(video) Italie : la méthode brutale de gitans attaquant une station-service

La police de Varese (Italie) vient mettre fin aux agissent d’une dangereuse bande de gitans. Huit personnes ont été interpellées. Plusieurs voitures de grosses cylindrées ont été saisies ainsi que des camions et du matériel pour un total de 2 millions d’euros. Le groupe s’était spécialisé dans l’attaque des stations-services.

A l’aide d’un camion-bélier, ils descellaient les bornes de paiement afin de pouvoir les emporter. La vidéo montre l’une de leurs opérations en mai dernier. A cette occasion, ils n’ont pas hésité à sacrifier une Porsche Cayenne pour dégager leur camion. Leur butin total est estimé à 300.000 euros. Ils étaient armés de pistolets et de mitraillettes.

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Marseille : un Africain qui aurait dû être en prison viole une fillette de 2 ans

Une fillette de 2 ans a été violée et hospitalisée jeudi à Marseille (Bouches-du-Rhône), a rapporté samedi le quotidien «La Provence», précisant qu’un homme, le « compagnon » de sa mère, a été interpellé.

L’enfant qui était gardée par cet homme s’est plainte d’avoir mal quand celle-ci est rentrée à la maison. La mère de famille a alors appelé les marins pompiers. Outre des traces de coups et des morsures sur le corps de la fillette, les secouristes ont également constaté que l’enfant avait subi des sévices sexuels.
Un constat confirmé à l’hôpital. La thèse du viol est alors évoquée. D’autant que l’enfant a dû subir une opération chirurgicale.

Les policiers ont mis peu de temps pour mettre la main sur le beau-père de la fillette, principal suspect, raconte encore «La Provence».

Cet homme de 28 ans, de nationalité belge et d’origine camerounaise, avait passé l’après-midi en compagnie de la fillette et de sa soeur au domicile de la mère, boulevard de Paris, dans le IIIe arrondissement de Marseille. Il a été interpellé et conduit au commissariat où il a été entendu.

Portant un bracelet électronique au moment de son interpellation, l’homme est connu pour des faits de violences envers des fonctionnaires de police.

Bref, il aurait dû être en prison, mais grâce à la République en général et à Taubira en particulier, il a pu sévir encore, en attendant la prochaine fois !

Suède : les secours réclament un équipement militaire pour aller dans certains quartiers

Capture d’écran 2014-11-19 à 18.10.13Les secours suédois ont affirmé récemment qu’ils avaient besoin de matériel pour aller dans des quartiers musulmans dans lesquels la population n’attaque plus seulement la police mais également les secours…

Le directeur de Ambulansförbundet, un centre de secours paramédical, Henrik Johansson confiait à un journal suédois : « ils (les secours) sont visés avec tout et n’importe quoi, des armes à feu aux machettes… Nous ne sommes plus protégés comme nous l’étions avant ».

Avant de poursuivre : « Certains secours sont prêts à aller dans ces quartiers sensibles, avec des casques anti-émeutes, des gilets pare-balle, des protège-tibia et bien sûr des masques à gaz. Ils devraient avoir un équipement adapté au travail dans ce genre d’environnement ».

Alors que le journaliste lui demandait s’ils désiraient donc plus ou moins le même équipement la police anti-émeutes, il a répondu : « Non, comme les militaires ».

Toute ressemblance avec des situations en France…

Site du ministère de l’Intérieur : une liste des personnes recherchées éloquente…

La liste des personnes recherchées par la police, disponible sur le site du ministère de l’Intérieur, vaut tous les discours et tous les chiffres…

Et surtout, n’oubliez pas, padamalgam !

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Source T. de Chassey

Deux journalistes, qui voulaient défendre la cause des Roms, attaquées et dépouillées !

On ne se lasse pas de ces anecdotes savoureuses, dans lesquelles les militants du Système subissent ce qu’ils imposent aux Français…

Selon Le Parisien, deux journalistes de TF1 qui réalisaient un sujet sur les Roms ont été agressées jeudi dernier à Vineux-sur-Seine.

Les deux femmes, qui avaient pour but de « sensibiliser » le public sur les conditions et le mode de vie des Roms en Ile-de-France, avaient donné rendez-vous à deux membres de la communauté, gare de Lyon, pour réaliser leur reportage. Après s’être rendu avec les deux hommes en Essonne par le RER, la situation a vite dégénérée.

