Richesse des lointaines terres françaises (tant que la République ne les a pas larguées)

Du 2 mars au 2 mai 2010,  la bibliothèque des sciences et de l’industrie de Paris présente 100 photographies qui illustrent la biodiversité des Terres australes et antarctiques françaises et les activités scientifiques sur ces îles.
C’est l’occasion de découvrir l’étendue et les richesses de ces territoires français d’outre‐mer qui constituent des sanctuaires de biodiversité, dispersés dans trois zones géographiques distinctes : la Terre Adélie au coeur du continent Antarctique, la Réserve Naturelle des Terres australes composée de Kerguelen, Crozet, Saint‐Paul et Amsterdam dans la zone sub antarctique et les îles Eparses dans le canal du Mozambique avec Juan de Nova, Glorieuses, Europa, Bassas da India et au Nord Ouest de la Réunion avec Tromelin.

Loin des atmosphères polluées, elles constituent une zone à la biodiversité extrêmement riche, où de nombreuses espèces animales sont représentées.
Les oiseaux y sont très présents : manchots empereurs et royaux, manchots papous, gorfous sauteurs, albatros, cormorans, canards d’Eaton… Environ la moitié de la population mondiale d’oiseaux vivrait dans les TAAF.
Les Terres australes abritent également diverses espèces de mammifères marins : éléphants de mer, otaries, mais également dauphins, comme le dauphin de Commerson, ou orques. 
Cliquer ici pour en voir quelques photos.

Informations pratiques : la Bibliothèque se trouve au niveau ‐1 de la Cité des sciences et de l’industrie, 30 avenue Corentin‐Cariou, 75019 Paris (métro ligne 7, station Porte de la Villette). Ouverture le mardi de 12h à 19h45 et du mercredi au dimanche de 12h à 18h45 (fermée le lundi).
Source

2 commentaires concernant l'article “Richesse des lointaines terres françaises (tant que la République ne les a pas larguées)”

  1. Bonne idée que de nous rappeler l’étendue et la beauté du territoire national.
    Tout ça est magnifique.

    En effet il faut entretenir l’amour de ces territoires, même s’ils sont mal administrés, parce que le Régime cherche à s’en débarrasser comme de la Nouvelle-Caldéonie.

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur comment les données de vos commentaires sont utilisées.