« Food, Inc. », les alimenteurs

Ce reportage décortique les rouages d’une industrie qui altère chaque jour notre environnement et notre santé. Des immenses champs de maïs aux rayons colorés des supermarchés, en passant par des abattoirs insalubres, un journaliste mène l’enquête pour savoir comment est fabriqué ce que nous mettons dans nos assiettes. Derrière les étiquettes pastorales de « produits fermiers », il découvre avec beaucoup de difficulté le tableau bien peu bucolique que les lobbys agro-alimentaires tentent de cacher : conditions d’élevage et d’abattage du bétail désastreuses, collusion entre les industriels et les institutions de régulation, absence de scrupules environnementaux, scandales sanitaires… Éleveurs désespérés, experts indépendants, entrepreneurs intègres et défenseurs du droit des consommateurs esquissent, chacun à leur manière, le portrait d’une industrie qui sacrifie la qualité des produits et la santé de ses clients sur l’autel du rendement.

Des bienfaits de la bière…

Les boissons alcoolisées ne sont pas nécessairement mauvaises pour la santé, le vin par exemple s’avère même bénéfique. De récentes études prônent, elles, de réduire sérieusement nos consommations de boissons non alcoolisées et autre jus de fruit car trop riches en sucre. Que boire alors ? De la bière, bien sûr !

Selon le Dr. Stephan Domenig, directeur médical du « The Original F.X. Mayr Health Centre » en Autriche, on s’aperçoit que la bière contient de très nombreuses substances nutritives et tous les acides aminés essentiels – et non essentiels -. La bière est riche en phosphore, iode, magnésium, potassium, calcium. Une étude de la Tufts University en 2009 avait même déterminé qu’une consommation régulière de bière permettait de protéger la densité minérale des os. Pendant des années, la Guinness était même prescrite aux femmes enceintes pour sa richesse en vitamine B… À choisir, cependant, préférez des bières non pasteurisées, cela conserve leurs valeurs nutritionnelles.

Très riche en vitamines, la bière est aussi très pauvre en sucre, sucre qui est notamment directement lié à l’obésité et au diabète. Une étude de 2010 sur 38 000 américains qui ne buvaient pas (ou très peu) de bière a d’ailleurs montré qu’en boire un verre par jour permettait de faire diminuer les risques de diabète de type 2 de 25%. Mais ce n’est pas tout. La bière peut aussi vous éloigner de la maladie d’Alzheimer ou de faiblesse cardiaque, tout en augmentant la production du bon cholestérol.

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Santé : pesticides et autisme

Plusieurs hypothèses sont avancées pour expliquer l’explosion du nombre de cas d’autisme dans les sociétés occidentales. Ce pourrait-être les antidépresseurs selon certains ou encore les technologies sans fil (wifii, téléphone portable etc..) selon d’autres, mais d’après des chercheurs californiens il existe un lien entre pesticides et autisme :

Lu sur le site Le Monde :

Touchant un enfant sur 68 en 2014, au lieu d’un sur 150 en 2000, l’autisme a fortement augmenté ces dernières décennies aux Etats-Unis. Une progression qui serait en partie corrélée au développement des pesticides. D’après une étude de chercheurs californiens publiée lundi 23 juin, une femme enceinte qui vit près d’une ferme utilisant ces produits chimiques a un risque 66 % plus élevé de voirson enfant développer la maladie.

Les chercheurs de l’université Davis ont confronté des données sur les utilisations de pesticides en Californie aux adresses de 1 000 personnes. La loi en Californie requiert de préciser les types de pesticides pulvérisés, où, quand et dans quelles quantités. « Nous avons constaté que plusieurs types de pesticides ont été plus couramment utilisés près des habitations où les enfants ont développé le syndrome de l’autisme ou ont eu des retards » de développement, a expliqué l’un des auteurs, Irva Hertz-Picciotto, vice-présidente du département de sciences et de santé publique à l’université. Environ un tiers des participants à l’étude vivaient dans un rayon de 1,25 à 1,75 kilomètre de l’endroit où les pesticides ont été utilisés.

Viande hallal : danger pour la santé ?

Alain de PerettiA l’occasion de la sortie de l’ouvrage Vérités sur la viande halal (disponible ici), le vétérinaire bordelais Alain de Peretti était l’invité de TV Libertés.

Pour le président de l’association Vigilance Halal (qui regroupe des vétérinaires, des associations de défense animale et de simples citoyens), il est temps d’informer les Français sur les dangers de l’abattage rituel, et notamment ceux concernant la santé.

« Usine de légumes » !

Lu sur France info:

« Jusque-là, Toshiba fabriquait plutôt des appareils électroniques ou des réacteurs nucléaires. Mais le conglomérat industriel japonais va bientôt lancer une usine de légumes. (…)

Objectif ? Produire l’équivalent de 3 millions de salades par an, ainsi que des laitues ou des épinards. (…)

Le groupe installe actuellement des « éclairages fluorescents spéciaux optimisés pour la croissance des végétaux, d’un air conditionné qui maintient toujours la même température et un degré d’humidité constant, d’un dispositif de surveillance de l’état physique des plantes et d’équipements de stérilisation pour l’emballage des produits. »

En somme rien de plus naturel, de quoi être rassuré sur la provenance des légumes bio non ?! Bienvenue dans l‘air de l’agriculture 2.0 !

Marie de Remoncourt

L’apparition d’Alzheimer liée à l’absence de pratique religieuse?

