Images des émeutes raciales de samedi soir

A l’issue de la finale de football entre le Paris-Saint-Germain et l’Inter de Milan, des milliers de racailles, presqu’uniquement africaines, se sont livrés au saccage et aux violences à Paris et dans diverses villes de province : des centaines de voitures brûlées, magasins pillés, mobilier urbain détruit, policiers attaqués et passants agressés (on décompte 2 morts, dont un jeune Français de 17 ans, Benoît, poignardé à Dax), des dizaines de blessés, des millions d’euros de dégâts, que paieront les Français.

Le ministère de l’Intérieur du droitard Retailleau et les préfectures (en particulier le totalitaire franc-maçon Nunez à Paris) étaient au courant de ce qui allait se passer (les vidéos d’annonce d’émeutes venant de Maghrébins ont été largement diffusées auparavant), mais n’ont pas pu, ou voulu, empêcher les citoyens et les pompiers d’être victime de la racaille étrangère importée par les politiciens. Ce n’est pas « notre société qui fabrique des barbares », comme l’affirme Retailleau, ce sont les partis politiques dont le sien.
Les Français sont livrés à eux-mêmes.

Des occupants souillent la statue de Jeanne d’Arc, place des Pyramides à Paris :

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La préfecture a laissé faire.

Et pendant ce chaos, Macron postait « Champion mon frère », en essayant de reprendre, ridiculement, le langage des Arabes de banlieue.

Bonus : des Arabes s’amusent à nuire en bloquant le périphérique parisien