19 mars : compte-rendu de manif à Paris

Bravo au RF d’avoir sauvé l’honneur à Paris.
Compte-rendu trouvé sur le site du mouvement :
« Ce 19 mars, la section parisienne du Renouveau français a organisé une manifestation à l’occasion de la célébration mensongère du « 19 mars 62 » par les forces politico-médiatiques.
Une manifestation pour l’honneur, mais aussi une manifestation de dénonciation et de revendication.
Il s’agissait de s’en prendre à l’escroquerie qui consiste à présenter le 19 mars 1962 comme la fin de la guerre d’Algérie et comme un « cessez-le-feu ».
Il est intolérable de voir fleurir les places, rues et pont « du 19 mars 1962 ».

Un cortège solennel s’est donc élancé au son du tambour, muni de flambeaux, drapeaux au vent.
Les slogans et chants se succédèrent. Direction la « place du 19 mars 1962 », que l’on doit au sinistre Delanoë, dans le 12e arrondissement parisien.

Arrivés sur place, le directeur du RF, Thibaut de Chassey, rappela la réalité de l’après « 19 mars », qui fut en fait le début des massacres de masse.
Plus de 100 000 musulmans pro-français suppliciés, 5000 Européens disparus (hommes lentement mis à mort, femmes et jeunes filles réduites à la prostitution et victimes de la traite des Blanches), plus d’un million de Pieds-Noirs exilés, abandonnant tout derrière eux et fort mal accueillis en métropole.
Ajoutons au bilan près de 30 000 jeunes soldats français sacrifiés pour rien.

L’Etat FLN, qui n’a pour politique à proposer à ses citoyens que la haine et le ressentiment antifrançais – basés sur la falsification de l’histoire -, a été vigoureusement dénoncé.
Héritant d’un pays bâti par la France, avec de nombreuses infrastructures et des ressources exceptionnelles, le FLN n’a rien su faire et aujourd’hui les anciens terroristes les plus en vue viennent se faire soigner à Paris, chouchoutés par les Hollande et Sarkozy.

La trahison de De Gaulle a été pointée du doigt.
Le lien entre la conclusion honteuse de la guerre d’Algérie, pourtant gagnée militairement, et la situation française actuelle a été mis en valeur. La France algérienne à laquelle nous avons droit en est une conséquence.
Notre directeur a conclu en exigeant le rétablissement de la vérité sur l’œuvre française en Algérie et la fin de cinquante ans de mensonges et d’injustice.


 

Puis Roger Holeindre, président du Cercle national des combattants, a pris la parole pour dénoncer en termes vifs la trahison des autorités en 1962, l’arnaque des « accords d’Evian » et évoquer non sans émotion le sort tragique qui en a résulté pour tant de familles.

Enfin, Pierre Descaves, ancien résistant de l’Algérie française, prit le micro pour conclure en nous mettant en garde contre les menaces que nous réserve la situation française actuelle : une nouvelle « guerre d’Algérie » à l’envers est à craindre ici. Il nous expliqua qu’il faudra peut-être, demain, défendre le territoire national, défendre nos familles face à un ennemi haineux et cruel, qui se développe grâce à la lâcheté et la complaisance des pouvoirs publics.

Pour l’anecdote, quelques dizaines d’opposants (gauchistes et immigrés haineux munis de drapeaux FLN) ont tenté de s’en prendre par deux fois à la manifestation. La première fois, au début de notre rassemblement, ils ont renoncé à s’approcher trop près… La seconde, après la dispersion de nos militants, ils ont tenté d’attaquer un groupe qui s’était attablé dans un bistrot du quartier. Mauvaise idée : les assaillants ont dû rapidement déguerpir, non sans souvenirs désagréables et après avoir blessé un policier qui se trouvait à proximité. Du côté patriote, personne n’a été incommodé, mais notre mégaphone a été cassé (vous pouvez financer l’achat d’un nouveau modèle(vous pouvez financer l’achat d’un nouveau modèle ici). »

9 commentaires concernant l'article “19 mars : compte-rendu de manif à Paris”

  1. Sur You tube Algérie

    Toutes les vidéos sur l’Algérie : je me suis baladé en hélico env 30 minutes à Oran années vers les années 59/60. Il y avait de beaux bâtiments…

    Hier, j’ai vu copain (plus vieux) il avait était punit par son Capitaine pour avoir refusé de voter lors du référendum sur l’indépendance de l’Algérie organisé par le régiment : il n’y avait que des bulletins OUI

    rebel on resteras

  2. Rien à voir ou presque mais je me rappelle en 1977 avoir entendu une manifestation anti-française à Alger. Et surtout un Georges Marchais venu spécialement pour parler contre la France devant une foule haineuse qui, ensuite, se déversa dans les rues et devant nos fenêtres faisait un signe avec le pouce de nous couper la gorge.
    C’est le socialisme et le communisme de France. Toujours à contre-courant pourvu qu’ils foutent la pagaïe dans les esprits et mieux ruiner leur propre pays.

  3. @jacoba
    Excusez moi cette indiscrétion, mais que faisiez vous en Algérie à cette époque ?
    PS. Si la questio’ vous importune, passez la .

  4. Je travaillais dans un hôpital à Alger. D’ailleurs ce qui me fichait le plus en colère c’était de voir au moment du ramadan, deux infirmiers l’un avait dégagé une pauvre femme de son lit pour s’y coucher et dormir, la pauvre femme était assise à califourchon sur une chaise, le flacon recueillant le drain de son rein posé par terre… ; le second était couché dans une armoire, sur la pile de draps propres…. enfin normalement propres. A l’époque il y avait une épidémie de typhoïde.

    Comme me répondait un jour quelqu’un sur ce forum de Contre-info, il faut connaître ses ennemis, c’est quand même plus facile ensuite de les combattre sur leur propre terrain. Je ne suis restée qu’un an, à peine même. Contente de rentrer et bien décidée à ne plus jamais repartir outre-mer ou outre-méditerranée pour y travailler puisque je ne partageais pas la culture ni l’éducation de ces populations.
    J’ai cependant bien regretté le désert. C’est fabuleux. Si reposant. On s’y croit seul. Et pourtant : vous arrêtez la voiture au milieu de pistes, rien à l’horizon. Rien à l’horizon ? Pas longtemps, deux minutes après, vous distinguiez nettement des petits points qui se déplacent tout en se dissimulant dans les dunes… On avait la consigne de ne jamais se déplacer seul et encore moins seule. Et surtout rester chez soi les jours où il y avait un match de foot… ces soirs-là c’était la folie dans les rues, des violences…

    Alger la Blanche…. Nous, nous l’appelions Alger la Grise. C’était d’une saleté… Les ordures balancées par les fenêtres sans se préoccuper si quelqu’un passait en-dessous, des crachats partout par terre à ne pas pouvoir les compter, vous ne releviez jamais la tête de peur de glisser sur l’un d’eux et de tomber les fesses dedans… Pas de bijoux sur soi, des bandes de gamins détournaient votre attention pour vous voler un collier, un bracelet. Ou votre porte-monnaie.

    Mmmm !

  5. « Et nous à Toulouse 2500 et on en parle pas? »

    Et bien si on ne parle que de ca depuis ce matin.
    La ville rose est devenue verte et a maintenant le droit a son croissant^^

  6. La France qui reste debout.

    Elle aura beau être minoritaire, elle restera toujours le pays réel.

    Les quelques Justes qui justifieront le pays.

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