La dictature socialiste a encore frappé

Alors que le président actuel est à bout de souffle, battant tous les records d’impopularité (baissant encore de 2 points dans le dernier sondage), alors que le gouvernement est incapable de résoudre les problèmes d’importance auxquels la France est confrontée (chômage de masse, délinquance et criminalité qui explosent, immigration-invasion,…), ce régime n’a de cesse de combattre ses opposants pour intimider et faire en sorte qu’aucune voix dissidente ne se fasse entendre.

Ainsi, la liste des personnes qui se trouvent devant un tribunal pour simplement s’être opposé à ce régime s’est encore allongée. C’est ainsi que le courageux David Van Hemelryck et deux de ses camarades passaient devant le tribunal pour « manifestation interdite ». Alors que les gauchistes sont coutumiers de ce fait en toute impunité, quand il s’agit de la véritable dissidence, les choses se passent autrement : En effet, le parquet a requis de la prison contre ces 3 protagonistes à cause des incidents survenus lors du passage de Hollande lors de la cérémonie du 11 novembre 2013 et pour le déploiement, le 30 novembre, d’une banderole « Hollande-démission.fr » sur le trocadéro.

Même si la décision du tribunal ne sera rendue qu’en décembre, tout nous laisse penser que David Van Hemelryck et ses deux camarades rejoindront la liste qui devient longue des condamnés de la dictature socialiste : Outre la dissolution de mouvements nationalistes sans réelle raison (l’oeuvre française et les jeunesses nationalistes), tout le monde se rappelle de la condamnation et de l’emprisonnement de Nicolas Bernard-Buss pour simplement avoir manifesté -lui aussi dans une manif non déclarée- contre le « mariage » homosexuel, ou bien encore la condamnation à 9 mois de prison ferme d’Anne-Sophie Leclere pour une simple caricature de Christiane Taubira. Plus récemment, c’est Hervé Ryssen qui a été doublement condamné à de la prison ferme, dans un cas pour une blague de potache sur Bertrand Delanoë, et, dans le deuxième cas, pour port d’une bombe lacrymogène. Rappelons également toutes les arrestations et gardes à vue arbitraires lors de la manif pour tous (arrestations qui ont même concerné des prêtres en soutane…), les interdictions de spectacle d’un saltimbanque qui ne cherche que l’humour comme Dieudonné, les condamnations à des amendes prohibitives de publications réellement dissidentes, tels Minute ou Rivarol, dont tout le monde sait qu’elles ne cherchent qu’à ruiner ces revues et ainsi les faire taire. Le tout, rappelons le, dans un laxisme ahurissant quand il s’agit de juger de vrais délinquants ou de vrais criminels.

Nous voyons que ce régime, à l’agonie, ne supporte plus aucune opposition et qu’ainsi, l’étau de la dictature socialiste se resserre de plus en plus.

Opposition au « mariage » homo : une mobilisation qui n’a plus à faire ses preuves !

La détermination des Français opposés au projet de loi sur le « mariage » homosexuel, quoiqu’il soit difficile de la remettre explicitement en cause, est en permanence diminuée, insidieusement, par l’État et les médias, à chaque fois que les chiffres de la mobilisation sont tronqués. Or les images ne mentent pas. Et peuvent susciter un certain enthousiasme, conforter une dynamique sous-estimée par nos adversaires, emporter l’adhésion des hésitants. Le poids de l’image, dans notre société moderne, est évidemment déterminant.

Voici donc, en image, le résumé d’une mobilisation, initiée par la Manif pour tous (première vidéo), relayée par le Printemps français (deuxième vidéo), qui n’a pas fini de croître et de grandir, tant que les fondements anthropologiques de notre civilisation seront remis en cause et menacés par le gouvernement, mettant en jeu les lois de la filiation et l’avenir de nos enfants :

Cette deuxième vidéo, qui souligne la jeunesse de nos troupes, signe d’espérance, a été filmée hier, devant le logement de la sénatrice Chantal Jouanno :

« Mariage » homo : Le Printemps français rend visite à Chantal Jouanno

A l’appel du mouvement Le printemps français, une soixantaine de militants contre le « mariage » homosexuel se sont rassemblés tôt ce matin, vers 6H15, devant le logement de la sénatrice UDI Chantal Jouanno, dans le XIIe arrondissement, afin de la réveiller et de l’encourager à voter contre le projet de loi.

Les militants ont apporté café, les pains au chocolat, et même des fleurs, et ont attendu la sénatrice aux cris « un père, une mère, c’est élémentaire« , au son des sifflets, faisant flotter au vent leurs drapeaux « Manif pour tous » et portant des pancartes « Printemps français« .
« Chantal descends. Le p’tit dej’ t’attend« , ont-ils scandéen vain puisque l’ancien ministre ne s’est pas manifesté.

Les militants ont finalement lu une lettre à adressée à la sénatrice : « Mme Jouanno, réveillez-vous! Aujourd’hui le peuple français a besoin de vous. Qui peut nous faire croire qu’un enfant n’a pas besoin d’un père et d’une mère. Opposez-vous à ce projet de loi« , ont-ils demandé avant d’entonner la Marseillaise.

Béatrice Bourges, porte-parole du Printemps français, à fait savoir que »ce qu’on attend du Sénat, c’est qu’il rejette ce projet de loi qui est néfaste pour la famille« .

La République doit savoir que les militants sont déterminés, et qu’en ce jour où le Sénat doit commencer à examiner le projet de loi sur le « mariage » homo, nous ne lâcherons rien ! La loi n’a pas le droit de mettre en danger l’équilibre humain en bousculant les lois millénaires de la filiation au nom d’une idéologie et d’intérêts catégoriels. Lorsque la civilisation est en jeu, personne n’a le droit de baisser les bras. Car les valeurs que nous défendons ne nous appartiennent pas : elles appartiennent au patrimoine de l’humanité. Dépositaires, nous n’avons qu’un droit : les transmettre intactes. Car c’est à leur respect qu’est suspendu le bien des générations à venir, dont les futurs enfants sont gravement exposés, aujourd’hui, à n’être demain que des objets de droits…