Dès leur sortie du train, les deux Roms ont porté des coups de poings aux deux journalistes avant de les dépouiller de tout leur matériel, caméra et téléphones portables. Ces derniers ont ensuite pris la fuite alors que les deux femmes, légèrement blessées, sont allées déposer plainte.

Source OJIM via T. de Chassey

Pressions musulmanes dans une piscine de Châlons-en-Champagne

Pressions musulmanes dans une piscine de Châlons-en-Champagne

Un agent de sécurité de la piscine Régis-Fermier, à Châlons-en-Champagne (51) a été blessé il y a une semaine lors d’une agression à son domicile et risque encore de perdre son œil. Depuis les tensions entre des jeunes musulmans et le personnel de la piscine ne cessent de s’aggraver.

Jeudi, dans l’après-midi, une requête particulière a été formulée à la direction de la piscine. Pour que les incivilités ne s’y produisent plus, « un homme, qui s’est annoncé comme le représentant des jeunes qui posent problème », selon la direction de la piscine, a demandé s’il était possible de réaliser quelques entorses au règlement.

Ils réclament de remplacer le gardien par un représentant de la communauté maghrébine

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Encore un viol dû au laxisme judiciaire

Encore un viol du au laxisme judiciaire
Le Figaro révèle aujourd’hui une affaire qui en dit long sur le laxisme judiciaire qui prévaut en France et ses dangers.

Pour Patrice Ribeiro, le secrétaire général de Synergie-Officiers, cette affaire est « emblématique » des errements judiciaires actuels, où « un certain laxisme finit par mettre en danger les victimes ». Il un lien direct avec « l’esprit des lois Taubira ».

 Le 27 juillet dernier, une jeune femme de 25 ans, rentre chez elle, dans le XXème arrondissement de Paris vers 3h30 du matin et se fait violer par un multirécidiviste que la justice avait relâché quelques jours plus tôt, au motif qu’il présentait des « garanties de représentation », à savoir un simple justificatif de domicile fourni par la famille.

Hamidou B., le violeur présumé de 37 ans, de nationalité guinéenne, qualifié de « sans domicile fixe » par la police, avait été signalé, dès le 18 mai dernier, par une première agression connue.

Ce jour-là une femme était agressée dans le XXème arrondissement par un individu qui l’avait étranglé par-derrière, la menant au sol et « poursuivant son acte à deux mains autour de son cou ». Feignant l’évanouissement, la victime avait réussi à se libérer de son agresseur mais une demi-heure plus tard, une seconde jeune femme était à nouveau agressée de la même manière.

Pour les enquêteurs, la coïncidence était troublante et il s’agissait probablement du même homme. Un recoupement avait alors été établit avec un fait similaire commis en 2012. Grâce aux « investigations techniques », le profil du suspect était alors tombé : le fameux Hamidou B : le 10 juillet dernier, rue de l’Ermitage, à Paris (XXe), l’homme est arrêté.

Déféré, placé en détention provisoire dans le cadre d’une ouverture d’information judiciaire, il est finalement laissé libre « car son beau-frère lui a communiqué un justificatif de domicile » déplorent les policiers.

Libre sous contrôle judiciaire avec « interdiction de se rendre dans le XXe arrondissement de Paris ».

« Ce qui devait arriver, arriva », confie un représentant de Synergie-Officiers. C’est le viol de de cette jeune française.

Le multirécidiviste présumé a été arrêté de nouveau le 29 juillet après-midi, avec quatre viols ou tentatives qui pourraient donc lui être attribués. Encore un viol qui aurait largement pu être évité. 

 

De Gaza à Barbès

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Aligner sa politique sur celle d’Israël d’un côté, encourager une forte immigration arabe et majoritairement musulmane pendant des décennies de l’autre… puis s’étonner.

Seuls nos hommes politiques en sont capables, mais ils sont du même coup responsables des scènes de guerre vues à Barbès et Sarcelles ce week-end.

Voitures brûlées, synagogue attaquée, policiers agressés… Une violence qui n’est pas nouvelle mais qui s’intensifie d’année en année. Les islamo-racailles se reconnaissent, prennent conscience de leur nombre et donc de leurs forces…

Ils ne se battent évidemment pas tant pour Gaza que contre la France et c’est ce que refusent d’avouer ou de reconnaitre nos dirigeants. C’est pourtant ça qui devrait les préoccuper.

Les dégâts sont immenses, les condamnations timides pour nos pros de l’indignation et les manifestations qui avaient été interdites sont désormais … autorisées mercredi prochain. Une récompense pour bon comportement sans doute.

