Deux poids deux mesures judiciaire : un retraité condamné à 25 ans de prison ferme

Un brave retraité condamné à 25 ans de prison ferme pour une tentative de meurtre envers un voisin arabe qui lui pourrissait la vie !

A comparer avec les peines dérisoires dont écopent (quand ils ne sont pas  épargnés pour « troubles mentaux ») les véritables meurtriers immigrés qui massacrent des Français.
Le « vivre-ensemble » ne fonctionne pas et produira de plus en plus de tragédies, jusqu’à la Remigration.

Tous les médias vomissent leur haine du retraité. Donnons donc un son de cloche un peu différent.

De Ludovic Lefebvre – Délégué du Parti de la France pour Paris :

« Chaque jour, nous compulsons la presse, nous consultons les réseaux sociaux. Les faits divers se succèdent, l’horreur nouvelle remplace l’indignation de la veille, le mauvais rêve se substitue au cauchemar. Le prêtre égorgé dans sa paroisse est oublié pour la jeune femme violée jusqu’au décès qui sera oubliée pour une autre jeune femme traînée jusqu’à en être déchiquetée par une racaille en voiture. Et la chaîne de l’inqualifiable se perpétue de jour en jour. Il y a aussi les attentats islamiques, les dessinateurs trotskistes traités à la kalachnikov s’estompent doucement de notre souvenir pour l’inqualifiable attentat du Bataclan, un jeune professeur décapité dans une rue française pour avoir blasphémé sur ordre du pouvoir par le biais de l’éducation nationale prend finalement l’émoi en attendant un autre acte de guerre musulman sur notre territoire. Et c’est ainsi chaque matin depuis des années, au point que notre cerveau, notre cœur en sont désensibilisés, que l’anormal est devenu une normalité, nous nous sommes dit qu’il ne fallait pas s’habituer et parce que l’être humain sait survivre, il s’habitue à tout, nous nous sommes habitués à notre grand dam.

Il y a les faits divers largement nourris par la diversité que les médias s’acharnent malgré tout à nous vendre comme une chance, il y a les attentats islamiques, il y a la quasi-systématique corruption des politiciens quasi-impunie.

Il y a aussi la folle mentalité judiciaire qui envoie de vrais opposants politiques devant les tribunaux quand ce n’est pas en prison pour délits d’opinion et qui relaxe à tour de bras les racailles d’origine étrangère. Certes parce qu’ils ont déjà rempli les prisons, mais aussi pour répondre à une idéologie associative de gauche qui arrange dans le même temps le pouvoir marchand international. La justice est impitoyable avec l’autochtone, surtout s’il est hétérosexuel, de droite et homme. Elle est aussi d’une paroxystique complaisance avec l’étranger ou celui ayant des papiers français, mais d’origine étrangère. C’est un constat sur le long terme et la multiplication des affaires qui est dressé ici, non un état d’âme qui pourrait fausser le jugement.

Parfois, on ne ne sait pourquoi, une injustice de la justice retient notre attention plus qu’une autre, nous émeut plus qu’une autre. C’est le cas d’une décision pénale assez récente qui reste en travers de la gorge, jugez plutôt :

Claude Gorsky, un ancien militaire à la retraite, harcelé par un voisin maghrébin dealer, délinquant, agressif par qui il était régulièrement menacé depuis quatre ans se fait une fois de plus invectiver par la racaille qui le menaçant avec une pelle le traite de sale Polak. C’est la fois de trop, il prend une arme et lui tire dessus à plusieurs reprises, son voisin décédera plusieurs jours plus tard à l’hôpital, non de ses blessures, mais d’une rupture d’anévrisme (n’a t’elle pas pu être provoquée par un sevrage, ce qui n’est pas si rare ?). La sœur se plaint dans les médias, SOS Racisme sentant le goût du sang blanc court pour se repaître, les journaux influencent la cour et les jurés pour une aggravation de la peine sous couvert de racisme parce que quelques SMS écrits sous l’émotion par un des fils étaient disgracieux envers l’origine de l’importun aujourd’hui décédé. Monsieur Gorsky sera condamné le premier octobre 2021 à la peine ahurissante de vingt-cinq années de réclusion. On tenait enfin un blanc meurtrier qui avait tué un immigré ou descendant d’immigré alors que c’est habituellement l’inverse – nous disposons de centaines d’occurrences attestant nos dires. Il fallait la peau du blanc ! L’avocat général, l’avocat de SOS Racisme se sont déchaînés, la presse avait sonné l’hallali, la curée au blanc était lancée. Ils se sont réjouis de la condamnation folle qu’ils avaient obtenue en exprimant qu’il fallait que ça serve d’exemple. Blancs, je vous en conjure, ne perdez jamais votre sang froid aussi pénible soit votre cohabitation avec vos voisins, les autres peuvent, ils seront condamnés avec légèreté, pas vous, le message est clair, vous n’avez pas le bon teint. Le racisme à votre endroit ne sera pas retenu, pourquoi ? Mais parce que !

Nous ne disons pas qu’il n’aurait pas dû être condamné, nous disons que sa peine disproportionnée est éminemment politique, raciste.

Cet homme va probablement mourir en prison, il a eu un geste condamnable certes, mais d’exaspération, il est sorti de ses gonds après quatre ans de voisinage auprès d’un voyou exubérant et pas inquiété pour son comportement ou ses trafics. Quatre ans à être persécuté par une petite racaille sans éducation sûr de son impunité, quel être humain- aussi équilibré soit-il- n’aurait pas perdu son calme en vivant cette torture ? Nous croisons tous de ces crapules exogènes dans notre quotidien, nous voyons en quelques minutes subies comment ils parviennent à faire bouillir intérieurement. Cette société devient invivable à cause notamment de leur comportement asocial. Aussi, sans excuser, demander l’impunité, nous comprenons tous que cet homme au passé exemplaire n’en pouvait plus. A l’inverse de SOS Racisme, l’association qui ne nous aime pas, qui ne nous veut pas de bien, nous pensons que ce monsieur ne méritait pas une sanction avec des circonstances aggravantes, nous pensons, au contraire, au regard du calvaire qu’il a vécu patiemment pendant des années, que son cas aurait mérité les circonstances atténuantes. »

Source T. Joly