« Jean-Marie Le Pen : confidences à l’heure du crépuscule »

Le Figaro publie un article consacré au Menhir sous le titre : « Jean-Marie Le Pen : confidences à l’heure du crépuscule ». Il est suffisamment rare pour relever que l’article est dans l’ensemble bienveillant à l’égard du fondateur du Front National. Vous pouvez retrouver l’article complet ici.

Jean-Marie Le Pen y tient notamment les propos suivants : « Il y a un moment donné où j’ai pensé que le Front national pourrait jouer un rôle capital et prendre le pouvoir. Je savais l’opération difficile, probablement de dernier recours. Mais cette perspective ne s’est pas rapprochée. Je ne sais pas s’il reste une chance à notre civilisation. Mais s’il en reste une, il faut que ceux qui en sont partisans, si éloignés soient-ils les uns des autres, se rassemblent et se préparent à l’adversité. Car elle arrive. La déferlante démographique et les migrations qui en découlent sont aussi prévisibles que catastrophiques. »

Concernant la récente réconciliation avec ses filles Marine et Marie-Caroline : « C’est une chose que j’aurais dû faire il y a bien des années. Peut-être une forme de paresse intellectuelle m’en a dissuadé, concède-t-il à voix basse, comme à lui-même, les mains jointes. Parce que les temps sont proches, il est nécessaire qu’on pardonne les offenses, comme nous pardonnons à ceux qui nous ont offensés. Seigneur pardonnez-moi mes péchés. »

13 commentaires concernant l'article “« Jean-Marie Le Pen : confidences à l’heure du crépuscule »”

  1. Un avenir pour notre civilisation dans ces conditions et au regard de la veulerie des Français ? Pas le moindre, désolé papy.

    Si les choses ne s’embrasent pas dans les années à venir et non pas dans trente ans, c’est mort, archimort, enterré même.

  2. oui, il faut « se préparer » mais dans le sens qu’il faut se préparer à survivre…ou à faire survivre (uniquement) ceux pour qui la survie de la France constitue un intérêt. Pour les autres…qu’ils restent avec « leurs pains et leurs jeux » dans les agglomérations décadentes jusqu’à ce que….

  3. « je ne sais pas s’il reste une chance à notre civilisation » dit il. Une chose est certaine ce n’est pas avec « fifille » et ses « accolytes » que nous serons sauvés.Pas plus que par les français eux mêmes dont beaucoup sont tout juste bons à applaudir des footeux ………
    On ne peut rien face à des gens rétifs à leur salut , observez les attentivement ces français, observez leur comportement, et vous comprendrez pourquoi nous sommes dans le chaos et pourquoi nos « adversaires » ont dors et déjà gagné la partie depuis des décennies.

  4. Je ne comprends pas du tout les choses comme lui : la démographie n’est une chance que pour un peuple de qualité .
    Les peuples d’Afrique et les basses castes de l’Inde ? Nul n’en fait cas .
    Nous sommes en état de légitime défense . Le seul véritable problème provient de notre capacité à nous apitoyer sur des peuples qui ne valent pas tripette .
    La bonne solution ? Si vous ne comprenez pas lisez une biographie de Genghis Khan ou même de Napoléon . Même le pauvre De Gaulle avait pigé . Pas un génie , pourtant .

  5. Il oublie de Dire que Dieu à toutes les cartes en main, que St Rémy a menacer la France de grandes punitions en cas d’apostasie ( nous y sommes) et de grandes bénédictions dans la fidélité ( nous devons y revenir).
    St PIE X, ou même madame Royer , sont à écouter dans leurs prophéties.
    JMLP n’ a jamais eu cette bonne carte en main, la seule bonne, la conversion de la France.

  6. à RAUS

    d’ accord avec vous

    Dieu et le Roi !

    à bas la République et la dictature de la Licra!

  7. Il a fait passer sa princesse (marine) avant les principes… et maintenant sur la fin, il a des remords.

    Monsieur Lepen se moque du monde!

    Vieux vaniteux par ton orgueil tu as tué le Front National canal historique.

    Monsieur Lepen me fait penser à Bigeard, Aussaress,Massu et tous les larbins de la France libre… après avoir fait la merde pour les gaullo-communistes et avoir eu une belle, très belle carrière….et bien tous ces vieux cons nous versent leurs états d’ames sur les crimes à la libération et l’abandon des européens en Afrique évidemment juste avant de mourir (snif)….

