’ils en profite pour discrédité la façons d’abattre halal grâce au médiat menteur financé par la même personne (la banque) se qui leur permettra d’enlever une épine du pied et reprendre les propre façon d’abattre que nous les occidentaux aimons tant sa veut dire « électrifier », « assommer » puis transpercé vivant ainsi de suit… mais qui respecte sainement les lois qui on étaient écrit par les personne qui détienne les vrais pouvoir sur cette planète je veux parler bien sur des Banque voilà.
    Quand à toi sandrineel se que tu à dit est faux. tous les animaux ainsi que les homme ont des toxines dans le sang et le plus présent appelé « urée » qui sont évacué par les urines à 98pour cent à l’exception des cochons et autres de la même famille qui n’évacue que 2 pour cent de leur toxine c’est pour quoi leur organes sont infecter « heu ». si vous égorger un animal « correctement » vous ferez évacuer les toxines et les organes seront éparniers. Le stresse ne fabrique pas de toxine .
    dernier point: Faites attention aux sites qui dise dire la vrais vérité elle sont souvent les plus aberrantes « Sarkozy n’ait pas le copain des musulmans loin de là »

  12. L’aberration, c’est de nous infliger un discours bourré de fautes d’orthographe auquel on ne comprend rien, speacmanu.
    Quand tu auras appris (Ah! je sais bien, il faut faire l’effort) à t’exprimer dans un langage intelligible, on fera l’effort, nous, de prêter l’attention minimum à ton exposé des avantages respectifs des différentes méthodes d’abattage.
    Dans l’armée on m’en a appris plusieurs.

  13. Il y a quelque chose de très simple et rrès efficace.
    Vous ne mangez plus que du cochon et du poisson et toutes leurs saloperies halal et cachère, et tous les rebuts qu’ils espèrent nous refiler à nous , les souchines, et bien ,ils n’auront plus qu’à se les mettre dasn le c….

  14. Je boycotte tous les produits kacher et halal,biensur qu’il est ardue de faire son épicerie ,mais j’aimerais obtenir la liste des produits alimentaires qui n’ont pas étés bénits des rabins c¸a c’est certain,
    Je suis du Québec ,ici on nous l’enfonce dans le gosier ,
    je me fait une liste personnelle de ce qui ne l’est pas ,et bien souvent ,tous les produits des petits producteurs ne le sont pas (parce que ,pas sur le marché commercial (épicerie de toutes grandeurs de surfaces)
    Se déplacer pour aller acheter sur les lieux mêmes du fait connaitre le producteur. Je tiens compte que ce n’est pas une démarche accescible pour tous ,C’est pourquoi ,une liste des produits « non kacher » est bien utile .Ils sont grandement irrespectueux de qui nous sommes,a`nous de leur faire savoir !!

  15. Donc ceux sont de usurpateurs que les gens de l’association one voice ont visité car l’article dit bien que l’animal a vue directe sur les animaux qui se font abattre or CECI est strictement interdit en islam, même le fait de montrer la lame à l’animal est interdit. De plus, l’animal doit être laissé tranquille dans les prés 2 jours avant son abattage. Les abattoirs que tu décris n’ont donc RIEN de hallal à part le nom, ce sont des machines à fric. Le hallal ne peut pas être industriel, il n’est pas fait pour cette démesure qui gaspille autant. Un musulman qui connaît bien sa religion ne mange de la viande que 2 fois par semaibe MAXIMUM.

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