Mort du criminel Nelson Mandela : un terroriste marxiste antiblanc

La mort de Nelson Mandela a déclenché une prévisible hystérie médiatico-politique.
Pour les prochains jours : déluge d’émotion feinte, concert unanime de louanges chez tous les politiciens et slogans idiots en vue.

Il faut rappeler, à propos de Mandela, qu’il fut des années durant un chef terroriste d’extrême-gauche (chef du UmKhonto we Sizwe, l’aile terroriste de l’ANC et du Parti communiste sud-africain), après avoir été formé au terrorisme par le Mossad en 1962.

Rappelons que le 1er janvier 1985, le président sud-africain Botha s’exprimant au parlement, a proposé à Mandela d’être libéré (il était emprisonné pour terrorisme), s’il rejetait « inconditionnellement le recours à la violence comme arme politique ». Mandela rejeta cette offre, refusant d’abandonner les meurtres.

Il a contribué à faire de la prospère Afrique du Sud un enfer pour les Blancs, et pour beaucoup de Noirs.

Depuis 1994, plus de 4000 fermiers blancs ont été assassinés par les émules racistes de Mandela, leur famille violée, parfois dépecée vivante, etc.

Depuis cette date ce sont plus généralement quelque 75 000 Blancs qui ont été tués par des Noirs, dans un génocide initié par le président Mandela et son parti l’ANC, toujours au pouvoir.

Des dizaines de milliers de Blancs se sont vu voler leurs biens par des hordes noires armées de machettes, après la victoire de Mandela, et vivent maintenant dans des conditions de grande misère, dans des bidonvilles, souffrant de la faim.

Sur quatre millions de Blancs, un quart a déjà fui le pays.

Ci-dessous une video de David Duke sur le génocide des Blancs, en particulier des Boers, en Afrique du Sud :

Et l’africaniste Bernard Lugan (auteur d’une Histoire de l’Afrique du Sud) rappelle quelques vérités sur ce pays et sa situation :