« Mgr » Georges Pontier, président des évêques de France : franc-maçon et gauchiste !

Les évêques français sont généralement, de fait, des militants de gauche, mondialistes et invasionnistes, etc.

Georges Pontier est l’un des pires.
Généralement considéré comme franc-maçon (du Grand Orient !), il avait fait parler de lui en appelant au boycott du film de Mel Gibson, La Passion du Christ, car pouvant attiser l’antisémitisme…

Le numéro actuel de la lettre confidentielle Faits & Documents (disponible ici), d’Emmanuel Ratier, lui consacre un portrait aussi détaillé qu’accablant. En voici l’introduction :

Président de la Conférence des évêques de France (CEF) depuis avril 2013, Mgr Pontier, a su, en un an, très discrètement, imposer un prêchi-prêcha droit-de-l’hommiste de stricte observance.
Partisan du sacro-saint « dialogue inter-religieux », immigrationniste radical, antinational rabique, ardent défenseur des Roms, ce « souverain poncif » se pare des atouts de l’« Évangile du Christ » pour se faire l’apôtre de sa vision systématique, tout en arguant que ce n’est pas le rôle de l’Église de faire de la politique.
Ainsi Georges Pontier, sur son « ton chantant et volubile » (Trombinoscope des évêques, de Golias 97), distille-t-il à merveille un discours qui ferait passer l’EHESS ou le parti radical de gauche pour des officines réactionnaires.

L’élection à la tête de la CEF de cet homme aussi habile que discret fut surtout la traduction d’un rétropédalage de l’épiscopat français par rapport à la Manif pour tous. Une mise au diapason idéologique de l’Église de France sur ce que le PS compte de plus à gauche, alors que les entrées en séminaire ne cessent de baisser (moins de 100 ordinations par an). Mais cela ne semble pas inquiéter outre mesure notre homme, qui déclare, sans rire, « nous vivons une époque où massivement, le christianisme perd de son influence, mais où qualitativement, il devient plus signifiant. »

Les amis de Clément Méric manifestaient hier…

Dans la video ci-dessous, on voit la manifestation spontanée des camarades de Clément Méric, « jeune étudiant pacifique », « élève modèle tué pour ses idées ».
Que pense le sourcilleux Valls de leurs slogans ?
« Flics, fascistes, assassins ! »
« Un flic, une balle, justice sociale ! »
« A bas l’Etat, les flics et les fachos ! »
« Mort aux fachos ! » (attention, dans leur cas il ne s’agit pas d’ « appels à la violence »…)
A 3’25, la racaille antifa essaie de s’en prendre à l’église Saint Nicolas du Chardonnet, mais est bloquée par des CRS.

Quand Désir dénonce la lepénisation de la droite parlementaire…

Amusant. Car précisément, quand la droite parlementaire s’oppose au « mariage » homosexuel, elle ne fait que conserver les positions sociétales qui ont toujours été les siennes. Pourquoi dès lors suggérer un mouvement idéologique de la droite parlementaire, en l’occurrence vers l’«extrême-droite» ? Manifestement, pour Harlem Désir, lorsque la droite refuse d’être de gauche, y compris sur les sujets de société, elle devient « extrémiste ». Un bon politique de droite se doit finalement d’être culturellement de gauche.

A la vérité, et on y voit plus clair ainsi, lorsque la droite ne souscrit pas au principe du progressisme de gauche, qui n’admet aucun ordre naturel des choses, mais postule  l’évolution permanente d’une société qui doit s’émanciper des règles issues de notre culture chrétienne, cette droite est nécessairement « homophobe » ou « réactionnaire ». La gauche, incapable d’ouverture intellectuelle, analyse finalement les positions de la droite à partir de ses propres prémisses à elle, s’interdisant ainsi de comprendre le discours de droite.  Et de disqualifier alors cette droite, qui refuse de rejoindre la gauche sociétale (rendez-vous compte !), en lui accolant les épithètes les plus convenues : on sort alors de l’univers de la pensée pour entrer dans celui, irrationnel, de l’invective et du slogan.

Le ressort est éculé : la bonne vieille dialectique trotskyste a déjà fait ses preuves. Elle consiste à diaboliser l’adversaire par la caricature, afin de le discréditer dans l’opinion, chaque fois qu’il s’éloigne des balises de la bien-pensance. Autant qu’il est possible, il faudra l’associer, en imposant une rhétorique calculée, vectrice d’une charge affective démesurée, aux « z’heures-les-plus-sombres-de-notre-histoire ». Tout un concept. C’est ainsi que tous ceux qui ne sont pas de gauche sont et resteront toujours des fascistes…

Jean de Rouen

« Le vote ethnique existe »

La nouvelle enquête de l’Institut national d’études démographiques (INED) a été réalisée entre septembre 2008 et février 2009 auprès d’environ 21 000 personnes nées entre 1948 et 1990 et limitée aux personnes nées après 1958 pour celles qui sont originaires des DOM. Les auteurs de l’enquête, Vincent Tiberj, chargé de recherche à Sciences Po, et Patrick Simon, socio-démographe à l’INED, ont voulu savoir de quelle manière les immigrés et leurs descendants participent à la vie politique française.

Résultat : l’enquête démontre que les différents groupes d’immigrés et leurs descendants ont des comportements bien spécifiques liés à leurs origines.

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