Lajos Marton : vie hors du commun d’un patriote

 L’un des rares a avoir été condamné 2 fois à mort !
Patriote hongrois et français, Lajos Marton a été espion, combattant à Budapest en 1956, militant OAS, participant à l’attentat du Petit-Clamart contre De Gaulle, etc.

Ses mémoires viennent de paraître : Ma vie pour la patrie.
Dans l’émission audible ci-dessous, il est reçu par Emmanuel Ratier pour évoquer sa vie (à partir de la 22e minute).
 

Le livre est disponible ici.

4e de couverture :

« Lajos Marton est connu en France pour avoir été l’un des trois Hongrois ayant participé à l’attentat du Petit-Clamart, qui manqua de peu le 22 août 1962 d’ôter la vie au Général De Gaulle, alors président d’une France secouée par le drame de la guerre d’Algérie finissante.
Pour cela, Lajos Marton sera condamné à mort.
Comment ce fils de paysan hongrois en est-il arrivé jusque-là ?
C’est ce que le lecteur découvrira au travers du parcours d’un homme engagé qui donne aussi un portrait saisissant des bouleversements de l’histoire européenne du XXe siècle. Condamné à mort, Lajos Marton l’avait déjà été quelques années auparavant dans son pays natal.
Résistant dès sa jeunesse à la dictature communiste en Hongrie, les convictions de Lajos Marton le conduiront à prendre des risques insensés dans une mission d’espionnage pour le compte de l’OTAN au coeur de l’Etat-major de l’armée communiste hongroise, puis à participer les armes à la main à l’insurrection du peuple hongrois de l’automne 1956 contre la domination soviétique.

Réfugié en France, Lajos Marton participe en mai 1958 à l’opération Résurrection qui force la main aux dirigeants de la IVème République agonisante à céder le pouvoir au général De Gaulle, qui promet la sauvegarde de l’Algérie française. Révolté par la politique gaulliste et bouleversé par la tragédie des Pieds-Noirs, Lajos Marton choisit par patriotisme à l’égard de son pays d’adoption de rejoindre les rangs de l’OAS.
L’échec de justesse de l’attentat du Petit-Clamart ne décourage pas Marton et ses amis, qui préparent un nouvel attentat. Mais la majorité des membres du groupe est arrêtée, dont le colonel Bastien-Thiry qui sera fusillé en mars 1963. Refusant de quitter la France, Lajos Marton parvient à vivre plus d’un an dans la clandestinité. Arrêté en septembre 1963, il sera gracié en 1968.

Après s’être marié et avoir obtenu la nationalité française, il repart au combat au Tchad à l’été 1983, dans une mission visant à enrayer l’avancée des rebelles tchadiens soutenus par le colonel Kadhafi.
Il retourne en Hongrie en 1987, où il est réhabilité après la chute du régime communiste.

De nos jours, Lajos Marton vit à Paris.
Un demi-siècle après les événements, il livre les secrets (y compris ceux des archives secrètes communistes récemment ouvertes) des nombreux événements auxquels il a participé. Lajos Marton offre ainsi aux générations suivantes le trésor inestimable de l’exemplarité et du courage qui ont animé sa vie. Ce livre est la biographie complétée du best-seller de l’auteur, publié en 2002 sous le titre Il faut tuer de Gaulle. Il a également été édité en Hongrie, où il a rencontré un grand succès. »

11 commentaires concernant l'article “Lajos Marton : vie hors du commun d’un patriote”

  1. Un homme , un vrai ,patriote hongrois et francais ,rien à voir avec le nain sarko l’escroc qui squatte l’Elysée pour y laisser 700 milliards de dettes aux francais avec ses potes apatrides umps ,incompétents parasitaires de nos impots , tous traitres à la France , tous rupins sionistes vautrés dans le baratin shoatique ! L’Europe a désespérement besoin de gens comme Lajos Marton pour reprendre controle de nos Nations volées par les mafieux banksters et autres barjots islamistes dont le mondialisme se resume à la ruine pous tous avec ‘un carcan obscurantiste islamiste pendant les talmudistes se gobergent dans nos palais incitant à la haine anti-blancs et anti-chrétiens !

