Maison de l’horreur à Nogaro (32) : des enfants auraient été violés, séquestrés et torturés pendant des années par un Ivoirien islamiste, ayant 4 femmes et 28 enfants qui vivaient de la CAF

Evidemment, la France gardera ces 28 enfants élevés dans un climat délirant et ultra-violent, avec pour nombre d’entre eux, les conséquences que l’on devine.

« Vingt-neuf adolescents et enfants auraient été victimes de l’emprise nocive d’un homme de 42 ans, mis en examen ce jeudi 7 avril à Agen, pour viols sur mineurs et placé en détention provisoire. Les faits se seraient produits entre 2017 et 2020 dans une maison isolée à Nogaro.

C’est une imposante bâtisse en bois à l’abri des regards, située en bordure de piste de l’aérodrome de Nogaro. Une construction d’apparence plutôt récente, louée par un homme de nationalité ivoirienne de 42 ans à un propriétaire belge, qui se serait transformée durant plusieurs années en véritable maison de l’horreur. Les faits reprochés qui s’y seraient déroulés entre 2017 et 2020 sont d’une extrême gravité : viols sur mineurs de 15 ans avec actes de barbarie.

Le quadragénaire mis en cause dans cette sordide affaire aurait fait venir dans le Gers une première femme, vite rejointe par plusieurs de ses sœurs, toutes de nationalité française et âgées entre 32 et 42 ans. Elles auraient eu avec lui des relations sexuelles plus ou moins consenties et auraient cohabité dans sa maison en compagnie de leurs nombreux enfants. L’une d’elles a toutefois fini par quitter les lieux avant de dénoncer des faits de viols, violences volontaires et séquestration. Selon ses dires, les enfants auraient vécu un véritable enfer : victimes de sévices sexuels, ceinturés avec du câble ou encore frappés par les adultes et les enfants les plus âgés. La plaignante a notamment évoqué des coups de tuyaux portés sur les mineurs, enfermés des heures durant dans le noir… Glaçant. […] » (source)

 

« L’affaire démarre en septembre 2020. Une famille venue de l’Oise débarque à Nogaro, une bourgade de 2000 âmes. Les nouveaux arrivants louent une grande bâtisse située dans un lotissement aéronautique, un peu à l’écart du village. Personne ne sait vraiment de quoi ils vivent. «Sans doute des revenus de la CAF (caisse d’allocations familiales, NDLR)», confie une source proche du dossier. (…) » (source)

Source FDS