Roman Polanski : pédophile en série

Alors que ce violeur d’enfants est encore défendu avec acharnement par de grands noms de sa communauté, on apprend qu’une 5ème femme l’accuse d’agression sexuelle alors qu’elle avait 10 ans. Celui qui devait présider la 42e cérémonie des Cesar (2017), peut une nouvelle fois compter sur la bienveillance coupable des pays européens pour s’en sortir à bon compte. Alors que la justice américaine réclame son extradition depuis des décennies, il est fort à parier qu’il échappera un nouvelle fois à la prison.

Marianne Barnard, une artiste californienne affirme que Roman Polanski aurait abusé d’elle en 1975. « Au début, j’ai compris que j’allais juste à la mer avec ma mère », raconte-t-elle. Sa mère lui fait alors rencontrer le réalisateur, déjà connu à l’époque pour « Repulsion ». Il lui demande de poser pour prendre des photos de mannequinat. « Il a pris des photos de moi sur des rochers, avec un manteau de fourrure. J’étais en bikini, je pensais que c’était pour un magazine ou quelque chose comme ça. »

« Puis il m’a dit: ‘enlève ton haut de bikini’, ça ne me dérangeait pas parce que j’avais 10 ans et je courais souvent sans mon haut », ajoute Marianne Barnard. « Mais il voulait que je retire mon bas. J’ai commencé à me sentir mal à l’aise. À ce moment, j’ai réalisé que ma mère était partie. Je ne sais pas où elle est allée, je n’avais pas vraiment remarqué qu’elle n’était plus là. Puis, il a attenté à ma pudeur. »

Dans son interview, Marianne Barnard avoue que cette violence a eu un énorme impact dans sa vie et qu’elle souffre depuis de stress post-traumatique et de claustrophobie.

 

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1 commentaire concernant l'article “Roman Polanski : pédophile en série”

  1. Pour que la mafia politique européenne qui se succède à elle-même sans a.gir, depuis des décennies, alors qu’elle sait très bien qu’elle a affaire à un salaud criminel prouve par le fait même que ce genre d’animal (irraisonnable)détient une puissance politique hors du commun qu’il peut exercer à point nommé.
    Alors qu’un petit filou du peuple se fait épingler rapidement pour un méfait par une simple procédure administrative de rapatriement dans le pays
    où il a commis son forfait. Ce qui a fait dire autrefois au fabuliste Lafontaine
    cette phrase mémorable si patente dans « L’affaire Polanski« :«  selon que vous serez puissant ou misérable les jugements de cour vous rendront blanc ou Noir« . Ici, c’est encore pire, il réussit entièrement à échapper à la justice
    par des hommes politiques sans justice. Cécilien 28/10/2017

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