  2. Comme le dit la chanson de jean pax méfret Budapest,comme iswan, Lajos Marton est un héros du pays réel, il compris lui le réfugier hongrois que le Gaullisme était une horreur totalitaire a visage humain, le titisme doux mais qui fit hélas des victimes, un seul regret que le commandos du petit-clamart n’est pas réussit à nous débarasser une fois pour toute de l’ogre de colombet les deux mosquées.

  3. Un homme que vous maudissez tous avec une inquiétante unanimité a souvent tenu des propos qu’il est bon de rappeler :
     » Défiez-vous de ces cosmopolites qui vont chercher au loin des devoirs qu’ils dédaignent d’accomplir chez eux . Tel philosophe se flatte d’aimer les Tartares pour être dispensé d’aimer ses voisins  »
    J-J Rousseau
    La religion du Progrès est un dogme libéral . Plus encore que la doctrine marxiste , une dénaturation du socialisme , c’est elle qu’il faut combattre .
    L’anticommunisme , c’était une ruse pour unir Droâte inintelligente et Gôôche des crapules autour des gardiens du Temple ( Wall Street et la City )
    Il y a encore aujourd’hui des gens qui n’ont pas compris .
    Le triomphe de la Bêtise au profit des ploutocrates = réalité de la Déesse Démocratie

  4. « L’anticommunisme , c’était une ruse ».
    Quel amalgame scandaleux entre les faux anticommunistes et les vrais anticommunistes !!!!!!!!!!
    Ne vous-inquiétez pas, Albert, des gens analysent très bien votre « dialectique ».
    La droite nationale doit se débarrasser de ses éléments douteux; est douteux, par définition, celui qui est complaisant envers le communisme; est douteux par définition celui qui au motif d’un paganisme GROTESQUE, crache contre la religion de la France.
    C’est fou combien le paganisme a la vogue parmi les marranes….
    sur les sites juifs fleurissent les pseudos comme Thor, Agamemnon…..
    Lajos Marton est un fervent anticommuniste, c’est cela qui dérange Albert CQFD

  5. Anonyme ,
    Je retrouve en même temps que tes certitudes de rustre ton incivilité .
    Je livre malgré tout à ta faible capacité de réflexion quelques propos que j’emprunte à un homme dont j’avoue ne partager que rarement les points de vue .
     » je ne me sens plus rien de commun avec ce pays qu’on appelle la France . J’y étais naguère attaché de toutes les fibres de mon être .Aujourd’hui une mutation s’est opérée en moi . J’ai honte désormais d’être français . Je ne suis plus qu’un Français administratif . Aucune des valeurs auxquelles je crois n’est plus respectée en France , quand elle n’est pas tournée en dérision . La notion de patrie est désormais l’apanage des pays communistes .
    Pauvre pays , pauvre peuple , gorgés de confort matériel qui s’imaginent naïvement avoir encore devant eux une longue vie , alors qu’ils ont perdu l’instinct de conservation  »
    Antoine Argoud , ancien élève de l’X
    texte publié en 1973

    j

  6. Anonyme ,
    […] je suis obligé de te préciser que je ne me réclame ni de la droite ni non plus de la gauche , catégories désuètes utilisées par les politiciens professionnels pour maintenir un peuple divisé .
    Pour autant que je sache les personnes qui se prononcent en faveur du FN sont depuis plusieurs décennies déjà massivement issues de la gauche .
    Ce n’est pas mon cas ; je le reconnais je faisais partie des abstentionnistes et je n’en rougis point .
    La Démocratie n’a jamais été ma tasse de thé . Et puis , je n’ai aucune raison de le cacher , étant tout jeune lycéen , j’ai dévoré les écrits d’Auguste Comte –  » Ordre et Progrès  » – un ancêtre de la technocratie qui s’il était républicain se défiait de la démocratie .
    Avec moi , tu apprends beaucoup . N’oublie pas de me remercier sans quoi tu me confirmeras que ton éducation laisse à désirer .

  7. « tes certitudes de rustre ton incivilité »
    C’est certain, j’ai des certitudes quant à Albert….

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