Viol collectif sur handicapée autorisé…

Palais de justiceLa « Justice » française a choisi de relaxer ce matin les cinq violeurs d’une jeune handicapée mentale.

Le président du tribunal de grande instance pris cette décision parce que la « conscience de l’absence de consentement de la victime » n’était pas établie…

Les cinq violeurs ont pourtant prouvé leur monstruosité. A la question de savoir pourquoi l’instigateur de ces multiples agressions sexuelles avait agit, Stéphane, 37 ans, répond : « Je ne voulais pas de cette fille, donc c’est pour ça que je leur ai refilé, pour m’en débarrasser ». 

Avec les quatre autres hommes, âgés de 31 à 48 ans, ils ont tenu un discours fixe :  lors de deux soirées, les 25 mai et 19 juin 2013, ils sont allés à Chalais chez « pépé », un septuagénaire non poursuivi dans cette affaire, pour « boire l’apéro ».

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Ignoble : un hôpital très lourdement condamné après la naissance d’un enfant handicapé

La culture de mort poursuit son développement.

Ainsi, le 7 avril 2010, le CHU de Nantes a été condamné par le tribunal administratif de Nantes pour n’avoir pas détecté avant la naissance le handicap d’un enfant porteur de trisomie 21, né en janvier 1994. Après des examens qui laissaient présager une anomalie, de nouveaux examens s’étaient révélés plus rassurants : « les médecins du CHU ne firent pas part de leurs interrogations à leur patiente, et ne lui proposèrent pas de réaliser une amniocentèse ». Cette décision « a privé » la mère de recourir éventuellement à un avortement et engage la responsabilité de l’hôpital a tranché le tribunal administratif de Nantes qui « l’a condamné à verser, tous préjudices confondus, près de 51 000 euros aux parents et à leur autre fils ».

L’hôpital se voit également contraint de « verser une rente de 60 euros par nuit passée par leur fils handicapé au domicile familial depuis le jour de sa naissance et tout au long de sa vie », ainsi que la somme de 106 000 euros environ à la Caisse des dépôts et consignations, qui gère la caisse nationale de retraite des agents des collectivités locales au motif que la mère a « dû prendre une retraite anticipée pour s’occuper de son fils ».

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