    Tout ça c’est trop facile.

  8. evain ;
    Il y a une chose que manifestement vous ne comprenez pas et que De Gaulle , général pour opéra-bouffe , mais véritable homme d’Etat , lui , avait perçu :
    à l’issue de la Seconde guerre mondiale , l’Europe est hors jeu .
    Se rapprocher de Moscou en sachant que de toute évidence la Russie n’était pas vraiment communiste , c’est du Grand Art .
    L’ennemi est , aujourd’hui comme hier , à Londres . Ce n’est pas le peuple anglais , c’est le petit peuple de la City .
    – les crimes de la Libération ! Le barbare US n’est pas venu libérer l’Europe mais l’asservir au bénéfice exclusif d’une poignée de financiers apatrides . Il est évident que De Gaulle indisposait cette mafia .
    Cordialement

  9. avait perçue .
    De Gaulle avait bien des défauts . Le personnage eut une autre stature que ses lamentables successeurs .

  10. @ Evain.
    Vous avez mille fois raison.Quant à Degaulle ,il restera un traître et un déserteur le général micro.

  11. L’ISLAMISATION DE L’ÉGLISE I
    Première partie :

    Le rôle de l’Église dans la guerre d’Algérie

    « Les Algériens savent la part prise par les vrais chrétiens dans notre lutte libératrice. Certains nous ont aidés concrètement, n’hésitant pas à se trouver à nos côtés… » (Ahmed Ben Bella)

