C’est dans un silence médiatique français presque religieux, que l’on apprend que le gouvernement israélien vient d’émettre les premiers avis d’expulsion de ses immigrés africains. Une contenance journalistique qui tranche avec la fureur militante de la presse, lorsque Trump avait annoncé la fin d’un programme de protection des clandestins arrivés jeunes sur le sol américain (« Dreamers »).
L’Autorité israélienne de la population et de l’immigration a émis dimanche matin des avis d’expulsion à des milliers de migrants et demandeurs d’asile, principalement d’origine érythréenne et soudanaise, amorçant ainsi le programme gouvernemental d’expulsion du territoire israélien de 38.000 migrants africains illégaux.
Les premiers avis d’expulsion ont été délivrés à des hommes célibataires en âge de travailler, sans enfants, demandeurs d’asile dont la requête a été rejetée ou dans l’attente d’un renouvellement de visas (démarche obligatoire tous les deux mois), ont précisé les médias israéliens.
Ils auront un délai de 60 jours pour accepter l’offre de l’Etat, ainsi qu’un billet d’avion et 3.500 dollars de dédommagement.
Dans le cas échéant, ils seront mis en détention à partir du 1er avril pour une durée indéterminée.Dans cette note, distribuée dimanche à des migrants africains attendant de renouveler leurs visas au ministère de l’Intérieur de Bnei Brak, il est dit qu’ils seront envoyés dans un pays d’Afrique, non cité, profitant d’un « gouvernement stable ».« C’est un pays qui a énormément évolué au cours de la dernière décennie et qui a absorbé des milliers de citoyens du retour ainsi que des migrants de divers pays africains », dit la notice d’expulsion. »Au cours des dernières années, ce pays a enregistré la plus grande croissance économique des pays d’Afrique, grâce aux exportations des Etats-Unis et de l’Europe, ainsi qu’à une industrie touristique florissante », poursuit le texte.
« Dans ce pays, il existe un gouvernement stable qui encourage le développement dans de nombreux domaines, y compris la médecine, l’éducation, la médecine et les infrastructures. »
Source : I24News
Attali dit que la France est un hôtel ouvert à tous les peuples
ce n’est pas le cas d’ Israël , qui est une Terre Sainte , réservée à la seule Race Élue , qui ne doit pas être souillée par les peuples recalés.
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prière d’ Esdras
(livre d’ Esdras ch 9)
« le pays dans lequel vous entrez pour en prendre possession »
« est un pays d’ impuretés; »
« les impuretés des peuples des terres , »
« et un pays d’ abominations dont ils l ‘ont rempli d’un bout à l’ autre »
« avec leurs souillures.
»
« vous ne donnerez point vos filles à leurs fils »
« et ne prenez point leur filles pour vos fils ».
« et n’ ayez jamais souci de leur paix »
« ni de leur bonheur »
« afin que vous deveniez forts »
« que vous mangiez le meilleur de ce pays »
« que vous le transmettiez pour toujours a vos fils ».
incroyable cette lâcheté tout de même.Certains seraient ils frileux au point de se replier sur eux mêmes.Mais pourquoi ce qui est bon pour les uns ( Soros et tous ses copains l’affirment et mettent tout en oeuvre pour que les pays européens puisse profiter de ces richesses que sont la diversité et le multiculturel vivre ensemble pluriel ) devrait il être mauvais pour les « autres ».
Israël est bien généreux . Les parasites venus d’Afrique devraient , en toute justice , effectuer des travaux forcés pour :
– rembourser leurs frais de séjour et d’expulsion
Рd̩dommager les citoyens isra̩liens contraints de supporter leur pr̩sence ind̩sir̩e .
Il faut leur faire comprendre que nous ne leur devons RIEN .
« il faut encourager la diversité,partager les richesses……s’ouvrir aux cultures des autres , favoriser tous les métissages,apprendre à penser globalement. »
Jacques Attali dans son dictionnaire du XXI eme siècle (1998).
« Il faut que l’Europe se pense comme une région d’immigration , à la manière des Etats Unis »
Daniel Cohn Bendit dans Une envie de politique paru en 1998.
« le risque mortel que fait peser sur le monde le culte de l’appartenance , la segmentation de l’humanité et l’enfermement des individus dans leur race ou dans leur culture ne saurait être définitivement conjuré que par l’instauration des sociétés pluriethniques ».
Alain Finkielkraut dans l’Humanité perdue (1996)