Une école catholique victime du totalitarisme républicain à quelques semaines du baccalauréat

C’est encore un événement d’une grande gravité qui vient de se produire, dans le silence coupable des organisations dites « nationales », mais ce n’est guère étonnant de la part du RN notamment, qui se veut plus républicain que les autres.

Après avoir, dans sa logique totalitaire, quasiment interdit l’enseignement à la maison, le régime resserre l’étau autour des écoles libres (dites « hors contrat »), surtout si elles sont catholiques. Et il va parfois plus loin, en fermant brutalement certaines car elles ne fournissent pas un endoctrinement assez gauchiste aux élèves.

Ainsi, dans le département des Vosges, un arrêté préfectoral a annoncé la fermeture immédiate et définitive du collège-lycée Frassati, et le tribunal administratif de Nancy vient de confirmer cette décision ahurissante.

« L’arrêté était tombé ce 9 avril, au milieu des vacances scolaires. Sur la base de deux rapports de l’inspection académique, de juin 2024 et février 2025, la préfecture dénonçait « des carences de l’établissement relatives à la préservation de la sécurité des mineurs, aux enseignements dispensés au regard des obligations auxquelles le Code de l’éducation le soumet ainsi qu’une gestion administrative insuffisante des élèves ». Contactée par BV, l’académie de Nancy-Metz pointe, de son côté, du doigt « des constats répétés de manquements en matière de sécurité, d’hygiène et de conformité pédagogique ». « Malgré les précédentes mises en demeure, l’établissement n’a pas apporté les mesures nécessaires pour assurer un environnement éducatif conforme aux exigences réglementaires », précise l’académie. En cause, des locaux jugés sales et des enseignements lacunaires, notamment « sur certains sujets », note le représentant du rectorat lors de l’audience. » (source BV)

Mais aussi, et nous attirons l’attention du lecteur dessus :

 « Il n’y a qu’une seule opinion présentée aux élèves. […] Par exemple, dans les cours qui leur sont dispensés sur la procréation, cette dernière ne s’entend qu’entre un homme et une femme mariés. »

Derrière les tracasseries réglementaires, il y a donc bien un motif idéologique. On reproche à une école catholique de ne pas promouvoir les délires contre-nature promus ces dernières années (et condamnés depuis des millénaires).

 « On a essayé d’être à l’écoute du rectorat, de faire ce qu’il demandait. On a mis en place des cours d’arts plastiques, des cours de natation, puis des cours d’éducation morale et civique. On a fait 350.000 euros de travaux… Mais à chaque inspection, ça n’allait jamais », se désole ce membre du personnel, qui rappelle que « l’année dernière encore, on a eu 100 % au brevet et au bac ». Le directeur de l’établissement, qui s’est confié à Vosges Matin, dénonce également des motifs « ridicules » pour justifier la fermeture de l’école. « J’ai le sentiment qu’on pourra mettre tous les moyens du monde, cela ne changera rien. »

Un acharnement républicain et anticatholique de la part du préfet Valérie Michel-Moreaux ?
En effet ces gens veulent tout simplement qu’il n’y ait pas d’école catholique, c’est-à-dire reprenant la morale la plus élémentaire.

Le régime veut que tous les petits Français et les Autres deviennent de bons petits soldats woke.
Le « catholique » Retailleau va-t-il lever le petit doigt ?

cet extrait de la page d’accueil de la préfecture des Vosges montre un militantisme gauchiste véhément