
Depuis l’annonce du retrait des États-Unis de l’accord nucléaire iranien et la volonté de Donald Trump de rétablir des sanctions contre Téhéran, il est désormais interdit pour les entreprises de faire des affaires avec l’Iran, sous peine de sanctions financières de Washington.
En effet, le retrait US de l’accord entraîne le rétablissement immédiat des sanctions qui avaient été levées en conformité avec le Plan global d’action conjoint (JCPOA) signé le 14 juillet 2015. Le Trésor américain a donné un délai de 90 à 180 jours aux entreprises américaines pour mettre fin à leurs activités en Iran.
« Ployant face à la décision de Washington de rétablir les sanctions contre Téhéran et l’extraterritorialité de la justice américaine, le ministre français de l’Economie a fait savoir que « la plupart » des entreprises françaises « ne pourront pas » rester en Iran, selon le ministre français de l’Economie Bruno Le Maire qui s’exprimait ce 19 juin sur RMC,
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En refusant de nommer l’eurosceptique Savona ministre de l’économie, le président
Dans un dernier essai, son livre-testament Bilan de faillite, Régis Debray fait le constat d’une faillite collective et personnelle. Il dresse le bilan d’une génération et prend acte de la fin d’une époque. La civilisation du grec et du latin s’éteint tandis que celle de l’image et du son triomphe.
A l’heure ou certains patriotes envisagent d’abandonner la défense de l’indépendance nationale au profit d’un combat exclusivement concentré sur la question migratoire, le cas du glyphosate illustre l’évidente corrélation entre la nécessaire récupération de notre souveraineté et la capacité d’action concrète contre l’invasion migratoire. Si nous ne pouvons interdire sur notre sol, sans accord préalable de l’UE, un simple herbicide, que dire de l’arrêt de l’immigration et de l’expulsion des étrangers. 
Le projet prévoit que la région frontalière franco-allemande, n’obéisse plus aux règles des Etats souverains auxquelles ces territoires appartiennent. Ce projet signe l’abandon pur et simple de la souveraineté d’une partie de notre pays par idéologie. Ce serait une désertion en rase campagne, sans guerre, sans contrainte, sans qu’un seul coup de feu n’ait été tiré…

La CEDH reproche à la France de l’avoir expulsé vers l’Algérie, un pays où la situation est « préoccupante » pour les détenus coupables de terrorisme.