11 novembre…

1,4 million de Français tués, 4 millions de blessés et de mutilés.
Le conflit aurait pu s’arrêter en 1917, en Europe occidentale du moins, mais l’intransigeance et le jusqu’au-boutisme des Allemands d’un côté, et de Georges Clemenceau de l’autre (« franc-maçon sans tablier » qui détestait la monarchie austro-hongroise et ne voulut pas entendre d’une paix séparée avec elle) en décidèrent autrement.
Cette radicalité de Clemenceau notamment allait aboutir au mauvais traité de Versailles, qui allait entraîner la Deuxième guerre vingt ans plus tard.
Si les braves Poilus avaient imaginé ce que la France allait devenir quelques dizaines d’années plus tard : une province d’une entité supranationale (l’UE), une poubelle tiers-mondisée, aux moeurs contre-nature, où la moitié des naissances ne concerne pas des bébés français…