Terrorisme homosexuel : un gîte ardéchois en ligne de mire

Au printemps dernier, un gîte avait refusé d’accueillir le stage d’été des Gais Musette en apprenant au dernier moment qu’il s’agissait d’un club de danse sodomite (lire ici notre article).
Après moult pleurnicheries, l’association de danse homosexualiste avait décidé de porter l’affaire devant la Halde, qui vient de lui donner raison: la haute autorité a décidé de transmettre le dossier au Procureur de la république en vue de poursuites pénales pour discrimination homophobe.

Les sodomites n’iront pas danser en Ardèche

«L’homosexualité ne correspond pas aux énergies et à l’éthique que nous développons.» Voici la fin de non-recevoir qu’a opposée l’association ardéchoise Cœurs et Jardins au club de danse lesbien, gay, bi et trans (LGBT), Gais Musette, qui souhaitait y organiser son stage de danse estival.
Cœurs et Jardins assure avoir voulu «protéger le lieu, l’image de l’association, et [les] enfants vivant sur place des éventuelles dérives sexuelles qu’une telle réunion pouvait laisser supposer».
«Nous sommes en droit de choisir qui nous voulons. Et en l’occurrence, nous avions peur d’une sexualité débridée, a confirmé à 20 Minutes, Fanny Hermier, trésorière de l’association ardéchoise. Cela aurait été la même chose avec un groupe d’hétérosexuels.»
Oscillants entre pleurnicheries, chantages et menaces, les extrémistes gays envisagent de saisir la HALDE.

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