C’était un… 8 octobre

• 1792 : influencée tant par la franc-maçonnerie que par l’Antiquité gréco-romaine, la Convention décrète que le sceau officiel de la République française sera une femme représentant la déesse Liberté. « Marianne » est née, coiffée d’un bonnet phrygien (le bonnet des esclaves affranchis à Rome).

• 1937 : décès à Paris, de Marcel Habert, dit Marcel-Habert, député nationaliste de 1893 à 1901 (quand il fut déchu de son mandat et banni par le gouvernement), puis de 1919 à 1924.
Il fut le véritable second de Paul Déroulède au sein de la Ligue des Patriotes, où il faillit lui succéder en 1914.

• 1939 : en France, arrestation de 35 députés communistes (le PCF étant alors opposé au conflit avec le 3e Reich, sur ordre de Moscou et du fait du Pacte germano-soviétique ).

• 1957 : mort du multi-assassin « Ali la Pointe », adjoint du chef terroriste FLN de la Casbah, Yacef Saadi, quand le 1er REP fait sauter sa cache. A cette date, la bataille d’Alger est gagnée par le général Massu.
Wikipedia, aux mains de l’Antifrance, présente Ali, poseur de bombes et tueur invétéré, comme « ancien militant et martyr de la révolution algérienne. Héros de la Bataille d’Alger. » Il a même des statues dans l’Algérie indépendante…

• 1965 : ouverture du procès de Jacques Laurent, Laurent Laudenbach (directeur des éditions de La Table Ronde) et Jean-François Devay pour offense au chef de l’Etat. Jacques Laurent a écrit un livre jugé insolent par De Gaulle : Mauriac sous De Gaulle. Jacques Laurent y reproche notamment à François Mauriac, dont il était jusque-là un protégé, d’être devenu l’écrivain officiel du régime gaullien. Vingt-deux écrivains prennent la défense de Jacques Laurent, dont Jean Anouilh, Françoise Sagan, Marcel Aymé et Jean-François Revel. Par écrit, François Mitterrand témoigne en sa faveur.

• 1970 : le prix Nobel de littérature est accordé à l’écrivain, historien et dissident soviétique Alexandre Soljenitsyne. Fureur du PCUS et de L’Humanité. Ce journal et le PCF calomnieront copieusement Soljenitsyne trois ans plus tard, lors de la parution de l’Archipel du goulag, alors qu’ils persistent à nier le système concentrationnaire soviétique. Ils le taxeront de sympathies « néo-nazies », ce qui est absurde mais c’est la méthode habituelle de ces gens-là.

Source : d’après Ephémérides nationalistes