Belfort : 5 et 6 mois de prison pour deux migrants ayant tabassé 2 pères et leurs filles

Seulement quelques mois de prison (avec mandat de dépôt ?) après avoir blessé et traumatisé 4 personnes. Ces deux étrangers qui devraient recevoir comme punition – dans un Etat sain – une peine de prison avec du travail forcé avant expulsion définitive, continueront de percevoir les fruits du travail des Français (allocation handicapée, RSA, CMU etc…) sans ne jamais rien donner en contrepartie.

Trouvé sur L’Est Républicain : « Les prévenus sont accompagnés d’un interprète parce que le français n’est pas leur langue maternelle, et ils ne comprennent pas tout. Les mÅ“urs de notre pays non plus, eux qui sont arrivés en 2015.

Ils ont 28 et 29 ans, une violence à fleur de peau, des antécédents qui soulignent des difficultés à s’intégrer dans la vie sociale d’aujourd’hui. L’un d’eux bénéficie de l’allocation adulte handicapé, souffre de troubles psychotiques plus ou moins bien soignés. L’autre est au RSA et prend des cours de français.

C’est l’heure de la fermeture, en cette nuit du 10 au 11 novembre 2018, au Weekend Bar à Belfort, quand les jeunes filles, dont une de 14 ans, sont abordées par les prévenus. Ils sont promptement remis en place – « elle n’a que 14 ans », dit la plus âgée – mais cette fin de non-recevoir déclenche l’ire d’un des deux hommes qui bouscule, gifle et met à terre la jeune fille. La seconde s’interpose, en reçoit autant et appelle les pères à l’intérieur : « Ça chauffe au coin fumoir ! »

S’ensuit un déferlement de violences et voici « une soirée qui vire au cauchemar », résume l’avocat de la partie civile. Un papa a la mâchoire brisée, l’autre sa voiture dégradée. Les jeunes filles sont commotionnées, choquées, elles ont subi les gestes mal placés de l’homme éconduit.

Les quatre victimes se retrouvent avec des ITT de plus de dix jours, l’état de santé du père, blessé au visage, n’étant à ce jour toujours pas consolidé.

L’homme de 28 ans écope de dix mois de prison dont cinq avec sursis, et obligation de soins. Celui de 29 ans a été condamné à dix-huit mois dont neuf avec sursis, l’agression sexuelle lui ayant été reconnue ; il est par ailleurs frappé d’interdiction du territoire pendant dix ans. Des peines d’amende ont également été prononcées. »