Pour Manuel Valls « le départ de cent mille juifs infligerait un coup plus dur à la France que celui de cent mille chrétiens »

L’écrivain israélien Avraham B. Yehoshua a publié dans Libération du 22 janvier une tribune sans intérêt, aussi délirante que déplacée, affirmant avec un culot extrême que « L’antisémitisme chrétien de droite nourrit indirectement l’antisémitisme islamiste ».

Une assertion nullement étayée dans cette haineuse tribune publié par le quotidien rothschildien.
Mais celle-ci recèle une autre pépite.
L’auteur écrit en effet que « le Premier ministre français, Manuel Valls, avec une grande générosité d’esprit, a proclamé que le départ de cent mille juifs infligerait un coup plus dur à la France que celui de cent mille chrétiens ».

Dans ce cas-là, il faut savoir que ce ne sont pas des propos discriminatoires, non.
En revanche, l’inverse relèverait d’un racisme et d’un antisémitisme effroyables, passibles des tribunaux : c’est cela, la logique républicaine.
Idem lorsque ce même homme disait que « les juifs sont à l’avant-garde de la République ».