Doubs : miracle à la grotte de Remonot ?

En Franche-Comté, dans le Doubs, Jean Cairey-Remonay, un habitant de Morteau âgé de 74 ans, aurait retrouvé la vue après avoir passé sur ses yeux de l’eau de la grotte de Remonot.

Jean Cairey-Remonay devait subir une lourde opération à Paris afin de combler un trou rétinien. Or, avant son opération, le 19 janvier dernier, il se rend à Remonot, visite la grotte-chapelle et se passe de l’eau sur les yeux.

« Rien… Il ne s’est rien passé. C’est trois heures après, quand j’étais rentré à la maison que la vue m’est revenue. Je pouvais relire, les lignes aplaties se redressaient. C’était complètement inespéré. Et depuis, je vois assez pour lire le journal ou même les petites lettres sur les boites de médicaments », témoigne-t-il par la suite.

Une guérison que son praticien à Paris n’a pas pu expliquer. Quoiqu’il en soit, il a annulé l’opération, le trou rétinien s’étant rebouché.

Il est vrai que chaque événement de ce genre doit être pris avec des pincettes et faire l’objet d’une étude approfondie afin d’analyser si la science peut expliquer cette guérison physique.  L’évêché de Besançon souligne en effet que « les miracles certifiés sont aujourd’hui très rares. Cela passe, entre autres, par une commission composée aussi de scientifiques laïques. »

Quoiqu’il en soit, un tel événement peut interpeller. Car il est des choses que la science ne peut pas toujours expliquer :  parce qu’elles ne sont ni mesurables, ni quantifiables ; parce qu’elles excèdent parfois les limites et les capacités de la matière, ou encore les facultés rationnelles de l’homme. De tels événements peuvent alors faire signe en direction d’un au-delà de la physique. Disons le, en direction d’une métaphysique…

Miracle de la saint Nicolas

Ce 8 décembre avait lieu en Lorraine la traditionnelle procession de Saint Nicolas. En début de soirée, un groupe de pèlerins marchait de Réchicourt-le-Château à Saint-Nicolas-de-Port, afin d’assister à la cérémonie religieuse.

Marchant le long du canal, de la Marne au Rhin, à hauteur de Saint-Nicolas, l’un des marcheurs raconte que, la nuit étant tombée, il s’est senti attiré en avant le long de la berge. Malgré les protestations de ses compagnons de marche, il s’est rendu aux abords du lac. A quelques centaines de mètres du groupe, une femme, tombée dans l’eau du canal, s’agrippait désespérément aux herbes de la berge. Le pèlerin arriva juste à temps pour la sauver, appelant ses camarades à la rescousse. La femme a été tirée indemne de l’eau glacée, déshabillée et enveloppée immédiatement dans les vestes polaires des sauveteurs.

Au fait, Saint Nicolas est aussi le saint patron des marins… et il est peu commun de trouver des sauveteurs une nuit d’hiver, le long des berges du canal…

Communisme et occultisme

Avec la mort du tyran nord-coréen Kim Jong-Il, on voit réapparaître le lien secret et paradoxal entre communisme et occultisme.
En dépit du « matérialisme dialectique », au fondement du marxisme, les chefs communistes ont souvent été attirés et fascinés par l’occultisme, quand ils ne s’y adonnaient pas.
On sait ainsi que la bibliothèque de Staline comportait de nombreux ouvrages ésotériques, minutieusement annotés de la main du bourreau.
Le fils de Kim Il-Sung, lui, faisait par exemple venir régulièrement une « magicienne » japonaise, qui affirme prophétiser… (source)

Après la mort du chef d’Etat, qui était l’objet d’un véritable culte, l’agence de presse du régime communiste a affirmé très officiellement que la nature avait réagi au trépas du leader.
Selon elle,  la glace du lac Chon, sur le mont Paektu (qui joue un rôle important dans la mémoire du communisme local), s’est brisée dans un bruit assourdissant, tandis qu’une tempête de neige se levait.
Puis, la tempête de neige s’est arrêtée brusquement mardi matin, laissant le soleil levant illuminer le sommet enneigé. À ce moment,
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