Nantes : une femme violée par trois migrants soudanais, dont deux « réfugiés politiques »

brest

« Une femme de 40 ans a été violée collectivement et en pleine rue par trois soudanais à la sortie du hangar à Bananes, ce 24 septembre vers 6 heures du matin, sur l’île de Nantes, lorsqu’elle était rendue plus près des Machines de l’Ile. Ils lui ont d’abord demandé de l’argent, avant de lui donner un coup de poing au visage, lui voler son téléphone et la pousser dans un bosquet où ils l’ont violée.

Des passants ont signalé à la police le viol – la police a retrouvé d’abord, la victime, en état de sidération, puis les trois auteurs présumés. L’un d’eux a frappé un policier à coups de pierre et a dû être maîtrisé avec un Taser. Tous trois sont de nationalité soudanaise, âgés de 27 et 28 ans, et seraient en situation irrégulière. Une nationalité qui revient de plus en plus régulièrement dans des faits divers très violents, avec des agressions sexuelles. Silence de la presse mainstream autour de la nationalité des individus

Dernièrement, un réfugié soudanais âgé de 27 ans – en situation régulière, mais sans domicile fixe, avait semé la pagaille le 3 septembre dernier, lorsque, décuvant péniblement de la veille, il avait collé une femme enceinte dans une file d’attente au marché de la Petite Hollande – il s’agit d’une agression sexuelle, puis a frappé à coups de ciseau le compagnon de la victime. Le placier aidé par deux témoins avaient réussi à neutraliser le prévenu, hyper-violent, avant de le remettre aux policiers.

En fin de compte, le laxisme judiciaire nantais aidant, le prévenu ne sera condamné qu’à un an ferme, six mois de sursis, et une interdiction de détenir une arme pendant deux ans.  […] » (source)

C’est-à-dire qu’il ne fera probablement pas de prison.

Nantes devient de plus en plus invivable. Elle a basculé en quelques années sous le poids de l’immigration.

La meilleure, à propos de ces criminels immigrés :

Après que des passants ont fait fuir les voleurs, et appelé la police, trois hommes alcoolisés ont été interpellés, tous de nationalité soudanaise, réfugiés, en situation régulière.

Celui qui s’est rebellé au moment de son interpellation, un soudanais âgé de 27 ans qui cuvait sur un banc et n’a pas participé au viol – il a aussi frappé un policier avec une pierre – a déjà été jugé et condamné à quatre mois sous bracelet électronique.

Les deux autres, âgés de 17 et 27 ans, ont le statut de réfugié politique – l’un d’eux vit chez ses parents, l’autre, arrivé en France en 2018, est formé à l’AFPA ; les deux n’ont pas d’antécédents judiciaires. Le fameux statut que vante le maire de Callac, Jean-Yves Rolland, pour justifier de l’accueil à venir de migrants dans sa commune. Le plus jeune a accusé le plus âgé d’avoir voulu commettre un viol, tandis que l’autre conteste la totalité des faits. Néanmoins des éléments probants – dont des vidéos – mettent clairement en cause les deux prévenus. (source)

Bon, tout le monde a normalement compris que ces histoires de « réfugiés » sont un cache-sexe du Grand Remplacement, elles sont là pour apitoyer les Gaulois inconséquents.
Souvent, ces « réfugiés » ne fuient en réalité pas la guerre ou des graves problèmes : ils les amènent.