Saint Nicolas du Chardonnet : dénonciation de voisins, verbalisation par la police, articles mensongers dans la presse

Non seulement le Régime prive les fidèles des saintes cérémonies de Pâques et des sacrements à cause de sa gestion grotesque de la crise du coronavirus, mais en plus il vient casser les pieds de ceux qui diffusent des messes en video.

Saint Nicolas du Chardonnet est le plus important lieu de culte catholique traditionaliste de France, et l’une des plus importantes « paroisses » de Paris.

A cause du confinement, les cérémonies sont interdites aux fidèles mais heureusement, le clergé de cette église les filme pour les diffuser en direct sur youtube.
C’en est encore trop pour les bobos laïcards du 5e arrondissement de Paris, qui entendant de la musique émanant de l’église la nuit de Pâques (incroyable!) l’ont dénoncé à la police. Et celle-ci a osé coller une amende à à l’un des prêtres.

Le journaliste du Point Aziz Zemouri, très proche des milieux policiers et probablement franc-maçon, publie un article tordu à ce sujet, sous le titre bidon « Messe pascale et clandestine en l’église Saint-Nicolas-du-Chardonnet ».
Une messe annoncée et diffusée en direct sur internet comme tous les dimanches n’a rien de clandestine.
De plus, alors qu’il écrit qu’« en pleine crise du coronavirus, la paroisse traditionaliste a enfreint le confinement », il faut lui rappeler que la célébration de cérémonies en comité restreint – interdites au public – n’a rien d’interdit, et qu’il est tout à fait loisible aux prêtres de continuer leur « travail », avec les assistants de rigueur pour le moment le plus important de l’année.
Les messes, qui peuvent être aussi dites seul et sans public, ne sont nullement interdites.
Pour couronner le tout, le Point utilise en image d’illustration une photo datant de l’avant confinement, faisant croire que la foule était là durant la nuit sacrée de Pâques.

En fait :
L’image contient peut-être : personnes assises

PS : Le Figaro s’est encore surpassé en n’étant pas capable d’écrire correctement le nom de l’église dans le titre de son article (le texte de l’article étant probablement un copié-collé des confrères).