En face d’un phénomène qu’ils sont incapables d’endiguer, ils baissent les armes, retirent les forces de l’ordre ou les empêchent d’intervenir et ne remettent par ailleurs jamais en cause leur politique internationale… et c’est la France qui subit les dégâts d’un conflit qui s’est étendu sur ses terres sans que son peuple n’ait rien demandé ni voulu.

 

Le terroriste visait le Louvre et la Tour Eiffel

Le terroriste visait le Louvre et la Tour Eiffel

Le cas d’Ali n’est pas isolé, prévient le juge Marc Trévic. En prison depuis un an, le jeune homme est enfermé dans le cadre de l’information judiciaire pour « association de malfaiteurs » ouverte à son encontre depuis son arrestation par les enquêteurs de la DGSI alors qu’il s’apprêtait à gagner un maquis du Sud algérien pour s’y entraîner.

L’enquête vient de révéler des messages cryptés que le fameux Ali échangeait avec un haut dignitaire d’Al Qaeda au Maghreb Islamique (AQMI) dans lesquels il suggérait de viser un large éventail d’objectifs parmi lesquels la Tour Eiffel, le Musée du Louvres, des centrales nucléaires, le Festival d’Avignon ou encore des bars ou boîtes de nuit.

Des candidats au djihad toujours plus nombreux

Difficile de savoir si le jeune homme, que son avocate décrit (évidemment…) comme un jeune homme faible et victime d’un véritable endoctrinement, serait passé à l’acte, mais la DGSI, elle, insiste sur son zèle.

Aqmi reste la menace principale mais chaque zone de conflit « en terre d’islam » fait naître de nouvelles vocations, de nouvelles filières de djihadistes qui deviennent terroristes potentiels à leur retour en France. Les atrocités d’Abou Bakr al-Baghdadi qui vient de proclamer la création d’un califat en Irak attire déjà de nouvelles recrues.

A quand la surveillance des imams et des mosquées ?

Le ministre de l’Intérieur, Bernard Cazeneuve, a choisi d’élargir l’arsenal juridique pour l’adapter au mieux à ces nouvelles menaces. Il propose, notamment, de renforcer la surveillance d’Internet, qu’un enquêteur de la DGSI qualifie de « principal lieu d’endoctrinement et de radicalisation des jeunes candidats au départ ». Ce n’est donc plus la prison ?

Le renforcement de la surveillance internet est aussi une façon d’accroître les contrôles et la surveillance des citoyens Français, au nom de leur sécurité… Si on essayait de renforcer la surveillance des frontières, des banlieues, des imams et des mosquées pour commencer ?

La police affirme que Barbès « se transforme en Etat de non-droit »

BARBES

Dans les colonnes du Parisien, des policiers, presque tous sous couvert d’anonymat, livrent des témoignages accablants : le quartier du XVIIIème arrondissement de la Goutte-d’ Or à Paris, déjà classé en Zone de Sécurité Prioritaire (ZSP), est en passe de devenir une zone de non-droit.

Des témoignages édifiants

Le récit que font les policiers de certaines scènes qui se déroulent à Barbès est édifiant. Les témoignages se passent de commentaire : « Jeudi dernier, on est arrivé à une situation extrême » confie un policier. « Un contrôle sur une bagarre au couteau s’est terminé en révolte de rue. Les policiers ont dû dégoupiller une grenade de désencerclement afin de pouvoir rejoindre entiers leur voiture qui était à 30 mètres ! » poursuit le fonctionnaire de police. Un témoignage à peine croyable. Manque de moyen, sous-effectif… le commissariat du quartier de la Goutte-d’ Or, dans le XVIIIème arrondissement, est « au bord de l’implosion » selon le quotidien, qui précise que «plusieurs fois, le commissariat de la Goutte d’Or a dû diffuser au micro son appel à toutes les unités». Un policier a précisé : «200 policiers sur tout Paris ont été appelés à la rescousse. Samedi le quartier s’est à nouveau embrasé… »

Unsa-Police déclare l’« état d’urgence »

Le syndicat de policiers, Unsa-Police, dénonce une situation qui ne peut plus durer. Il diffuse depuis vendredi un tract « Etat d’urgence ! ZSP du XVIIIème »  pour dénoncer la situation. « Ce sont des voyous qui tiennent le quartier ».

