Boulogne : un enfant « avorté » volontairement naît et survit

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Terrible histoire qui illustre la folie de notre époque.

Alors qu’elle est enceinte de huit mois, une femme, suivie au centre hospitalier de Boulogne est envoyée à Lille pour subir une IRM.
Le résultat est vécu comme un drame par la famille : «  On nous a expliqué que notre enfant avait 80   % du cerveau qui ne fonctionnait pas. Les médecins ont dit que le bébé serait paralysé et qu’il ne pourrait ni boire ni manger. » Après concertation entre les équipes médicales et avec l’accord de la famille, une « interruption médicale [sic] de grossesse » (IMG) est programmée dix jours plus tard.
On ne voit pas bien en quoi ce serait « médical » puisqu’il ne s’agit pas de soigner quiconque, mais au contraire de tuer un bébé alors qu’au même âge (8 mois de grossesse), d’autres sont déjà nés et se portent à merveille dans les bras de leurs parents.
Mais bref. Le jour de l’opération, lundi 27 juillet, une piqûre à double dose de produit mortel est injectée via le cordon ombilical. Monstrueux détournement de la nature.

Le corps « médical » constate l’arrêt du cœur et informe la famille du décès de l’enfant.

La Voix du Nord raconte :
« Le soir, lors de l’accouchement, surprise, l’enfant se met à crier. «  Le bébé est vivant. Il pleure, mange et bouge. On ne comprend pas ce qui a pu se passer et on n’a pas d’explications de la part de l’hôpital  », souligne Jérôme Delage, le père. Du côté des médecins [sic]. C’est rare mais ça arrive, on évoque un cas et des circonstances exceptionnelles. «  Nous avons vérifié le déroulé de l’opération et il n’y a pas eu d’erreurs médicales commises par les praticiens qui ont pratiqué l’opération. Nous sommes face à un échec de l’IMG [sic]. C’est rare mais ça arrive  » ».
La famille est dans un état psychologique piteux et « se prépare à une vie avec cet enfant ». Pauvre petit. Et combien d’autres, qui eux aussi étaient en réalité viables, n’ont pas survécu à ces tentatives d’infanticide ?

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