    Comme il se trouve aujourd’hui des représentants de l’Église pour encourager l’immigration et soutenir au nom de « l’amour de son prochain » toute une faune de dévoyés antifrançais, il s’est toujours trouvé, en Algérie et en France, de 1954 à 1962, des hommes d’Église pour couvrir les excès des égorgeurs du FLN, les héberger, les protéger et les soigner.
    L’identité idéologique de ce conflit algérien était avant tout antichrétienne. C’est d’une lutte entre la Croix et le Croissant qu’il s’agissait et aux yeux des responsables du FLN, c’est la Croix qui était l’objectif premier à abattre dans ce réduit chrétien sud méditerranéen. Comme Jeanne d’Arc l’avait fait pour la France, l’Eglise de France et celle d’Algérie auraient dû brandir à leur tour l’Etendard de la Délivrance contre ceux qui voulaient les soumettre au Croissant. De façon incompréhensible et difficilement explicable (à moins qu’il ne s’agissait que de « tendre l’autre joue »), elles allaient leur apporter leur soutien…
    Nos évêques « tiers-mondistes », aujourd’hui comme hier, si prompts à défendre les « droits de l’Homme » au détriment de la parole de l’Evangile, sont restés muets devant les crimes, les massacres, les viols et les égorgements du FLN. L’extermination de 150.000 harkis avec leur famille dans d’horribles tortures ne les a pas plus émus. Il est vrai que, probablement blasés par tant de crimes, ils ne pouvaient que demeurer insensibles à ces assassinats en séries que furent les massacres d’El-Halia et de Melouza, la tuerie du 26 mars 1962 à Alger et celle du 5 juillet 1962 à Oran. Dès lors, comment auraient-ils pu réagir à l’énoncé de cet ignominieux appel au meurtre du 14 février 1962 à 20h40 lancé par « La Voix des Arabes » en ces termes : « Frères combattants, combattez-les, luttez contre eux, ils sont tous nos ennemis. Transformez leur vie en enfer, ne les laissez pas échapper au châtiment mérité et contraignez-les à se mettre à genoux devant la volonté du peuple »… appel qui conduisit au pogrom anti Français du 5 juillet 1962, à Oran, faisant plusieurs milliers de victimes parmi la population civile européenne.
    Se sont-ils indignés davantage ces honorables évêques –toujours prêts cependant à trouver une excuse aux « actes désespérés » des écorcheurs- quand ils ont pris connaissance de ces conseils donnés par « Aspect véritable de la rébellion algérienne » à ses frères de l’Aurès, extraits du journal « El Zitouna » du 26 aout 1956, organe des étudiants de la Grande Mosquée du même nom de Tunis, une des plus réputées du monde islamique : « Mes frères, ne tuez pas seulement mais mutilez vos adversaires sur la voie publique… Crevez-leur les yeux… Coupez-leur les bras et pendez-les… Soyez certains, mes frères, que les soldats qui verront leurs camarades pendus à un arbre, avec un bras et une jambe en moins et un œil crevé, soyez certains, disais-je, que ces soldats laisseront à l’avenir passer les caravanes d’armes et de provisions et se sauveront comme des rats ».
    Mais l’aide de l’Église ne s’arrêta pas à sa seule clémence envers les assassins. Sa participation active, en bien des cas, fut de notoriété publique…
    Si, a priori, l’Église n’a de pouvoir que celui de la parole du Christ, il en est autrement dans les faits. En effet, son influence demeure et nous ne pouvons oublier combien elle a marqué la scène politique de la guerre d’Algérie…
    Dès le début des événements, les nationalistes algériens disposaient de sérieuses connivences dans le milieu des intellectuels et ecclésiastiques français qui s’étaient déjà fourvoyés durant le conflit indochinois en apportant leur aide au vietminh. Parmi ces « pères de l’Eglise », il était de notoriété publique que l’abbé Scotto (de Bab el Oued), l’abbé Desrousseau (d’El Biar), l’abbé Bérenguer (de Frenda), favorisaient le travail d’un couple de professeurs, les Jeanson (de sinistre mémoire), qui aboutira à la parution en 1955, de « l’Algérie hors la loi », pamphlet qui entendait prouver la légitimité du FLN… puis à la mise sur pied des réseaux de « porteurs de valises » du même nom : « réseaux Jeanson ».
    Dès 1956, les aides aux tueurs du FLN se multiplieront sous les formes les plus variées : protection, caches, approvisionnement en argent et en armes… Chez les progressistes chrétiens, journalistes et prêtres fourniront un contingent très important… Des femmes verseront également dans la collaboration en hébergeant des chefs rebelles, les transportant et distribuant les ordres. Les poseuses de bombes, musulmanes et européennes, feront tranquillement retraite chez les Sœurs blanches à Birmandreis ou chez les Clarisses à Notre Dame d’Afrique qui, pourtant, les savaient recherchées par la police. Chez les Pères Blancs, le Père Collet n’ignorait pas les activités de ses hôtes de passage… La police identifiera plusieurs prêtres de la « Mission de France » dont certains prêtres ouvriers, Jean Urvoas et Robert Davezies ainsi que l’abbé Boudouresque qui se feront particulièrement remarquer… Quant à l’abbé Bertal, de cette même mission, il donnera asile à Daniel Timsit et à Salah, alias Oussédik Souali, qui lui avoueront, pourtant, fabriquer des bombes. Ce réseau d’artificiers comprenait, en outre, Chafika Meslem, agent de liaison entre le FLN, le Parti Communiste Algérien et les libéraux, Denise Walbert et les époux Gautron, militants communistes. L’abbé Barthez sera l’hôte et le protecteur attitré de ce réseau, hébergeant de surcroît, en quasi-permanence, la fameuse Raymonde Peschard (la passionaria communiste) qui avait placé une bombe dans un car de ramassage scolaire à Diar es-Saada.
    En 1957, le passage de terroristes clandestins à la frontière espagnole s’était amplifié. Il s’agissait de « spécialistes » de l’organisation spéciale du FLN, formés aux « actions ponctuelles » et à la manipulation des explosifs dans les camps du Maroc. L’abbé Davezies, Etienne Bolo, Jacques Vignes participeront activement au transport, à l’hébergement, à la mise en place des tueurs envoyés par le GPRA pour intervenir en France. En Algérie, une dizaine de prêtres dont les abbés Scotto, Bérenguer, Desrousseau, Barthez et Cortes, ainsi que des religieux de Notre Dame d’Afrique, seront impliqués dans les réseaux de soutien allant jusqu’à mettre leur presbytère à la disposition des égorgeurs. Assurés de trouver dans la maison du Seigneur l’abri et l’aide leur permettant de continuer leur œuvre criminelle, ces protégés pourront ainsi préparer attentats et exactions sans être inquiétés.
