Impérialisme : la banque chinoise ICBC s’installe en France

ICBC, la plus grosse banque du monde s’implante à Paris. La France fait partie des 5 pays européens que ce géant chinois souhaite conquérir. Pour l’ouverture de l’agence parisienne, un dîner des collabos a été donné hier soir avec les patrons du CAC 40 et Christine Lagarde.

4 commentaires concernant l'article “Impérialisme : la banque chinoise ICBC s’installe en France”

  1. « renforcer l’Europe » . Quelle naïveté!!

    La Chine est en train d’envahir et de conquérir L’Europe pour le bien, uniquement, du régime capitalo-communiste.

  2. Qui peut se prétendre surpris ?
    La Chine est le moyen utilis̩ par les humanitaires mondialistes pour nous tiers-mondiser Рexcusez le vilain n̩ologisme .
    Les humanitaires ont tout compris …sauf l’essentiel : la Chine n’est ni capitaliste ni socialiste , elle est l’héritière de la plus ancienne des civilisations et elle supporte mal les niais incultes qui lui adressent de ridicules leçons sur …les droits de l’homme et autres sornettes à l’usage de débiles mentaux .
    La Chuine vaincra . Nous avons tout à y gagner .

  3. Leçon d’économie

    Ça se passe dans un village qui vit du tourisme, mais à cause de la crise il n’y a plus de touristes. Tout le monde emprunte à tout le monde pour survivre.

    Plusieurs mois passent, misérables, arrive enfin un touriste qui prend une chambre. Il la paie avec un billet de 100 €.

    Le touriste n’est pas plutôt monté dans sa chambre que l’hôtelier court porter le billet chez le boucher, à qui il doit justement cent euros. Le boucher va aussitôt porter le même billet au paysan qui l’approvisionne en viande. Le paysan, à son tour, se dépêche d’aller payer sa dette à la prostituée à laquelle il doit quelques passes. La prostituée se rend à l’hôtel pour rembourser l’hôtelier qu’elle ne payait plus quand elle prenait une chambre à l’heure. Comme elle dépose le billet de 100 sur le comptoir, le touriste qui redescend dit à l’hôtelier que la chambre ne lui convient pas. Il ramasse son billet et disparaît.

    Rien n’a été dépensé, ni gagné, ni perdu. N’empêche que plus personne dans le village n’a de dettes.

    N’est-ce pas ainsi qu’on est en train de résoudre la crise mondiale ?

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur comment les données de vos commentaires sont utilisées.