Dans cette video, le docteur André Gernez (1923 – 2014) évoque la maladie d’Alzheimer, qui a explosé ces dernières décennies dans le monde occidental.

Il avance que la disparition de l’activité religieuse (notamment la prière) chez les jeunes, en particulier en 6 et 12 ans (alors que le cerveau limbique se forme), a un rôle considérable dans l’apparition de cette maladie neuro-dégénérative.

Le « Progrès » : dans une usine, 150 000 poussins broyés vivants chaque jour, car mâles

Une association américaine de défense des droits des animaux dénonce dans une vidéo le traitement réservé aux poussins mâles dans la plus grande usine de poules pondeuses des Etats-Unis : les poussins mâles, non rentables, sont hachés vivants au rythme de 150 000 par jour…

Dans notre monde capitaliste, le cauchemar industriel broie le vivant, au figuré comme au propre…

(en anglais) Attention, des images qui peuvent être pénibles :

« Grâce à une caméra cachée, l’association a mené l’enquête et filmé un aperçu de la réalité industrielle des écloseries modernes.

Comme les poussins mâles ne pourront jamais pondre et que leur croissance est trop lente pour en tirer de la viande, ils naissent et meurent le même jour, hachés vivants dans une machine.

Dans un premier temps, les poussins sont triés par des ouvriers en fonction de leur sexe, manipulés et jetés comme des objets. Puis, ballotés par un convoyeur, ils sont précipités dans un broyeur à haute pression pour finir en chair sanguinolente…

Le sort réservé aux femelles n’est guère plus enviable. Pour elles, c’est le début d’une vie de cruauté et de confinement. »

source & détails

Un patient échappe de peu à l’euthanasie et au prélèvement d’organes, avant de récupérer

« L’histoire nous provient de Göteborg, en Suède. Un homme de 43 ans a porté plainte contre l’hôpital dans lequel il était soigné après avoir entendu une conversation entre les médecins et sa petite amie sur… le prélèvement de ses organes. Annoncé en état de mort de cérébrale par les chirurgiens, Jimi Fritze était encore conscient, malgré sa paralysie totale. Horrifié par ce qu’il venait d’entendre, il n’a pas été en mesure de protester.

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Fuir le nutella ! Et, pour les accros, le remplacer…

Le nutella moderne est une horreur pour notre corps.
55 % de sucre (!), 17% d’huile de palme industrielle (!), etc.
C’est d’ailleurs pour cela qu’on peut en devenir « dépendant » facilement.

Mais comment le remplacer quand on est « accro » ?!

Dans la video ci-dessous, le spécialiste, après avoir rappelé la nature du Nutella d’aujourd’hui, propose une recette alternative et aussi savoureuse.

Un nouvel envahisseur menace la biodiversité française

On sait de manière certaine que partout où Platydemus manokwari s’est installé, il a détruit toute la faune d’escargots autour de lui », met en garde Jean-Lou Justine (Muséum national d’Histoire naturelle, Paris).

« Mais c’est pire que ça, parce qu’il va manger d’abord les escargots, puis après tout ce qui se trouve sur le sol et qui est mou, comme les vers de terre », poursuit ce spécialiste des Plathelminthes (vers plats) terrestres, dans un entretien avec l’AFP.

Son équipe a formellement identifié pour la première fois sur le continent européen une nouvelle espèce originaire de Nouvelle-Guinée. Les huit spécimens étudiés ont été trouvés dans une serre du Jardin des Plantes de Caen.

Très plat, ce ver mesure 5 cm de long et 5 mm de large, son dos est couleur olive noire, avec une bande centrale claire. Son ventre est plus clair.

Pour les scientifiques, qui publient leur découverte mardi dans la revue de biologie PeerJ, il y a urgence à prévenir la prolifération de cette espèce en Europe, en raison de la menace qu’elle représente pour la biodiversité.

Bonne idée, mais pensons à préserver toutes les espèces et toutes les races !

Le réveil d’un virus géant pris dans les glaces

Le réchauffement et les forages profonds favorisent le retour à la vie de pathogènes contre lesquels l’homme n’est plus immunisé.
Un virus daté de plus de 30 000 ans vient ainsi d’être retrouvé dans les sols gelés de l’extrême Nord-Est sibérien.

Dans la dernière publication des PNAS (comptes rendus de l’Académie des sciences des États-Unis), l’équipe d’un chercheur américain révèle, avec ses confrères de l’Inserm et du CEA et la collaboration des Russes,  en effet l’existence d’un nouveau virus géant (mais inoffensif pour l’homme, il infecte les amibes) baptisé Pithovirus sibericum.
Son diamètre (0,5 micromètre) et sa longueur (1,5 micromètre) en font «le plus gros virus jamais découvert », précisent les scientifiques. Il porte aussi à trois le nombre de familles distinctes de virus géants.

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Les Américains inventent une pizza quasiment « impérissable »

Un laboratoire américain de recherche militaire a mis au point une pizza qui reste « comestible » pendant trois ans, et qui ne nécessite ni congélation ni réfrigération…

Le Figaro qui évoque la chose n’y voit qu’une « avancée formidable » de la « Science », avec une majuscule s’il-vous-plaît.
A aucun moment n’est évoquée la possibilité (pour ne pas dire la probabilité) que des substances pas très naturelles, voire très toxiques pour l’homme, fassent partie de la recette, pour arriver à ce résultat évidemment contre-nature !