Vendredi matin, un Malien a été assassiné de nombreux coups de couteau dans la mosquée de la Grand-Combe, près d’Alès (Gard), par un homme qui aurait tenu des propos hostiles à l’islamisme.
Ce qui écoutent France Info par exemple, n’auront entendu (jusqu’à samedi soir inclus) à propos du suspect que son prénom, Olivier, et sa nationalité, « française ». Pas d’autres détails. Chacun, sauf les plus avertis, imaginera donc un Gaulois.
Or, nonobstant ses papiers français (qui ne veulent plus rien dire), il vient de Bosnie, et il a une tête de Rom :
C’est de la désinformation pure et simple, comme d’habitude.
Les gros médias et politiciens parlent aussi de « racisme », sans que cela n’ait a priori rien à voir :

Il s’agit là d’une façon de stigmatiser fourbement l’opposition au Grand Remplacement, car celle-ci serait elle aussi « raciste ».
« Cet acte tragique n’est pas le fruit d’une soi-disant islamophobie rampante, mais d’un chaos migratoire que nos élites ont organisé. Aboubakar et Olivier ne se seraient jamais croisés si chacun était resté dans son pays d’origine. C’est l’immigration qui tue, pas la France éternelle. » (source)
Notons que la gauche, qui se précipite pour manifester contre « l’islamophobie » à l’occasion de ce meurtre, n’a jamais manifesté pour le moindre francocide…
Mais les larmes d’un Mélenchon – vieux roublard à la fin d’une longue carrière de politicien – à la manifestation LFI de ce dimanche ne semblent pas sincères : on sait bien qu’il fait assaut du clientélisme le plus crasse envers les millions d’immigrés musulmans qui colonisent la France, espérant récolter leurs voix après avoir perdu celles des couches populaires françaises.

Rappelons d’ailleurs ce que déclarait Mélenchon avant d’opter pour cette nouvelle stratégie électorale :
