Un tribunal déclare qu’un homme qui se dit femme peut être la «mère» de sa fille sur le certificat de naissance

Des nouvelles de l’asile que devient la France : parallèlement aux attaques que subit l’état-civil avec les lois interrompant la transmission traditionnelle du nom de famille, il y a maintenant ces histoires délirantes de prétendus « changements de sexe ». On nage en plein délire gauchiste.

Vu chez Campagne Québec-Vie :
« Une cour d’appel de Toulouse vient de décider que l’homme qui prétend être une femme a le droit légal d’être identifié comme la mère de son enfant. Pour comprendre à quel point tout cela est ridicule et déconcertant, il suffit de voir comment Yahoo a couvert l’histoire :

Dans ce qui représente une première pour le système judiciaire français, une cour d’appel a reconnu le droit d’un transgenre homme-femme — qui a conçu un enfant avec son appareil reproducteur masculin — d’être nommé comme la mère sur l’acte de naissance de l’enfant. Ce couple originaire de l’Hérault — initialement hétérosexuel — a donné naissance à plusieurs enfants, dont le dernier a été conçu après que son père ait changé de sexe, tout en conservant son appareil reproducteur masculin. La fillette est née après le changement d’état civil du mari, devenu femme.

Cet homme, disent les médias, « a conçu un enfant avec son appareil génital masculin ». Cette phrase casse-tête est un résumé succinct de la psychose dans laquelle notre culture a sombré. Et bien sûr, la pauvre petite fille — qui verra son acte de naissance modifié rétroactivement — sera embarquée dans cet embrouillamini. Selon Yahoo, l’officier d’état civil sain d’esprit qui avait refusé de procéder aux modifications initiales avait refusé de reconnaître « le statut maternel demandé par la femme non gestante. Seule la mère gestante figurait sur l’état civil de l’enfant ».

Et essayez de comprendre cette phrase : « Le partenaire transgenre n’ayant pas été reconnu comme le père, sa compagne a dû adopter sa propre fille biologique, en tant que mère adoptive ». Maintenant, avec le succès de leur procès, un autre tribunal activiste a jugé que la réalité biologique n’est pas pertinente pour l’identité, et une autre prémisse transgenre est inscrite dans la loi. Comme le dit Yahoo : « Depuis 2016, la loi française autorise le changement de sexe sans réassignation sexuelle qui permet de faire coexister des réalités juridiques et biologiques distinctes ». Sauf que, bien sûr, c’est impossible. »