    Le 4 Avril 1957, 28 inculpations et 18 mandats de dépôt (préventive) interviendront à Alger dans l’affaire du soutien au FLN apporté par les « libéraux » (on ne dit plus « communistes »). Parmi eux, la poseuse de bombe, Raymonde Peschard… qui s’évadera et rejoindra le maquis. Elle sera tuée les armes à la main dans le Constantinois (ce qui n’empêche pas de la présenter, encore de nos jours, comme torturée et assassinée par les paras). L’abbé Barthez, deux conseillers municipaux et deux médecins feront partie de ces arrestations. Seule la protection papale et gouvernementale dont il est l’objet évitera à Monseigneur Duval, archevêque d’Alger, chef de file des souteneurs du FLN, d’être lui-même inculpé…
    Pour ces « hommes d’église », les Français d’Algérie n’avaient pas le droit de se défendre contre les actes criminels des terroristes. Selon leur conception de la « charité chrétienne », le devoir de ces Français-là était, soit de fuir, soit de se laisser tuer, soit de ramper, soit de faciliter l’émergence de la nouvelle république algérienne. Leur argumentation était la suivante : « l’Église s’est toujours compromise avec les forces de la réaction ; il est temps qu’elle s’inscrive dans le camp de la révolution prolétarienne ». En réalité, ces traîtres à leur Patrie, s’identifiaient parfaitement à « l’anti-croisé » dont l’une des figures, l’abbé Scotto, n’avait de cesse de rassurer ceux qui pouvaient réprouver les attentats aveugles du FLN. Pour ce curieux directeur de conscience, la cause des terroristes demeurait juste quels que fussent les moyens utilisés…
    Concernant Monseigneur Duval, tout le monde, à Alger, police comprise, savait que les immeubles de l’Evêché abritaient les chefs du FLN en transit dans la capitale, et même certains terroristes recherchés par la police et l’armée. Arabophile déclaré, il refusera, officiellement, de célébrer un office à la mémoire de soldats français, prisonniers du FLN, assassinés par leurs geôliers « pour ne par heurter les Arabes », osera-t-il préciser de la manière la plus abjecte. Dans son livre « Au nom de la vérité », il s’enorgueillira d’avoir obtenu par les chefs du FLN un satisfecit lors du congrès de la Soummam qui soulignait « l’attitude réconfortante de l’archevêque se dressant courageusement et publiquement contre le courant et condamnant l’injustice coloniale ». A l’indépendance, il fut l’un des premiers chrétiens à prendre la nationalité algérienne (tout comme l’abbé Scotto et l’abbé Bérenguer), ce qui lui valut d’abord le surnom de Mohamed et ensuite la pourpre cardinalice…
    Parmi les progressistes chrétiens, les protestants ne furent pas en reste… En mars 1958, par exemple, le pasteur Mathiot fut inculpé avec une équipe de fidèles : responsables de boîtes aux lettres, dépôts d’armes, collectes de fonds, hébergement et de complicités diverses avec les terroristes du FLN. Cependant, à l’opposé, bon nombre de prêtres soutenaient l’action de l’Algérie française, mais quand ils n’étaient pas mis au ban de l’Eglise par leur hiérarchie, il arrivait qu’ils fussent purement et simplement éliminés… à l’instar de l’abbé Therrer, curé des Sources, à Birmandreis. Pourquoi donc n’avoir pas dit, dans son éloge funèbre, qu’il avait été assassiné par le FLN, protestèrent ses paroissiens ? Pourquoi donc n’avoir pas rappelé que les derniers mois de sa vie furent un véritable calvaire ? Il vit son église, à peine édifiée, profanée et pillée à deux reprises ; il vit aussi son presbytère entièrement dévalisé, sa voiture lapidée à plusieurs reprises… mais l’Evêché demeura de marbre… Enfin, le soir de son assassinat, son église fut incendiée et l’Eglise ne réagit point. Au cours des mois suivants, plus de quatre cents églises, sur les cinq cent soixante-sept que comptait la Chrétienté d’Algérie, furent désaffectées, profanées, parfois transformées en mosquées ou détruites, ce qui n’émut pas outre mesure ni Clergé, ni Episcopat…
    Dès la proclamation du « cessez-le-feu », les enlèvements d’Européens se multiplièrent. Des familles entières originaires du Bled voulant rejoindre les ports et les aérodromes disparurent. Les enfants en bas âge –voire les bébés-, quand ils ne furent pas éliminés avec leurs parents furent élevés dans les écoles islamiques et arabisés par un nouvel état civil. Les femmes et les jeunes filles furent condamnées à vivre dans les maisons closes d’Algérie, ou d’autres pays musulmans ou encore en Amérique Latine. Plus de 5000 Européens disparurent ainsi en quelques mois sans que l’Église, qui était au courant de cette tragédie, n’élevât la moindre protestation.
    C’est au lendemain de cette guerre que l’on apprit par la bouche même des fellaghas la monstrueuse collusion de certains prêtres français avec les tueurs du FLN. A cet effet, un chef rebelle, Amar Ouzegane écrivit : « Partout des prêtres nous ont secourus, hébergés, soignés. L’Eglise catholique a rompu avec le passé colonialiste ». Et on pouvait lire encore dans « Révolution Africaine » : « Des prêtres catholiques ont prêté assistance aux militants du FLN poursuivis par la police colonialiste ».
    En 1950, dans son allocution en la cathédrale Saint Philippe (aujourd’hui devenue mosquée) à l’occasion du centenaire de la consécration de l’Algérie au Sacré-Cœur, Mgr Leynaux évoquait la grande et belle ville, « l’antique cité barbaresque, autrefois riche des dépouilles de la chrétienté … » et il disait au Nonce apostolique, Monseigneur Roncalli (futur Jean XXIII) : « Vous découvrirez avec joie les souvenirs émouvants de l’ancienne Église d’Afrique… Cette glorieuse Eglise, vous la retrouverez vraiment ressuscitée. Et si vous pleurez avec nous sur la dévastation séculaire de ses monuments sacrés, vous verrez partout, dans nos villes et dans nos villages, des chapelles et des églises qui attestent sa volonté de ne pas mourir et de continuer de rendre gloire à Dieu en travaillant au bien suprême, au salut de tous ses enfants, toujours indissolublement attachés et unis comme nos ancêtres, les premiers chrétiens, à la Chaire de Pierre ».
    Si Mgr Roncalli a pu voir l’ancienne Église d’Afrique ressuscitée, le délégué apostolique d’aujourd’hui, en Afrique du Nord, pourra pleurer sur sa ruine…
    Dans ces quelques lignes bien incomplètes, je voudrais éclairer les consciences sur le vrai drame de l’Église, d’une part en Algérie : effondrement d’une chrétienté dans les larmes et le sang, étouffement par l’erreur, le mensonge et les plus honteuses compromissions, et d’autre part en France, actuellement, où nous retrouvons les mêmes causes dans cette alarmante désertion aux valeurs chrétiennes. C’est de cette façon que mourut, déjà, le christianisme en Algérie…
    Et maintenant, sur la terre de Saint-Augustin redevenue un moment chrétienne, les clochers s’écroulent à nouveau et les sables qu’apporte le Vent de l’Histoire recouvrent lentement jusqu’au nom même du Christ.

