Après le Quick, le Kebab qui tue

Décidément, le triomphe de la mal-bouffe d’importation au détriment de la cuisine française se paie cher.
Après la mort d’un jeune ayant consommé chez Quick (hallal?), c’est une adolescente de 16 ans qui n’a pas survécu à son passage dans un « kebab » de Chartres. Elle a rendu l’âme lundi au centre hospitalier de la ville suite à une intoxication alimentaire.

« L’autopsie pratiquée mercredi après-midi sur le corps de la jeune fille a permis de déterminer que la victime avait subi un choc multi-viscéral et que le décès faisait suite à une intoxication alimentaire », a indiqué le procureur de la République de Chartres.

3 commentaires concernant l'article “Après le Quick, le Kebab qui tue”

  1. Bizarrement pas un mot dans les « grands médias ».
    Critiquer la mal-bouffe d’outre-atlantique on peut , la mal-bouffe orientale, auto-censure?

  2. Il y a quelque temps il y avait eu une émission sur la fabrication de la viande pour kébab et les normes d’hygiène constatée dans les boutiques qui en vendent: viande noircie sur le présentoir, dates off limite de la bidoche, risque de listéria coli, etc… sans compter l’hygiène douteuse des « participants » au service. C’était terrifiant ! D’où ce dégât collatéral dramatique…

  3. Cette mode de la nourriture rapide qui touche essentiellement les adolescent s’avére plus néfaste que je le pensais. En effet les restos kebab qui poussent comme des champignons sont souvent dans des états déplorable, je trouve que les contrôles sanitaires de sont pas assez présent pour ce genre de petit commerce comme il le sont pour l’industrie de la restauration rapide qu’est Mc Donalds par exemple.

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur comment les données de vos commentaires sont utilisées.