Valls débloque 100 millions d’euros pour un « plan contre le racisme et l’antisémitisme »

En déplacement à Créteil, le premier ministre Manuel Valls a dévoilé ce vendredi 17 avril la feuille de route et le budget alloué au « plan de lutte contre le racisme et l’antisémitisme » promis par François Hollande.

« Le racisme, l’antisémitisme, la haine des musulmans, des étrangers, l’homophobie augmentent de manière insupportable dans notre pays » a vociféré le chef du gouvernement.

« Il y avait urgence à passer de l’indignation – trop souvent insuffisante – à l’action », a-t-il ajouté avant dévoiler un vaste plan doté de « 100 millions d’euros sur trois ans« , selon le document officiel remis à la presse.
Alors que de nombreux Français sont dans la misère, que les églises sont rasées faute de budget d’entretien, que les impôts s’alourdissent toujours plus, 100 millions d’euros seront encore consacrés aux lubies idéologiques du gouvernement et à la répression des Français qui ne veulent pas disparaître sous l’invasion programmée par les politiciens…

Ce « plan » (que l’on peut lire ici) comprend 40 mesures, des plus symboliques aux plus répressives, articulées autour de la « justice », d’Internet et de « l’éducation » (sic).

Parmi celles-ci, dont bon nombre ont une consonance terriblement orwellienne, signalons :

– « Intégrer la répression des discours de haine au droit pénal général » (ce qui permettra de sortir du droit de la presse les propos politiquement incorrects)
– « Faire du racisme et de l’antisémitisme une circonstance aggravante » lors des procès
– « Rendre possible le recours à l’ordonnance pénale en matière d’injures racistes » (sic)
– « Garantir la sécurité des lieux de culte, des écoles et des points de rassemblement juifs et musulmans » (ce qui montre bien que l’idée est de favoriser certaines communautés)
– « Créer une unité nationale de lutte contre la haine sur internet » (augmenter la surveillance et la censure d’internet)
– « Former les personnels aux valeurs de la République et à la laïcité »

Bref, le Régime poursuit sa fuite en avant dans l’idéologie antifrançaise, le flicage des citoyens, la répression des dissidents…