La chute de la maison Villiers

Dimanche, Philippe de Villiers ne sera plus président du conseil général de Vendée. Avec sa démission, le fondateur du Mouvement pour la France signe la fin d’un règne sans partage qui se clôt dans les non-dits

Philippe de Villiers, 61 ans, s’est réfugié chez Blanche-Neige et Cendrillon. Il vient de passer plusieurs jours aux Etats-Unis, à Disney World puis à Las Vegas. Le vicomte était en quête de nouvelles idées pour son cher Puy-du-Fou, là où tout a commencé, d’où il a fait grandir sa renommée puis celle de la Vendée. C’est aussi l’endroit où il va se replier. Parmi tout ce qui comptait pour lui, le Puy-du-Fou est le seul lieu qu’il contrôle encore. Sur tous les autres fronts – sa famille, le département, la politique nationale -, il a enchaîné des revers qui se sont alimentés les uns les autres. Alors que sa démission de la présidence du conseil général prend effet ce dimanche soir, retour en sept actes sur la chute de la maison Villiers.

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3 commentaires concernant l'article “La chute de la maison Villiers”

  1. Tres decue que contre info publie un torchon pareil. Je n’approuve pas sa politique nationale mais le dynamisme, l’esprit sain et souvent catholique qui regne encore sur la Vendee est son oeuvre. D’autre part certaine des infos donnees sur sa vie personnelle sont fausse a ce qu’il semble et n’ont pas a etre etalees.

  2. Tel un rat, ce môssieur Mathieu Deslandes, envoyé spécial du JDD en Vendée, a fait ses courses dans les égouts et autres bas-fonds de Vendée pour préparer son festin du 1er Novembre qu’ il partagera trés certainement avec ses amis journalistes parisiens..

    Quoi d’ autres à attendre des auto-proclamées journalistes français ?…

    Il est étonnant que des administrateurs de contre-info se prêtent à ce genre de brûlot qui n’ a vraiment rien d’ une enquête sérieuse sur le personnage.

  3. Torchon ou pas, l’article n’est reproduit qu’à titre informatif. Les éléments donnés semblent assez bien expliquer sa chute précipitée. Il inspire de la pitié plutôt que du mépris, à mon avis.

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