    José CASTANO
    Courriel : joseph.castano0508@orange.fr

    Prochainement, seconde partie :
    La démission de l’Église face à l’islam

  12. 100 % d’ accord avec J-M LP et …..  » evain  » .
    Certes , les Américains ont  » libéré  » l’ Europe en 1944-45 , mais c’ était avec l’ arrière pensée évidente de la conquérir . Il faut être d’ une naïveté déconcertante pour ne pas le comprendre .

    Afin d’ asseoir leur hégémonie , avec la complicité du caniche britannique , ils ont fait en sorte de museler à jamais les anciennes puissances belligérantes turbulentes qui , pendant des siècles , avaient mis le continent à feu et à sang ….. mais avaient aussi brillé de mille éclats d’ une culture d’ un niveau jamais égalé ( ça …. il ne faut pas le dire ) .

    Ainsi fut créée l’ Europe de Bruxelles .
    Et il faut bien constater que cette nébuleuse ramollie ( mais affreusement autoritariste ) a dépassé les espoirs les plus fous de ses créateurs !
    L’ Europe est devenue un vaste marché sans frontières , sur lequel la terre entière vient écouler ses produits à des prix défiant toute concurrence …. alors que la réciprocité est impossible . On peut dire que l’ Europe a enrichi le  » tiers monde  » comme jamais .

    Le pire , c’ est que cet asservissement économique s’ est accompagné d’ une véritable castration des esprits et des âmes , conséquence directe de l’ importation du Politiquement Correct  » made in USA  » ( amplement repris par nos zigotos soixante huitards …. qui , soit dit en passant , n’ ont rien inventé ) .
    Les maîtres à penser de cette doctrine sont convaincus que tout le mal vient du nationalisme et ( vous allez voir ce que vous allez voir ) , le BONHEUR UNIVERSEL sera atteint quand la société européenne sera métissée , multiculturelle et ( ils n’ osent pas le dire , mais ils le pensent ) …. islamisée .

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