Le squat servait d’entrepôt de cocktails Molotov pour l’ultragauche

Alors que les media ne cessent de nous rabattre les oreilles sur une soi-disant violence attribuée à l’ultra-droite, violence jamais étayée par des faits concrets car inexistante, il n’en va pas de même de l’ultragauche, notamment de la mouvance dite anti-fa : Ses militants s’en prennent très régulièrement aux lieux de réunion qui ne leur plaisent pas, parfois à la police, voire à certaines administrations pour des raisons qui nous échappent (pénitenciaire, voire EDF). La plupart du temps, les media restent muets sur ces exactions.

Cette fois-ci, dans un squat anti-fa à Bagnolet, la police a trouvé plusieurs dizaines d’objets incendiaires prêts à l’emploi ! C’est néanmoins dans un silence assourdissant que cette découverte fut faite ! Si ça avait été l’ultra droite qui était à l’origine d’un tel arsenal, ne doutons pas que toutes les vierges effarouchées auraient crié au retour des heures les plus sombres de notre histoire. Les Mélenchon et consorts auraient dit qu’ils ont peur, il y aurait peut-être eu un déplacement de Castaner disant que cette façon de faire de la politique est inacceptable ! Mais là, rien ! A part un filet dans le Point (qui nous sert de source), aucune info n’a été donnée !

Pendant combien de temps cette complaisance, pour ne pas parler de complicité, des autorités et des media avec les violents de l’ultra gauche va-t-elle encore durer ?

France occupée : une caserne de pompiers attaquée

C’est une première, assez peu médiatisée d’ailleurs. A Chanteloup-les-Vignes, une horde de « racailles » ivre de haine a attaqué la caserne des pompiers. Peut-être en réaction à une opération policière anti-drogue récente.

«Il y a trois ans, une poignée d’imbéciles avait bien brûlé une ambulance sur le parking, mais là, comme un commando, ils nous ont attaqués de tous côtés, à coups de pavés, de boules de pétanque et de cocktails Molotov», a raconté l’un des portes-parole des pompiers au Figaro.

La petite douzaine de soldats du feu qui occupent cette caserne, imbriquée dans la cité, se croyait protégée par ses hauts murs et son portail métallique bien verrouillé. «Mais sous la pluie de projectiles, il a fallu se barricader», se souvient l’un d’eux. Les voyous tentaient d’empêcher les pompiers d’éteindre les cocktails Molotov qui s’enflammaient dans la cour.

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