
La cellule de Sarközy : une belle chambre d’étudiant, avec toilettes incluses (et téléphone ?!) ; il devrait survivre le temps que ses avocats le sortent de là…
Il est dommage qu’il n’ait pas de codétenu, comme la plupart des prisonniers. Avec rap à fond, volutes de cannabis, etc., il aurait pu mieux savourer cette « mixité » à laquelle il a voulu forcer les Français.