Le Parisien décrit des scènes étonnantes en plein Paris, où des « supermarchés à ciel ouvert » se tiennent dans ces quartiers. On peut y acheter drogues, mais aussi « vélos fraîchement volés »  ou encore des« vêtements de marque neuf à même le sol »… Le quotidien révèle aussi le contenu des procès-verbaux des derniers jours. Le constat est sans appel : « ils attestant de ce trafic et de la montée en violence du quartier ».

La fin de l’article, là encore, se passe de commentaires. Un fonctionnaire de police témoigne que « jeudi dernier, certains policiers ont reçu la consigne de laisser tomber les contrôles des marchés à la sauvette ».

Lu sur Valeurs Actuelles

 

Fabienne, institutrice de 34 ans, assassinée par Rachida à Albi.

Fabienne tuée

Vendredi matin, dernier jour de l’année scolaire, une institutrice de grande section de maternelle a été poignardée par Rachida, le mère d’une élève de la classe de cette jeune maman de 34 ans.

Rachida, auteur du crime, était déjà connue des services de police : elle avait été signalée au début de l’année au parquet pour des « troubles psychiques » et une enquête pour délaissement de mineur avait alors été ouverte. Elle avait été hospitalisée jusqu’au 18 mars dernier avant de récupéré la plus jeune de ses deux filles en Espagne, avant de la scolariser dans cette petite école d’Albi, en mai.

Vendredi, elle est venue à l’école avec un couteau de cuisine dans son sac à main et a tué la jeune institutrice devant tous ses élèves « parce qu’elle n’était pas gentille avec sa fille », laissant deux fillettes de 6 ans et 9 mois orphelines.

Comme d’habitude, les troubles psychiatriques sont mis en avant, et personne ne relève qu’il s’agit encore une fois du meurtre d’une Française par une étrangère, aux origines marocaines cette fois-ci.

Troubles psychiatriques sans doute, qui ne l’empêchaient pourtant pas d’avoir la garde de se petite fille de 6 ans…

L’invocation de cette excuse psychiatrique est devenue le signe évident d’un meurtre commis par des étrangers, cachant la réalité d’une part, déresponsabilisant ces agresseurs d’autre part.

Ironie bien triste de cette histoire  : Fabienne Terral-Calmès était engagée au sein du Réseau Education Sans Frontière (RESF) et accompagnait notamment une famille béninoise de cinq enfants menacée d’expulsion, et militait pour sa régularisation. 

Dans la foulée du meurtre atroce de cette jeune femme, la famille a demandé à la préfecture, « en mémoire de Fabienne », la régularisation de cette famille. Les services préfectoraux auraient donné une réponse favorable…

Des décennies d’immigration de masse, de laxisme judiciaire, et de culture de l’excuse systématique envers les immigrés ont encore une fois abouti à un meurtre. Mais les politiques successives sont également responsables de la culpabilisation de cette famille qui choisit, souffrant de la mort d’une des leurs, d’accentuer – au moins symboliquement – le problème en pensant participer à sa résolution…

 

Séquestrée, frappée et violée par deux hommes « en situation irrégulière »

Capture d’écran 2014-07-02 à 14.38.45Dans la nuit de vendredi à samedi, une jeune femme de 19 ans a été séquestrée, frappée et violée par deux hommes, dans la Drôme.

Vers une heure, ils la croise, elle demande du feu pour allumer une cigarette. Ils « sympathisent » et se dirigent ensemble vers l’habitation qu’ils squattent à Bourg-lès-Valence (photo DL/Fabrice HÉBRARD).

Après son calvaire, la jeune femme est laissée « libre » et se dirige aussitôt au commissariat de la ville. Les deux hommes sont interpellés dans la matinée. Il s’agit de deux hommes en situation irrégulière dont l’identité est difficile à établir… Une fois de plus.

Ils sont depuis lundi en détention provisoire, mis en examen pour viol en réunion et séquestration.

Match de l’Algérie jeudi soir : révélateur de l’état de la France

De nombreuses rues et places de France avaient jeudi soir un aspect révolutionnaire… Que se passait-il ? Simplement un match nul de l’équipe d’Algérie face à la Russie… Ce qui déclencha la « liesse » de nombreuses racailles algériennes, qui ont exprimé à nouveau leur mépris du pays qu’elles occupent.

D’innombrables incendies criminels ont été signalés (voitures, poubelles) ainsi que de nombreuses dégradations, à Roubaix, en banlieue parisienne, à Lyon, Nantes, Grenoble, etc., par les témoins sur les réseaux sociaux, et même par quelques journalistes (Dauphiné Libéré, RTL).

