Une « chercheuse » gauchiste prétend chiffrer le coût de la « virilité » pour la société

Régulièrement, la gauche, toujours plus tarée, parvient encore à nous surprendre.
Tout ceci serait très drôle si ces prétendus chercheurs-glandeurs n’étaient pas souvent payés par nos impôts et si leurs élucubrations n’étaient pas relayées dans la société par les médias et les politiciens habituels.

Cette fois, une féministe se prenant au sérieux joue sur la corde du gaspillage d’argent (pourtant une spécialité de la gauche) pour s’en prendre violemment aux hommes (car, oui, la virilité est ce qui caractérise naturellement un homme).
Comme les autres, elle ne nuirait pas plus que cela si elle n’était relayée par les médias ; par exemple ici :

Le début de l’entretien avec cette drôlesse suffit.
En effet, quand le journal de gauche-caviar Challenges lui demande comment lui est venue cette idée de calculer « le « coût de la virilité » pour la justice, l’Etat et la société française », Lucile Peytavin répond ceci :
« J’écrivais ma thèse d’histoire sur les femmes dans l’artisanat et le commerce. Je suis tombée sur des statistiques étonnantes : 96% de la population carcérale est composée d’hommes, ils sont responsables de la grande majorité des violences infligées dans la société. Je me suis demandée pourquoi on n’en parlait pas… »

C’est énorme. Il y a autre chose que cette brillante chercheuse n’a pas vu :
85% des détenus sont noirs, 10% maghrébins, et le reste gitan et blanc.
Cette disproportion avec la composition de la population française ne lui semble pas « étonnante ».
Evidemment, sa carrière serait fichue et les médias ne la relayeraient pas si elle expliquait que : « 96% de la population carcérale est composée [d’immigrés], ils sont responsables de la grande majorité des violences infligées dans la société. Je me suis demandée pourquoi on n’en parlait pas… ».
Elle aurait peut-être même la « justice » sur le dos.
Mais cela ne lui viendra pas à l’idée, de toute façon : c’est d’abord une militante au service d’une idéologie gauchiste : c’est-à-dire qu’elle ne se préoccupe pas du réel.
Bref, sa première réponse suffit à juger du sérieux et de l’impartialité de sa démarche. Quelle escroquerie…