21 janvier : anniversaire du régicide (récit + testament de Louis XVI)

Le 21 janvier 1793, la racaille révolutionnaire, ivre de haine et de rage, assassinait le roi de France, Louis XVI, âgé de 38 ans.
Cet acte sauvage recelait une grande force symbolique : en décapitant celui qui était le père de la nation organique et le sommet de l’Etat monarchique, c’était l’ordre ancien qui était abolit, en profondeur, au profit d’une contre-civilisation qui allait s’instaurer progressivement et inexorablement et dont nous connaissons aujourd’hui une certaine étape.

Pour l’anecdote, et contrairement à ce que laissait espérer l’innovation technique que constituait la guillotine, l’exécution du roi martyr fut particulièrement horrible.
Revenons donc à ce triste épisode, au cœur des heures les plus sombres de notre histoire.

Craignant un ultime rebondissement si le roi faisait un discours devant la foule, le commandant de la garde nationale donna l’ordre de faire jouer tous les tambours au pied de l’échafaud, qui était d’ailleurs fortement protégé.
Sur la dernière marche cependant, le roi fit un signe impérieux aux tambours qui, surpris, cessèrent de battre, et cria d’une voix tonnante : « je meurs innocent de tous les crimes qu’on m’impute. Je pardonne aux auteurs de ma mort, et je prie Dieu que le sang que vous allez répandre ne retombe jamais sur la France. Et vous, peuple infortuné… »
Déjà, des ordres étaient donnés et les tambours reprenaient.
Un journaliste de l’époque écrivit : « est-ce bien le même homme que je vois bousculé par quatre valets de bourreau, déshabillé de force, dont le tambour étouffe la voix, garrotté à une planche, se débattant encore, et recevant si mal le coup de la guillotine qu’il n’eut pas le col mais l’occiput et la mâchoire horriblement coupés ? »

D’après certains témoignages, il fallut s’y reprendre à deux fois pour trancher la tête, tandis que d’autres affirment que le bourreau dut appuyer de tout son poids sur la lame qui avait à peine entamé le crâne – au lieu du cou – afin de détacher la tête…
Le prêtre présent raconta qu’ensuite « le plus jeune des gardes, qui semblait avoir dix-huit ans, saisit immédiatement la tête, et la montra à la populace en faisant le tour de l’échafaud ; il accompagna cette monstrueuse cérémonie des gestes les plus atroces et les plus indécents ».
Certains spectateurs se barbouillèrent le visage du sang du malheureux.

On notera avec inquiétude que l’idéologie républicaine, contre-nature et forgée dans le sang de très nombreux Français, connaît aujourd’hui un regain de popularité dans la « mouvance nationale », même si certaines associations et publications ferraillent inlassablement contre la doctrine mortifère issue des Loges.

Ci-dessous, le beau testament de Louis XVI, rédigé le 25 décembre 1792, envoyé à la Commune de Paris le 21 janvier 1793 :
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Tanzanie : un chrétien décapité parce qu’il vend de la viande non hallal

L’agence International Christian Concern a fait parvenir une dépêche, en date du 14 février dernier, rapportant l’assassinat du pasteur Mathayo Kachili, de l’Église des Assemblées de Dieu : décapité par des musulmans lundi dernier dans la ville de Buseresere, dans la région de Geita, en Tanzanie.

Les chrétiens de la région ont en effet ouvert récemment des boucheries, destinées à vendre de la viande aux chrétiens. Sans doute la viande qui y était vendue n’était-elle pas hallal , peut être y vendait-on aussi du porc. De quoi contrarier les musulmans sans doute… Sauf que ces boucheries, ouvertes par des chrétiens pour des chrétiens, ne se substituaient pas aux boucheries musulmanes, et le ravitaillement des musulmans n’était pas en cause.

Cela étant, les musulmans exigèrent la fermeture immédiate de ces boucheries “impures”. Sans effet. Un groupe de jeunes musulmans attaqua alors les boucheries chrétiennes, vers 9 h du matin jeudi dernier, à coup de gourdins, de bâtons, de couteaux et de machettes, blessant de nombreux chrétiens. Apprenant cette attaque, le pasteur Mathayo Kachili et d’autres chrétiens se précipitèrent sur les lieux pour repousser les assaillants. Quand les assaillants reconnurent le pasteur, ils l’attaquèrent et le décapitèrent. Le pasteur laisse une femme et plusieurs enfants.

Curieusement, la grosse presse a donné peu d’écho à cette tragédie. Sans doute ne faut-il pas laisser penser que l’islam, religion d’amour et d’eau fraiche -toute son histoire l’atteste-, puisse disposer à ce genre de méfaits. Ce serait évidemment nourrir l’amalgame. Ce crime est sans doute le fait de certains « intégristes », en marge de leur propre religion. Bien sûr…