« Le génie James Watson est décédé [le 7 novembre]. Il avait reçu le prix Nobel pour la découverte de la structure en double hélice de l’ADN.
En 2007, il a été excommunié du monde universitaire gangrené par la gauche après avoir affirmé qu’il y avait un écart d’intelligence entre les blancs et les noirs :
« Je suis foncièrement pessimiste sur l’avenir de l’Afrique… Toutes nos politiques sociales sont fondées sur le fait que leur intelligence est la même que la nôtre, alors que tous les tests cognitifs montrent que ce n’est pas vraiment le cas. »
[…] Cette histoire illustre toute la médiocrité et toute la folie de l’époque actuelle. James Watson était un authentique scientifique, pour qui la recherche de la vérité était beaucoup plus importante que le risque de heurter des sensibilités.
Le monde académique contemporain (qui est de plus en plus féminisé) prend exactement le chemin inverse : la recherche de la vérité y est moins importante que le fait de prêcher la bonne parole conforme à l’idéologie gauchiste.
C’est absolument catastrophique.
Que James Watson repose en paix, en espérant que le courage qu’il avait d’énoncer des vérités même quand elles pouvaient fâcher, redevienne un jour la norme à l’Université. »