Hystérie anti-antisémite du gouvernement

Ils ne savent plus quoi faire pour montrer au lobby juif leur totale dévotion.

D’abord, François Hollande crache sur la France à propos de « la rafle du Vel d’Hiv » encore davantage que Chirac et ment éhontément (cela se passait en zone occupée et pas sous l’autorité de l’Etat français). Il explique aussi que « l’antisémitisme n’est pas une opinion, c’est une abjection ».
Puis c’est le ministre de l’Intérieur, Manuel Valls, qui fait part dimanche à Strasbourg de son « inquiétude » face à « la résurgence de l’antisémitisme en France », et promet la « totale mobilisation des pouvoirs publics » pour y faire face. Des projets de rafles contre les mal-pensants ?

« Je connais l’inquiétude de nos concitoyens juifs. Elle est aussi et d’abord mon inquiétude », a ajouté le ministre, qui avait déjà participé le matin même à Paris à la commémoration du 70e anniversaire de la rafle du Vél d’Hiv, aux côtés du président François Hollande.
En revanche, pas un mot pour le sort des Gaulois qui pour beaucoup d’entre eux, ont de véritables raisons d’être inquiets, et doivent subir les méfaits d’une occupation étrangère de plus en plus dure.
En marge de la cérémonie strasbourgeoise, Manuel Valls a précisé qu’il avait « donné instruction aux préfets pour que la police et la gendarmerie soient tout particulièrement mobilisées vis-à-vis des édifices et des écoles juives ». « Nous allons mener une action très déterminée aussi sur internet puisque c’est là où se propage aujourd’hui le nouvel antisémitisme« , a-t-il ajouté.
Évidemment, les politicards du Système sont bien en peine de préciser ce qu’ils entendent par « antisémite » et l’on peut s’attendre à davantage de répression envers ceux qui osent émettre un doute sur la bienfaisance du puissant lobby et la bonté de l’idéologie talmudique.
Antisémite, un mot qui ne signifie plus rien mais qui a fonction d’anathème fatal, tuant tout débat et neutralisant toute idée critique ; comme le mot raciste qui ne sert plus qu’à diaboliser toute réserve vis-à-vis de l’extermination (par substitution et métissage) de notre race.