Le juge qui proposait sa fille de 12 ans sur un site libertin voit sa peine allégée et réduite à du sursis

image d’illustration

Voilà ce que cela donne quand les juges se jugent entre eux, même pour des faits particulièrement révoltants…

Peine à comparer avec ce que subissent les patriotes, ceux qui transgressent le politiquement correct, etc.

« Il avait été condamné à deux ans de prison dont un an ferme aménageable en première instance puis avait fait appel. Finalement, l’ancien magistrat de Dijon, qui proposait sa fille âgée de 12 ans à l’époque sur un site de rencontres libertin a vu sa peine allégée. Elle a été entièrement assortie de prison avec sursis probatoire avec obligation de soins, comme nous l’a confirmé la cour d’appel de Besançon.

Il est également frappé d’une interdiction d’exercer une activité en rapport avec des mineurs, que ce soit professionnellement ou bénévolement, pendant 10 ans.

Dans le détail, le magistrat expérimenté de 56 ans, qui ne s’était pas présenté au tribunal lors de son procès en première instant, était poursuivi pour « instigation non suivie d’effets, à la commission de crime de nature sexuelle contre des mineurs ». Le tribunal avait à l’époque suivi la réquisition du procureur.

Les faits auraient eu lieu de façon répétée entre octobre 2019 et mai 2020. C’est le site libertin sur lequel avaient été postées les annonces qui avait alors averti la justice, indiquant qu’un individu proposait que sa fille de 12 ans soit associée aux ébats sexuels d’adultes consentants.

L’ex-magistrat était également accusé d’avoir transmis des photos de sa fille en maillot de bain sur un site libertin. Cependant, aucun contenu à caractère pédopornographique n’a été retrouvé. L’adolescente n’avait pas été agressée sexuellement.

Pour sa défense, l’homme a toujours affirmé que cela relevait de purs « fantasmes« . Il a également évoqué un traumatisme psychologique survenu à la suite d’un procès aux assises lors duquel il avait été avocat général. Il s’agissait de celui de Pierre Bodein, condamné à la perpétuité incompressible pour trois meurtres et deux viols.  » (source)

Ah, et c’est sensé être rassurant ou disculpant ?