« Concernant le résultat de l’élection présidentielle »

Sarközy et Hollande au dîner annuel du CRIF, sous l’œil vigilant de Simone Veil. Février 2012.

Excellent éditorial lu sur le site du Renouveau français :

« Les gesticulations démagogiques et les rodomontades  droitistes de Sarközy n’auront pas suffi à faire oublier son calamiteux bilan ni ses manières de grossier bateleur féru de « bling-bling » .

François Hollande a donc bénéficié d’un rejet populaire vis-à-vis de son prédécesseur mais aussi, et c’est important de le souligner, des suffrages de nombreux étrangers dont seuls les papiers sont français.

Les socialo-communistes ont en effet fait le deuil de l’électorat ouvrier – en nette diminution numérique et trop enclin au vote patriotique – au profit de la population immigrée, dont ils flattent toutes les revendications catégorielles avec un cynisme écœurant.
Parallèlement, ils  séduisent les Français citadins aux mœurs dégénérées, les bobos dont les aspirations les plus malsaines (parodie de mariage entre invertis sexuels et possibilité d’adoption par ces derniers) ne semblent pas déranger un électorat musulman plus soucieux de défendre son confort et ses ambitions à long terme, que la morale la plus élémentaire.

Les nombreux drapeaux maghrébins, mais aussi rouges et arc-en-ciel (emblème du lobby inverti) qui flottaient dimanche soir place de la Bastille pour la fête de la mimolette ont souligné cette nouvelle réalité.

L’élection du médiocre François Hollande aura peut-être le mérite de réveiller les patriotes, de provoquer un choc des consciences devant les projets délirants de cet extrémiste mondialiste.
Car oui, dans de nombreux domaines, Hollande est un extrémiste. Mais comme l’était Sarközy, avec des nuances et parfois de façon moins visible (selon les circonstances et les auditoires).
Hollande a au moins le mérite d’annoncer très clairement la couleur ; et ce n’est pas le blanc…

D’un autre côté, il faut que les patriotes qui ont estimé devoir voter Sarközy aient bien en tête que l’UMP et ce qui s’y rattache ne sauraient constituer en rien une véritable opposition ni un quelconque espoir de redressement pour notre pays.

La chamaillerie électorale savamment organisée par le Système politico-médiatique veut faire croire que l’on a eu affaire à un duel entre deux conceptions opposées de la politique et de la société. En prenant du recul, on voit fondre les différences entre les candidats qui partagent tous la même utopie mondialiste, les mêmes visions libérale de la société et désincarnée de la nation, l’absence de conceptions morales, la soumission à la judéo-maçonnerie, l’hostilité envers la chrétienté, la volonté de dissoudre notre peuple par le métissage généralisé, etc.
Rappelons aussi qu’en l’état actuel des choses et par la faute de l’UMP et du PS, les présidents de la République maçonnique française ne sont que les gouverneurs d’une province du Nouvel ordre mondial, de même que les parlementaires se contentent de reprendre et d’enregistrer les décisions européennes.
La marge de manœuvre de ce personnel politicien est fort réduite.

Reprenons le recul nécessaire vis-à-vis du système démocratique moderne qui tend foncièrement et globalement vers le mal et la mort.
La participation éventuelle à des élections ne doit aucunement faire oublier la nocivité du démocratisme, qui est l’outil du mondialisme.

Les succès électoraux des nationalistes radicaux en Hongrie (avec le JOBBIK, qui mérite d’être étudié et dont nous reparlerons bientôt) comme en Grèce, ainsi que le score souverainiste en France, nous permettent d’envisager sous certaines conditions une importante progression pour les nationalistes.

A nous, avec l’aide de Dieu, de faire sortir d’un mal, un bien : aidés malheureusement par la grave crise dans laquelle le nouveau chef illégitime va plonger la France, nous devons faire prendre conscience à nos compatriotes que les solutions véritables et durables sont celles que préconisent les nationalistes contre-révolutionnaires.

Nos analyses vont pouvoir être comprises et admises plus facilement : faisons en sorte qu’elles soient entendues plus largement.
Chaque patriote doit franchir le pas de l’engagement nationaliste, qui peut prendre diverses formes mais doit se caractériser par sa générosité, son désintéressement et sa détermination.

Au travail !

Thibaut de Chassey
Directeur du Renouveau français »