A Roubaix, comme on peut le voir sur ce diapo, de nombreux biens publics et privés ont été attaqués, et des voitures incendiées

Comme dimanche dernier, les racailles ont interrompu la circulation automobile (voitures et transports en commun) et ferroviaire (SNCF et métro) dans de nombreuses villes, sans susciter de réaction des forces de police qui avaient ordre de laisser faire.

Des drapeaux algériens ont été hissés ça et là.

Tard dans la nuit, les forces de l’ordre ont fait évacuer les centres-ville souillés, affrontant parfois la violence des racailles algériennes.

A Mâcon, la police reculait face aux immigrés :

Dans de nombreuses villes, et notamment à Paris, des concerts de klaxons nocturnes ont empêchés les Français de dormir, chez eux, sans que la police – prompte à verbaliser les honnêtes citoyens – ne réagisse.

Encore une fois, la tolérance politico-policière de ce jeudi soir dénote avec la répression qu’ont connu les Français lors des manifestations contre la loi Taubira.

Match de l’Algérie : « élites » contre réalité, à nouveau.

Match Algérie CoréeCe n’est plus un fossé qui sépare médias et Français, c’est un monde. Celui de la réalité.

Hier, le journaliste-présentateur d’iTélé Jérôme Pieffer se faisait le meilleur porte-parole de ses confrères aveugles en tweetant à la suite du match de l’Algérie : « Et sinon on va devoir supporter la fachosphère raciste et manipulatrice à chaque match de l’Algérie ? ».

Quel aveu… Pendant que la « fachosphère » dénonçait les voitures brûlées, le caillassage des pompiers, les abribus cassés, les charges contre la police et les slogans anti-France des supporters algériens, le journaliste, bien trop lâche pour se rendre sur le terrain, dénonçait la « fachosphère ».

Une rumeur a couru en début de soirée, au sujet de l’église de la Duchère, à Lyon, qui aurait subi une tentative d’incendie. Les photos dataient d’une précédente tentative, en 2006, et l’intox a circulé très vite. Il n’est pas inutile de préciser qu’elle avait été lancée par un algérien émigré au Qatar, et non par la « fachosphère ».

Elle a tout d’abord circulé au conditionnel. Une prudence que ne s’imposent pas les journalistes quand ils accusent « l’extrême-droite » de toutes les pires horreurs avant que le nom des agresseurs révèle presque systématiquement un exotisme peu répandu de côté de l’échiquier. Ils se taisent alors, laissant leur propagande se répandre.

La « fachosphère » a fait amende honorable dès lors que le maire de Lyon a réfuté l’information. Mais toute la bien-pensance réunie a préféré continuer à traquer les erreurs plutôt que de regarder bien en face les photos et vidéos tournées en direct de Lyon, Roubaix, Grenoble ou Montfermeil et de condamner ces Algériens qui cassaient, brûlaient, insultaient et caillassaient, portant fièrement leurs couleurs étrangères et révélant, encore une fois, l’échec cuisant de toute tentative d’intégration de ces populations.

Mais le Français sait bien que ce n’est pas un photo-montage qui l’a empêché de dormir, le smicard réalise bien que sa voiture brûlée n’est pas une rumeur, le badaud sait qu’il a vu des sauvages hurler leur haine de la France, cachés derrière une « joie » destructrice, conséquence systématique de la drogue footbalistique chez ces gens.

A quelques pas de l’Elysée, ils scandaient « 1, 2, 3, Viva l’Algérie, 4, 5, 6 on vous a envahis ». Personne au sommet pour répondre à cette nouvelle déclaration de guerre…

L’occasion de se souvenir qu’il y a un peu plus d’un an, Manuel Valls refusait l’accès aux Champs-Elysées à la Manif pour Tous avec un argument : en vertu d’« une tradition républicaine » une manifestation ne pouvait pas se dérouler à proximité immédiate de l’Elysée.

Il faut bien réaliser la traitrise de cette République, incarnée par ces élites…

Elles empêchent leur peuple de défendre sa famille, sa culture, son identité pendant qu’elles laissent des colons destructeurs s’en prendre aux institutions et au peuple du pays qu’ils occupent. Elles trouvent même le moyen de les défendre…

Inutile de chercher plus longtemps pourquoi les journaux ne se vendent plus.

Inutile également de chercher plus longtemps à décrypter les résultats des européennes… La réponse est là, sous leurs yeux.