Totalitarisme démocratique en Grande-Bretagne

Les directeurs d’établissements scolaires auront désormais davantage de pouvoir pour licencier les enseignants membres du British National Party (BNP, le parti patriotique local).

Les nouvelles règles instaurées sont le résultat des plans mis en place par le ministre de l’Education, Gove Michael, qui l’an dernier a déclaré que l’adhésion au BNP n’est pas « compatible avec le métier d’enseignant ».

Elles visent les enseignants susceptibles d’égratigner dans leurs cours « les valeurs fondamentales britanniques », c’est-à-dire ceux qui seraient soit proches de l’islam radical, soit simplement nationalistes…
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En Grande-Bretagne, la video qui « buzze »

En Grande-Bretagne, Bob Bailey – candidat du parti nationaliste BNP – mène campagne lorsqu’il est pris à parti par des racailles immigrées, particulièrement agressives. Il ne se laisse pas faire lorsque l’une d’elles lui crache dessus, et la situation dégénère.
Une réaction normale et saine qui lui vaut aujourd’hui, bien sûr, le déchaînement des médias du Système.

Le BNP victime d’une taupe

Un ancien militaire et candidat d’un comté du nord de l’Angleterre pour le BNP en 2008, où il avait obtenu 40,1% des voix, à 16 voix de devenir membre du parlement, Simon Nicholson (photo ci-contre), a claqué la porte du British National Party tout en révélant à la presse un carnet de bord qu’il avait pris soin de tenir pour collecter des remarques « racistes » au sein de son parti.

À quelques jours des élections générales au Royaume-Uni pour renouveler le parlement, c’est le journal Mirror qui a publié ces notes, ayant passé un marché avec Nicholson trois mois auparavant, en vue de révélations pour discréditer le BNP.

La méthode n’est pas sans rappeler en France celle du tout récent reportage des Infiltrés, où les journalistes de France 2 ont vraisemblablement retourné un ancien militant du Front National qui a pu ainsi enregistrer des conversations tenues en privé par des militants de Dies Irae.

Parmi les propos rapportés par Nicholson figurent ceux de Nick Griffin, leader du BNP, comparant les femmes en burka à de « gros corbeaux noirs », déclarant que « les musulmans feront flotter le drapeau noir de l’islam sur Downing Street », un cadre du BNP dénonçant lui « un programme d’élevage » en parlant d’une école coranique en projet.

Toujours selon le Mirror, Nicholson aurait filmé en caméra cachée des cadres du parti admettant que Griffin aurait lui aussi abusé de larges subventions indues en tant qu’euro-député, faisant écho au scandale de corruption qui éclabousse le parti travailliste depuis plusieurs mois.

Le renégat termine son carnet par un billet du mercredi 28 avril : « Je regrette de les avoir rejoints. Je veux être candidat contre eux l’année prochaine parce que maintenant je sais combien ils sont mauvais pour la classe populaire. »

Sa démarche laisse pourtant bien l’impression de défendre d’autres intérêts que ceux de la classe populaire britannique…

Totalitarisme démocratique

Le BNP, parti nationaliste anglais en progression, avait la particularité (originale pour un parti auquel s’est allié le FN français) d’être ethniciste : seuls les indigènes de Grande-Bretagne pouvaient y adhérer. C’est maintenant terminé car, contraint par la loi, il a dû changer ses statuts afin de permettre l’adhésion de non-Blancs, ce qui a été fait durant une assemblée générale dimanche dernier.

Un Sikh anti-musulman originaire d’Inde a fait savoir qu’il souhaitait être le premier adhérent de ce type.
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